Je retrouve peu à peu le bien-être que procure la douceur,
l’amour de soi. J’ai voulu aller un peu vite à diminuer les doses de
médicaments et les émotions qui se sont manifestées ont été un peu trop jugées,
à la limite du refoulement. Bien que je sois convaincue que l’accueil des
émotions soit efficace, en fait, ça n’est pas tant la technique mais bien plus
le fait d’avoir de l’amour pour soi, pour tout ce qui me compose, qui créé le
bien-être. En reprenant contact avec mon corps physique, hier, en parlant avec
lui, en lui confiant mes difficultés, j’ai senti que j’avais un peu trop agit
dans l’attente d’un résultat, sans tenir compte de la réalité tangible.
Le mental ou l’ego, projette, planifie, espère et dans son enthousiasme, ignore
les besoins des autres corps. Il ne s'agit pas de courir après une image idéalisée de soi-même mais d'être vraie, d'être vivante.
Il est clair que de vouloir changer son
comportement ne se fait pas en s’obligeant, en forçant, en étant tendue vers un
objectif.