mercredi 5 février 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, leçon 27


Luis Argerich


La clarté : 
Qui est, présentement, en train de vous parler ? Nous avons posé cette question auparavant, et votre décision est peut-être déjà prise. Nous allons revoir cette question car votre réponse est d’une grande importance à cette étape de votre apprentissage. La décision que vous ferez en regard de ceci, se rapportera à vous-même, car c’est finalement, la plus importante de tous.
Qui est Jeshua, et quel est le rôle que je joue dans votre apprentissage sur la façon d’être un Instrument de Paix? Suis-je un homme avec une personnalité qui a existé sur cette Terre il y a deux mille ans, mais qui n’est plus ici maintenant? À quel endroit suis-je actuellement, est-ce possible pour moi ou n’importe quel autre dans ce domaine, de partager ma sagesse et mon énergie avec ceux et celles qui pensent encore être un corps physique dans le monde de la matière? Se peut-il, qu’après avoir partagé ces leçons avec vous pendant toutes ces semaines, que votre bonne volonté accepte cet enseignement, et qu’elle crée une ouverture rendant possible, le fait que nous « sommes » semblables? Ou bien, avez-vous accepté cette idée comme étant plutôt une histoire ou un concept, parce que ces leçons ont une certaine valeur pour votre vie?

"L'autre" est un miroir qui reflète mes ombres. Il me suffit de les aimer pour qu'elles révèlent l'amour et la lumière que je suis



Elena Shumilova



Je suis de plus en plus tracassée par ce que je lis sur les sites spirituels et j'ai dû revenir à la base de ma foi afin de ne pas tomber dans l'accusation. Malgré ma volonté de ne plus visiter ses pages, j'ai continué puis finalement comme je crois que tout a un sens, j'ai fini par me dire que c'était une occasion de grandir, une fois que la colère envers le divin intérieur a été accueillie. J'étais furax de me dire qu'au moment où je devais mettre en place mon projet, je me trouvais dans le brouillard! J'ai donc commencé par "vider mon sac", par écrire tout ce qui me venait en tête afin de faire le tri entre ce qui émane de la peur et ce qui vient du cœur. J'ai pu constater que lorsque le corps émotionnel est meurtri, il filtre tout ce qui est perçu au travers des blessures et fausse totalement la vision. Il m'a fallu relire encore et encore, en appliquant la technique du miroir afin de savoir quelles émotions brouillaient ma vision.

mardi 4 février 2014

Peut mieux faire!




C’est aujourd’hui que commence le stage à la chambre de métiers. Je réveillée enthousiaste et reposée malgré que je me sois levée toutes les heures à partir de 3h. Chaque fois, je sortais d’un rêve où j’étais chamane, conseillère en relation amoureuse afin de préparer les gens à rencontrer leur partenaire, pour vivre le couple sacré ! J’avoue que je n’en fais pas une révélation concernant mon futur emploi d’autant que cette idée n’a jamais été évoquée puis ça peut aussi concerner la préparation à vivre la fusion avec l’esprit divin. Je n’en tiens pas compte, n’anticipe pas puisque j’ai choisi de me laisser porter dans l’instant, par le duo âme/esprit pour la réalisation de ce qui semble être le rêve de mon âme. Il y a du stress mais pas de peur. Ma connexion à la terre mère m’a bien ancrée dans la réalité, en douceur et le bon transit intestinal me montre que les libérations des énergies passées sont effectives. Comme je ne ressens plus la peur de façon violente, évidente, j’ai scanné mon corps physique afin de déceler les tensions éventuelles. Les quelques raideurs ont été effacées par la respiration et les énergies de ma présence divine à qui je me suis adressée avant de parler à mon âme, afin de l’autoriser à s’exprimer à travers ma personnalité humaine. J’ai tout de même demandé à mon âme de me guider puisque celle-ci est directement concernée.  

lundi 3 février 2014

Quoi que je fasse ou choisisse, je suis aimée éternellement


Juan Carlos Casado



En ce moment, c’est le règne de la confusion qui mine beaucoup de personnes, conscientes ou non de leur origine divine. Le besoin de clarté, de justesse et de lumière devient urgent. 
Lorsqu’on guérit l’enfant intérieur et donc en même temps l’âme, bien que la vie se manifeste de façon beaucoup plus agréable, fluide, il reste un sentiment d’incomplétude, de manque et de vide. Même si je suis la guidance de l’âme pour réaliser ce que je crois être son rêve, des questions restent sans réponses et le manque d’assurance est aussi présent. Il est clair que le fait de connaitre son âme, de suivre sa guidance rend la vie beaucoup plus joyeuse et facile quand on lui fait confiance, mais la vérité de l’âme est subjective. Sa vision est conditionnée par la dualité. Elle se fixe des objectifs de croissance en venant s’incarner et ce fait même démontre qu’elle n’a pas accès à toute la connaissance. Également, elle arrive chargée d’un bagage lourd, de blessures à guérir et ne peut donc pas être parfaitement objective. Elle permet d’accéder à une dimension de connaissance plus large mais qui reste limitée et conditionnée.

dimanche 2 février 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, Leçon n°26




Plusieurs ont prétendu avoir entendu la Voix de Dieu, et ils ont consigné par écrit, les messages reçus. Il fut un temps où plusieurs de mes mots furent consignés, et il était dit qu’ils provenaient de Dieu. Sachez que c’est la vérité, que chaque mot qui est sorti de ma bouche était de Dieu. Cependant, c’est la même chose pour vous, lorsque vous vous permettez d’être utilisé par l’Esprit et par la façon dont Dieu Fonctionne. Comme vous le savez, c’est votre objectif.
Je fus cité comme ayant dit: « Je suis venu pour vous donner la vie, ainsi, votre joie sera complète ». Ce que j’ai réellement dit, était: « Je suis venu vous Redonner à la vie, afin que votre joie puisse être parfaite ». C’est ce que nous allons explorer avec cette leçon, Bien-Aimé(e) (s), car vous êtes enfin rendu(s, e, es) au point de mettre de côté, toutes les façons dont vous avez limité votre joie et dont vous vous êtes convaincu (s, e, es) que vous étiez satisfait(s, e, es) .

L'élan de l'instant


Edwin Kats

 
Les jours s’écoulent tranquillement malgré le tumulte extérieur et plus j’accepte ce qui se vit en moi, moins l’entourage me perturbe. Une voisine a enterré sa mère et pour l’occasion, elle a reçu sa famille éloignée et un homme emménage avec deux enfants en bas âge, ça déménage, c’est le cas de le dire !  Je n’ai même plus besoin de construire une bulle de lumière dorée pour me protéger puisque le contact permanent avec le divin me donne un sentiment de complétude, comme si j’étais une famille, une tribu. Le fait de personnifier la source, tout comme mes corps mental, émotionnel, mon ego, l’enfant intérieur, mon âme et ma présence divine, est un moyen de rendre la relation intime, de ressentir l’unité puisque je les considère à "égalité", tous aussi légitimes les uns que les autres. Même si le point de vue de l’esprit est plus large, et si je tente de voir à travers ces yeux là, je ne rejette pas pour autant celui des autres et privilégie le regard avec les yeux du cœur, celui qui est au milieu, entre mon humanité et ma divinité. Je ne compare plus l’âme et l’esprit puisque ça créé une division intérieure. Je continue de leur parler individuellement mais c’est plus une façon de reconnaitre le masculin et le féminin intérieur. Tout ceci a pour but de restructurer le mental, de lui donner des points de référence, des repères et de sentir, l’intimité avec les dimensions les plus éclairées de mon être.

samedi 1 février 2014

AIME






Mon cœur déborde de compassion, ce matin ! Beaucoup d’humains divins, conscients ou non de leur origine, vivent en ce moment de grands bouleversements et la détresse de certains m’ouvre le cœur, me remplit de compassion et en même temps d’espoir, au lieu de m’anéantir et de me plonger dans la douleur devant mon impuissance, comme ça m’arrivait avant. Espoir et compassion pour tous ceux qui ressentent les influences de la source et en sont chamboulés. Le moment où l’humain lâche prise, c’est toujours lorsqu’il se trouve devant le choix unique, ultime et essentiel ; l’amour ou la peur. Être bouleversé, c’est le signe que le cœur s’ouvre, qu’une magnifique opportunité de faire circuler l’amour en soi, la tendresse, et d’être en contact directe avec la source de vie, est à portée de main, de cœur ! Quand nous réalisons notre impuissance mentale, si nous abandonnons la lutte, l’esprit peut alors agir. Je le vérifie à chaque fois qu’une émotion se présente et que je la vis sans m'y identifier.
Quand on ne sait pas du tout ce qui nous arrive, on peut certes paniquer mais quand on a foi en l’amour, quand on sait qui on est en vérité, quand on connait le processus de libération des émotions, quand on a goûté le bien-être, la paix de l’esprit, il n’y a plus qu’à se laisser « être ». A vivre les émotions qui sont là, maintenant, et ainsi les libérer. Tant qu’on essaie de vivre ce processus au niveau du mental, on reste limité, coincé dans la peur, le passé, ou le futur alors que la libération vient de l'acceptation du moment  présent.