jeudi 30 janvier 2014

Chère âme...précieuse partenaire


Thaïs Lovinja


Je constate que nous sommes nombreux à vivre de grands bouleversements et la foi, l'intimité avec son âme, sont une ancre. J’ai passé la journée d’hier, remplie d’une belle énergie, de joie, un sentiment de liberté, de puissance, jusqu’au moment où je suis tombée sur un texte qui explique ce que sont l’âme, l’esprit et l’enfant intérieur. Je n’ai pas tout lu parce que ça bloquait. La sensation de voir l’âme considérée comme un "sous-produit", m’en a empêché et j’ai fini par conclure que si l’âme devait se rendre à l’esprit, je le vivrais en temps voulu. J’étais réveillée à 3h et commençais à noter mes impressions en étant divisée intérieurement. J’ai remarqué que j’avais déjà eu cette même réaction la fois où j’étais en train d’écouter un message du site « autres dimensions » et que j’avais été absorbée dans la sensation de ne faire qu’un avec le tout. C’était troublant puisque ça me ramenait à une expérience de sortie du corps où j’avais été marquée par la pensée « à quoi bon ! » La vision du monde totalement illusoire m’avait amenée à faire cette conclusion à un moment de ma vie où j’étais dans le rejet de l'incarnation et de mon corps physique ce qui n’avait pas du tout amélioré mon état d’esprit. Cependant, cette expérience m’avait permise de savoir que je n‘étais pas seulement ce corps puis de remettre en question la réalité du monde, des humains, leur vérité. J’étais déjà marginale et plutôt anarchiste et cet épisode m’a confortée sur cette voie sans pour autant m’extraire du rôle de rebelle.
En 2010, je lisais tous les messages du site « Autres dimensions » que je trouvais très cohérents mais qui m’éloignaient trop de la réalité terrestre et risquaient de me faire rejeter mon corps physique que je commençais enfin à apprécier et à pouvoir guérir. 

mercredi 29 janvier 2014

"La réalité du manque", message du collectif Ashtar, via Simon Leclerc



Nous portons tous à divers degré, un sentiment de manque affectif qui nous pousse à chercher notre moitié, la reconnaissance extérieure, l'approbation de nos pères...C'est en nous-même que nous trouvons la complétude, au centre de notre cœur, en s'abandonnant en confiance au divin intérieur, l'abondance de l'amour, la source d'eau vive s'écoule éternellement.
Je vous laisse apprécier ce message qui me touche particulièrement et résonne fortement en moi. L'amour vrai de Soi, l'acceptation de nos aspects fragiles, remplit de gratitude et cette fréquence attire l'abondance tout naturellement. Quand à la source, l'origine et la façon de recevoir cet enseignement, seuls votre coeur, votre âme peuvent vous certifier sa véracité, pour ma part, le doute n'a jamais eu sa place et par l'expérience, la pratique de l'accueil des émotions, c'est devenu une certitude.



Processus de libération, d'auto-guérison, suite..."La reine des neiges" d'après le conte d'Andersen


Sljapko Lokic



Plus la date du stage approche et plus je me sens stressée. Je fais en sorte de rassurer le mental par des raisonnements logiques, afin qu’il n’amplifie pas la peur. Puis je prends en charge les tensions dans le corps, qui se révèlent lorsque j’appelle la peur à se montrer. Comme je sais que le processus est efficace, j’ai décelé un blocage au niveau inconscient, concernant ma capacité à réaliser correctement cet exercice. La foi est indispensable dans le processus de guérison et constitue 50% de celle-ci. Pour le moment c’est tout ce que je me sens capable de faire. Je n’ai absolument rien préparé et ne cherche même pas à gagner de l’assurance à ce niveau là puisque tant que la charge émotionnelle est trop forte, elle perturbe tout processus de création, brouille l’écoute et empêche l’action. J’ai donc accueilli le manque de confiance en soi et je m’interdis de lire les messages qui parlent de l’ascension. Comme j’ai tendance à me critiquer, à me dévaloriser par comparaison, ça n’est pas l’idéal pour gagner la confiance en soi. Le fait de parler de guérison est assez frustrant parce que ça donne le sentiment d’avancer trop lentement, d’être à la traine. Le traitement des peurs me semble sans fin et bien souvent je dois accueillir cette énergie de découragement, de sensation de tourner en rond. Mais d’un autre côté, on ne peut continuer d’avancer dans le déni, faire semblant de progresser alors que des peurs subsistent et présenter une image de vainqueur pour rendre la foi en l'humain divin crédible. Oui, « ça marche » mais pas de la façon dont on l’imagine, à l’ancienne.

mardi 28 janvier 2014

"Le Peuple des Éléphants" reçu par Caroline Leroux






Bonjour!
Nous sommes les pachydermes terrestres et nous jouons un rôle similaire à nos sœurs les baleines qui règnent dans l’élément eau...
Bonjour à vous, petit peuple, nous sommes les éléphants, gardiens de la mémoire planétaire et responsables de maintenir l’équilibre dans le règne animal! Il est évident que notre grosseur physique est la 1ère chose qui attire le regard chez nous mais cet attribut physique n’est là que pour refléter notre grandeur d’âme et pour protéger ce qu’il y a en nous... D’êtres les gardiens de la mémoire planétaire ainsi que les responsables de l’équilibre chez le peuple animal exigent maturité, force et sagesse. C’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle nous vivions très vieux car la sagesse est une qualité que nous possédons, dès la naissance mais c’est aussi une qualité qui croît avec l’âge. En nous incarnant ici, nous avons à nous adapter à beaucoup de variantes avant de pouvoir exercer notre rôle de chef spirituel...
À l’origine, notre ancêtre le mammouth, n’avait que peu de prédateurs et c’est ainsi qu’il devait en être. L’éléphant, de par la place qu’il occupe au sein du règne animal, n’a jamais eu pour rôle celui de «proie», à quelques exceptions près lorsqu’un éléphant est très vieux ou malade. Aujourd’hui cependant, marque suprême d’un très grand déséquilibre, l’éléphant est chassé et cruellement tué, sans égard pour son rôle primordial, sa place dans la famille, son âge ou sa santé. Nous savons bien que les êtres qui nous massacrent sont désespérés, déconnectés et parfois sans autres moyens de survivre. Nous les reconnaissons rapidement de par la peur et la distorsion qui émanent d’eux...

"J’accepte cette éternelle situation d’avoir à choisir et je choisis d’être vivante éternellement !"



*
Jeffrey Sabara



Je recommence à me réveiller en pleine nuit et j’ai bien l‘impression que l’approche du stage y est pour quelque chose. Des voix intérieures se font entendre dont une qui est particulièrement naïve et apeurée. C’est l’enfant intérieur qui exprime ses doutes, se pose des questions et comme je ne travaille plus depuis 2010, c’est assez logique que des interrogations émergent. D’autant que passer de l’assistanat au statut de travailleur indépendant représente un pas de géant. Je dis qu’il s’agit de questionnements de l’enfant intérieur parce qu’heureusement, je ne m’identifie plus seulement à cet aspect vulnérable de ma personnalité. Il est clair que lorsqu’on a vécu en nourrissant la victime intérieure toute sa vie, trouver l’autonomie à tous les niveaux et en particulier au niveau financier, n’est pas une mince affaire, d’autant que j’avance "à l’aveuglette". Je suis convaincue d’être guidée, inspirée par mon âme mais je ne sais pas du tout où je vais. Je n’ai toujours pas définit clairement mon objectif et ne sais pas si c’est la conséquence de peurs ou celle de mon désir de suivre l’âme en toute confiance ou encore un peu des deux. Chaque fois que j’ai vu une conférence concernant les entrepreneurs, les stratégies marketing me semblaient un genre de formatage, à la limite du non respect d'autrui. Une façon de calculer qui est une forme de manipulation. Quelques conférenciers arrivent à associer le cœur et le mental, à être dans l’équilibre entre donner et recevoir, sans tomber dans l’excès. Il me faut trouver ma propre façon d’être dans ce domaine et tant que des peurs subsistent, je ne peux guère avancer.

lundi 27 janvier 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* par James Twyman, leçon 24





Vous voyagez vers le centre de la Roue, et tout en vous déplaçant de l’extérieur vers l’intérieur, sur ses rayons, vous commencez à ressentir quelque chose qui s’éloigne de vous. Ce sont les pensées que vous entreteniez envers vous-même, et qui n’ont jamais servi l’Intention Divine pour laquelle vous avez été créés. Laissez-les joyeusement s’en aller, car vous n’en avez plus besoin.
La seule chose dont vous ayez besoin de vous souvenir, est un ancien accord que vous avez conclu avant de naître, même avant que la pensée de naître dans ce monde vous semble possible. Ce moment n’est pas aussi éloigné que vous pouvez le penser, en fait, il est en train de se produire. Voilà pourquoi la conclusion de cet accord est assurée, vous allez vous éveiller et accomplir ce Saint Contrat. C’est pourquoi  je suis si confiant envers la lumière qui se dessine devant vous. Si vous le désirez, vous pouvez ressentir ma présence en cet endroit, soutenant et aimant la vérité intérieure qui n’a jamais été changée par votre rêve sans valeur. Nous nous regardons l’un l’autre, en état de gratitude pour Celui qui a fait que nos rêves de séparation ne se réalisent pas, et qui n’a jamais permis que nous tombions trop profondément dans les pièges d’un monde qui n’a jamais existé.

Le portail du coeur, accède au divin, au nouveau monde


Lydia Féliz


Je suis encore bouleversée par la journée d’hier, la libération énergétique et la vision que j’ai eue sont gravés dans ma mémoire. Mon cœur s’est encore ouvert et je pleure pour un rien. Il ne s’agit pas de plainte, ni même de souffrance mais juste d’une sensibilité accrue, d'un attendrissement. Comme j’ai vécu la libération dans l’équilibre et la paix, ma force a augmenté de la même façon. Je me sens encore plus apte à prendre soin de mon enfant intérieur, de cette "fragilité". J’utilise ce mot volontairement parce que c’est la façon dont la société, les humains, associent sensibilité et faiblesse. Il est clair que l’hypersensibilité peut rendre inapte à "faire sa place dans la société" mais on ne peut pas fonctionner avec une moitié de cerveau, un demi corps, une seule énergie. L’équilibre est nécessaire en toute chose, ombre et lumière, masculin et féminin, intellect et intuition, cœur et ego…
Tant qu’une part de nous est mise dans l’ombre, tant qu’elle est occultée, on ne peut être heureux à moins d’user de subterfuges pour compenser le manque d’harmonie. Et c’est ce que fait la majorité des gens, dont je fait encore partie. Pour être performant on utilise des produits dopants qui vont du café à la cocaïne, pour compenser le manque d’amour, on deviendra alcoolique ou héroïnomane, boulimique, consommateur compulsif, bref, on usera de stratégies qui finiront par nous détruire. Bien que ça puisse sembler très réducteur et sombre comme "analyse", c’est néanmoins la réalité mais il est possible de vivre autrement, de fonctionner dans l’unité, dans l’amour tout en usant de discernement.