samedi 18 janvier 2014

Le modèle de la dissertation pour examiner toute situation


Elena Shumilova


Ce matin, pendant deux heures, j’ai eu l’agréable sensation que mon corps mental était vide. Pour une fois, pas de chanson, pas de vacarme, mais une sorte de tranquillité, comme si une épuration avait été réalisée pendant la nuit. Puis au moment où j’ai pensé à ce que j’allais écrire, l’idée m’est venue de m’adresser à ma présence divine, mon âme, enfin à l’aspect plus éclairé et sage de qui je suis. Je continue à distinguer l’âme et la présence divine comme s'ils étaient les représentants ou les porteurs de l’énergie masculine et féminine, des deux aspects de la source, afin de mieux connaître ce qui circule en moi. Puis d’intégrer la notion de complémentarité plutôt que celle d’opposé. Pas évident de rester sur la voie du juste milieu, de se faire une opinion sans tomber dans le jugement.
Dans ma méditation quotidienne sur le trône, j’ai contacté la terre mère, le ciel pour les remercier de cette vie, de la façon dont elle se transforme et je leur ai demandé leur soutien pour arriver à libérer la notion de dualité. Des sujets de dissertation sont alors apparus naturellement et l’idée même que cette façon de considérer les choses soit enseignée à l’école, m’a semblé être un cadeau du ciel. Il faut tout de même arriver en classe de seconde pour accéder à cette connaissance essentielle.
En effet, c’est un moyen de poser un sujet, d’y réfléchir, de se faire son opinion, sans tomber dans le jugement, le parti pris. 

vendredi 17 janvier 2014

Guérir l’enfant intérieur, c’est accueillir son âme à bras ouverts




Lydia Féliz


La journée d’hier restera dans ma mémoire ! Que de changements ! Je ne sais pas si ce sont les énergies de la pleine lune mais j’ai "travaillé" intensément à libérer des peurs ! Oui, encore des peurs ! Une crise de paranoïa m’a accaparée pendant plus de six heures ! Record battu ! J’ai pourtant commencé par calmer le mental, revenir à la raison mais quand ça s’embrouille à l’intérieur, il devient difficile d’être sûr de faire la part des choses. Le mieux, c’est d’être en confiance, au moins dans le processus de libération, d’accueillir les émotions, les pensées perturbatrices, en ayant conscience que rien à l’intérieur, ne cherche à nuire. Comme je sais que j’ai tendance à cogiter et que ce processus du mental est issu de la peur, j’ai le "bon" réflexe d’accueillir les émotions mais le problème, c’est que je ne les sens pas vraiment. J’ai tout de même réussi à calmer le jeu et j’avoue que je suis assez "fière" de moi.
Une fois que la peur a été totalement balayée, que les faits m’ont montré que j’avais juste "actionné la boîte à ressasser", j’ai fait un retour en arrière pour me souvenir des différentes voix entendues. C’est ce qui est pénible avec les cachets, le mental parle plus fort que les autres corps et il est difficile de faire le tri. Encore une très bonne raison de m’en libérer. Comme je constate que la peur avait encore le "pouvoir" de me faire douter, ça me confirme la nécessité de réaliser le sevrage peu à peu. 
C’est épuisant énergétiquement de se laisser envahir par des vibrations de basse fréquence ! Heureusement que j’ai libéré la notion de bien et de mal pare que c’est une vision qui complique encore plus les choses.

jeudi 16 janvier 2014

Qui suis-je derrière les masques?



Ashley Vincent


La vie continue de me renseigner sur mon état intérieur profond, mon inconscient, mes croyances et chaque jour, je peux voir l’efficacité de la prise en charge de mon monde intérieur. Il est clair que beaucoup s’agacent d’entendre parler de l’enfant intérieur parce que ça donne l’impression d’avoir à régresser, à plonger dans les ténèbres, à nager dans la mer des émotions au risque de s'y noyer, à démolir tout ce qui semblait acquis et rassurait. On construit sa personnalité sur des croyances qui deviennent des certitudes quand elles sont confirmées par la science, les médias, les autres, on s'y accroche parce que ça nous évite de sonder les profondeurs. Pour mieux se convaincre d’avoir raison, on fait de la vision commune, notre référence. Mais quand on considère les choses honnêtement, on doit se rendre à l’évidence que ses croyances n’ont aucune base solide. On est rassuré de penser comme tout le monde parce qu’ainsi, on est compris, accepté, considéré comme quelqu’un d’avisé, qui sait, qui a compris "le système". Mais à y regarder de plus près, si on est totalement sincère avec soi, les croyances communes n’ont jamais été validées par notre intuition, notre ressenti physique, nos émotions.

mercredi 15 janvier 2014

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* via James Twyman, leçon 20



"Oneness through Rasha"


 J’ai dit qu’un maître qui a atteint la Troisième Illumination, l’Âme Réalisée, vit dans l’Éternel Oui. Quel meilleur avis pourrais-je vous donner ? S’il y avait seulement un cadeau que je pouvais donner, une simple récompense qui primerait sur toutes les autres, ce serait ce mot, cette expérience, cette Sainte Offrande qui a le pouvoir de transformer le monde entier.
Vivez dans le oui ! Je ne peux pas vous dire comment le faire, car ce cadeau est révélé à chacun de nous de façon unique et particulière. Tout ce que je peux vous dire est que ce cadeau est devant vous maintenant, et vous avez le pouvoir intérieur de l’activer. Choisissez-le parmi tous les autres et il sera vôtre. N’attendez plus.

"Le chemin de la liberté"





Je constate avec délice combien le désir d’unité favorise la guérison. 
Je vis mon sevrage comme une expérience de libération et mon mental participe activement au processus. 
Comme j’ai remarqué que le fait de le désigner comme reporter, observateur, permettait une désidentification à l’ego, en prenant de la distance sur les événements, les choses se passent relativement bien. 
Les messages qui viennent en synchronicité m’apportent les infos utiles à cette délivrance. Mais ce qui est le plus efficace, essentiel et incontournable puisque il modifie la fréquence vibratoire, c'est l'accueil des émotions. Je note dans les moindres détails, les symptômes, les pensées, qui émergent, les émotions qui se révèlent et dans le dialogue avec mes corps, ça devient une exploration en terre inconnue. 
Une découverte de mes ombres, qui par l’accueil de ce qui est, révèle l'énergie de vie coincée depuis des années pour ne pas dire des éons ! Je ne dis pas non plus qu’il s’agit là d’une promenade sereine puisque par définition, une ombre réserve des surprises mais comme la peur est "désactivée", elles n’apparaissent pas comme des monstres, des ennemis à abattre ou contre lesquels je devrais lutter. 
La lecture de la loi d’attraction selon James Tyberonn, a apporté de l’eau à mon moulin en jetant définitivement aux oubliettes toute notion de bien et de mal, de jugement, qui se transforme en discernement.

mardi 14 janvier 2014

"La loi d’attraction" par James Tyberonn, partie 2



Nicholas Roerich




La Loi de Croyance et la Loi de Création Consciente.
Par James Tyberonn. 
« Très Chers, il y a une science derrière la Loi d’Attraction. Et c’est la Loi de Croyance. Cette Loi régit ce que vous créez dans vos vies. Il s’y trouve les « coups montés » de la vie que vous avez planifiés et ajoutés pour votre croissance. Certes, les leçons que vous avez organisées sont apprises en leur faisant face dans un effort discipliné.
Il est donc essentiel que vous réalisiez que vous n’êtes jamais à la merci des évènements, que vous n’êtes pas prédestinés à affronter désespérément l’inexplicable comme un bateau perdu en mer. Maîtres, aucun évènement, qu’il soit psychologique ou physique, n’exerce de contrôle sur vous.
Quand vous comprendrez parfaitement la grande capacité de votre cerveau de contenir diverses croyances concluantes associées à vos expériences, vous verrez que vous avez des possibilités infinies de choix.

L’extérieur me stimule mais la décision m’appartient en tout temps.

Veselin Malinov


Je ne sais pas si c’est l’énergie de la source, l'inversion des pôles, la physiologie, la peur de l’ego de disparaître, la diminution des cachets..., mais en ce moment, ça déménage. Je dois être vigilante à ne pas retomber dans la comparaison, la dévalorisation, les idées à propos du masculin et du féminin qui appartiennent à l’inconscient collectif...et par conséquent qui sont aussi en moi...
Le nettoyage intérieur n’est pas terminé ! C’est la seule certitude que je puisse avoir ! Concernant les énergies complémentaires, je me laisse encore influencer par les apparences et c’est certainement dû au fait que les mots écrits ne portent pas autant l’énergie que lorsqu’ils sont prononcés. Si on compare un texte rédigé par un homme et un autre écrit par une femme, le contenu diffère et ça vient peut-être des vieux schémas, des rôles prédéfinis qui considèrent l’homme comme le père et la femme comme la mère. On ne peut réduire un être à une fonction ni même le confiner dans un rôle mais il semble que les vieilles habitudes soient très tenaces ! Rares sont les hommes et les femmes qui expriment autant le masculin que le féminin et c’est maintenant le nouveau critère que je choisi (évidemment associé au ressenti) afin de valider toute info. C’est ce qui m’amène très souvent à « croire » plus facilement un message venant d’êtres de lumière, des maîtres ascensionnés, des guides, des archanges et des anges plutôt que ceux des humains. Mais là aussi, il y a deux bémols. Le premier, c’est le fait que le récepteur est humain, imprégné de son histoire et donc jamais réellement neutre. Le second, est liée au fait qu’un être désincarné n’est pas soumis aux exigences du corps physique et bien que sa vision soit « pure », elle reste très idéologique, théorique et difficile à ramener sur le plan matériel.