Lydia Féliz |
La
journée d’hier restera dans ma mémoire ! Que de changements ! Je ne
sais pas si ce sont les énergies de la pleine lune mais j’ai "travaillé" intensément à libérer des peurs ! Oui, encore des
peurs ! Une crise de paranoïa m’a accaparée pendant plus de six
heures ! Record battu ! J’ai pourtant commencé par calmer le mental,
revenir à la raison mais quand ça s’embrouille à l’intérieur, il devient
difficile d’être sûr de faire la part des choses. Le mieux, c’est d’être en confiance, au
moins dans le processus de libération, d’accueillir les émotions, les pensées
perturbatrices, en ayant conscience que rien à l’intérieur, ne cherche à nuire.
Comme je sais que j’ai tendance à cogiter et que ce processus
du mental est issu de la peur, j’ai le "bon" réflexe d’accueillir les émotions mais
le problème, c’est que je ne les sens pas vraiment. J’ai tout de même réussi à
calmer le jeu et j’avoue que je suis assez "fière" de moi.
Une
fois que la peur a été totalement balayée, que les faits m’ont montré que
j’avais juste "actionné la boîte à ressasser", j’ai fait un retour en arrière pour me souvenir
des différentes voix entendues. C’est ce qui est pénible avec les cachets, le
mental parle plus fort que les autres corps et il est difficile de faire le tri. Encore une très bonne raison de m’en libérer. Comme je
constate que la peur avait encore le "pouvoir" de me faire douter, ça me confirme la nécessité de
réaliser le sevrage peu à peu.
C’est épuisant énergétiquement de se laisser
envahir par des vibrations de basse fréquence ! Heureusement que j’ai
libéré la notion de bien et de mal pare que c’est une vision qui complique
encore plus les choses.
Comme j’ai abordé le raz de marée intérieur avec la
certitude qu’il n’y a aucun ennemi, j’ai pu rester en paix malgré tout. Puis,
les moments de colère envers moi-même, ont été une occasion de libérer les
émotions et de comprendre la blessure qui était activée dans cette situation
particulière. En gros, le thème principal, était la peur d’être abusée, puis
derrière, la colère envers ma vulnérabilité ou plutôt ma naïveté, le fait
d’agir dans l’élan du cœur. Je fais totalement confiance aux autres mais quand
le doute s’installe et que je revois mon comportement, ma façon de tendre le
bâton pour me faire battre, de donner l’occasion à l’autre d’abuser de ma
confiance, là, je me reproche d’être spontanée, de ne pas être assez vigilante.
D’un autre côté, aller contre ma nature ne me convient pas non plus.
J’ai dû
accueillir la colère, envoyer beaucoup d’amour à ces parts enfantines et
j’ai réalisé une fois de plus, que cette naïveté, cette façon de faire
confiance, me permettait d’être en lien avec les autres, de façon authentique,
sans peur et ainsi de guérir justement la peur d'être abusée. Pourvu que le mental ne vienne pas semer le trouble. Mais celui-ci
ne fait que réagir à l’ego qui critique le manque de discernement. Il n’a pas
tout à fait tort mais d’un autre côté, la colère, le rejet de cette part de moi
ne fait qu’empirer les choses et c’est ça qui créé le problème. Si je continue
de libérer les croyances que je suis stupide, si je rejette une part de moi, je
nourris le manque d’amour et me rends encore plus vulnérable. Par contre, si j’accueille toutes les parts qui
s’expriment dans ce genre de situation, les choses s’améliorent. J'ai donc aussi
accueillies les critiques, l’ego et ses réflexions et demandé le soutien de la
source, de ma présence divine, de mon âme et pour le coup de Jeshua, afin que
les énergies masculine et féminine s’accordent, se complètent.
Finalement,
bien que par moment je doutais d’avoir accueillies les émotions correctement,
lorsque je me suis dit que le fait de douter était justement ce qui pouvait
remettre en question l’efficacité du processus, je me suis abandonnée à mon
âme, ma présence divine, j’ai choisi de faire confiance à ces aspects de qui je
suis mais aussi à ma personnalité humaine, me souvenant que tout est uni,
s’harmonise naturellement et seules mes croyances de séparation peuvent me
donner l’impression d’une rupture, d’une séparation, que quelque chose en moi n'est pas "correcte".
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Jocelyne Blazquez |
J’ai
reçu mon nouveau « jouet », la nouvelle tour, avec un nouveau système
d’exploitation, Windows 7 au lieu de XP. Je garde tout de même la vieille en
mode privé, sans la connecter à la box. J’ai de quoi m’occuper pour m’adapter à
cette nouvelle configuration, transférer les dossiers, faire les réglages afin
de retrouver quelques repères de l’ancienne présentation. J’ai déjà bien avancé
et la rapidité à laquelle je me suis adaptée m’a montrée que j’avais bien
progressé dans la gestion de ces outils. Ce qui me permet d’être à l’aise,
c’est d’avoir libéré la peur de me planter. C’est très souvent ce qui handicape
le plus lorsqu’on doit intégrer quelque chose de nouveau.
Une idée qui m’avait
bien aidée à ce niveau, c’est la façon dont les enfants utilisent l’informatique.
Leur facilité à manipuler ces outils vient surtout du fait qu’ils n’ont aucune
peur et aucun doute quand à leur capacité d’utiliser ce matériel. Ils le font
en plus dans un esprit de jeu, de découverte et ces énergies sont idéales pour
être efficace. D’autant plus qu’il est difficile de faire une erreur vu que
chaque opération ouvre une fenêtre qui indique la marche à suivre. Finalement,
ce n’est que le graphisme qui change, les programmes légèrement améliorés et
d’ailleurs parfois c’est carrément pire, enfin selon mon goût. Ce qui est bien
c’est que je sais comment personnaliser l’engin, comment me
l’approprier. La première fois que j’ai eu un ordinateur, j’ai passé des nuits
blanches à le découvrir !
Là,
en quelques heures, il est déjà opérationnel et adapté à mon style. J'ai commencé par critiquer le fait qu'il y avait encore plus de jeux dans le système, en me disant qu'ils faisaient en sorte de donner encore plus de distraction histoire de maintenir endormi. Puis, je me suis dit que ça participait aussi à l'éveil puisque les énergies de la légèreté, de la joie permettent de libérer les notions d'effort, de devoir, tout en facilitant l'intégration de l'amour lumière de la source. Tout ce qui favorise le lâcher prise est bénéfique pourvu la distraction ne devienne pas une fuite. Tout est vraiment une question d'équilibre!
Je
reviens sur la question que je me suis posée à propos de ma capacité à
accueillir correctement les émotions. J’ai tendance à rechercher la validation
extérieure et donc à oublier le fait que le divin intérieur qui est ce que je
suis, est tout puissant et que le "faire bien" ou "j’ai
bon ? est une notion totalement humaine, limite puérile. D’ailleurs en le disant
j’ai rigolé de ma naïveté, mon côté enfant qui cherche la validation de papa
maman. Ce n’était pas un rire ironique mais plutôt une forme de tendresse
envers l’enfant intérieur. Je l’ai bien rassuré hier, malgré tout et je me suis
couchée avec la sensation de sa présence joyeuse à l’intérieur.
J’ai carrément
éclaté en sanglot en considérant la complicité de mes cellules, leur capacité à
ne pas se rebeller quand j’accorde trop d’attention au mental. Je prends de
plus en plus conscience que je suis effectivement constituée d’amour et de
lumière quand je pense à mes cellules, leur capacité de régénération, leur
patience envers mon entêtement et les mauvais traitements que je leur inflige
parfois ; manque de sommeil, nervosité, effort physique sans
échauffement, mauvaise gestion des émotions...
La façon dont mon corps me communique les messages de mon âme,
dont il me parle au travers des symptômes et des sensations, le fait que je n’attende pas de
souffrir pour réagir, créé une belle complicité. Là aussi, en libérant
toute idée d’ennemi intérieur, une intimité se créé. C’est comme si mon corps
pouvait mieux se régénérer depuis que je le considère comme un allié indispensable,
comme l’enveloppe protectrice de mon âme, un genre de père pour elle, pour
l’enfant intérieur.
D’ailleurs, plus ça va et plus je suis convaincue que l’enfant
intérieur, qui représente la vulnérabilité, la douceur, la tendresse,
l’innocence...est littéralement l’énergie de l’âme. C’est un ressenti plus
qu’autre chose, comme si ces aspects que je distingue, différencie pour mieux me connaitre, étant le même genre
d’énergie, ne faisait qu’un. En théorie ça semble logique puisque l’idée de
séparation appartient au mental humain, à l’ego mais le fait de le ressentir,
amène une forme de compréhension plus profonde, vivante, de cette vérité.
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Source inconnue |
Même
si j’ai râlé hier à cause de l’inconfort que créé le doute de soi et comme je
sais à peu près bien le gérer, aujourd’hui, je me dis que j’ai encore grandit,
guérit, libéré, et amplifié ma foi, l'amour de soi et la confiance, et la connexion à l’âme, au divin est encore
plus évidente.
Je
sais maintenant que la prochaine fois que le doute sera là, je me laisserais
moins impressionner. J’aurais plus de facilité à croire les légers murmures, qui
me rassurent toujours dans ce genre de situation, mais que je n’ose pas croire.
J’ai entendu des phrases rassurantes accompagnées d’un ressenti les confirmant
mais le doute et la peur ont été plus fort.
On
a beau le savoir, en théorie, réussir à gérer les émotions, devient facile uniquement par la pratique. J’en, suis déjà au stade où ça devient un
réflexe, où je ne doute pas que ce soit la meilleure chose à faire, c’est déjà
énorme !
C’est
ce constat qui m’aide à être patiente. D’autant plus que j’ai encore appris pas
mal de choses hier, grâce à cette expérience. Une meilleure compréhension de
moi-même, de mes peurs, de mes blessures, le constat des progrès effectués, une
forme de sagesse dans la gestion de la situation...
Il
est bon de voir objectivement tous les aspects d’une situation et de se
féliciter, de s’auto-valider lorsqu'on arrive à peu près à maitriser les énergies, comme on le ferait pour quelqu’un d’autre. C’est
toujours plus facile de trouver des occasions, des bonnes raisons de faire des compliments aux autres
que de s’en faire à soi-même et le fait que j’y arrive enfin, est un signe que
l’amour véritable de soi devient ma réalité.
Puis
quand le doute est absorbé par la lumière de la source, la confiance en soi qui
s’installe est renforcée. La confiance en sa capacité de se prendre en charge,
de trouver les solutions à l’intérieur amplifie l’amour de soi mais aussi
révèle l’unité du masculin et du féminin, leur interaction.
Bon,
j’ai rendez vous chez le toubib pour le renouvellement d’ordonnance, voyons ce
qu’il dit des bouffées de chaleur. Je continue de ressentir un regain d’énergie
quand elles se manifestent et ça me pousse à croire que c’est en rapport avec
la kundalini. Les croyances que j’aie à ce niveau ont été très influencées par
le peu de trucs que j’ai lu à ce propos, il y a un certain temps. C’était
présenté comme quelque chose de « dangereux », de mystérieux et
associé au mal et pour cette raison, je n’ai pas cherché à en savoir plus. Il
m’apparait que les interprétations des humains sont souvent exagérées et comme
c’est toujours considéré à travers la vision duelle, ça n’a aucune crédibilité
à mes yeux. Faire un mystère de quelque chose qui est en nous, familier,
intime, est un moyen de vouloir avoir du pouvoir, de se situer en initié,
en enseignant, et me semble complètement malhonnête. Il y a des gens qui savent des vérités mais
de là à en faire un mystère ! Comme les garagistes, les techniciens en
informatique qui vous disent toujours que c’est très compliqué, ils en rajoutent
pour gonfler les factures. Un simple savoir devient un secret d’initié qui pour
le coup sera vendu très cher !
Maintenant
que je suis encore plus convaincue d’avoir tous les outils, toutes les portes
d’accès à la connaissance, aux vertus des rayons, aux énergies de la source du
christ, des maitres, des archanges, des anges...je me focalise sur mon monde
intérieur et tout m’est révélé. Enfin, là aussi, c’est relatif, tout ce qui
sert ma progression, mon éveil et ma guérison, est accessible par l’accueil des
mouvements intérieurs. Tout le monde a ce "potentiel", celui de se
connaître en s’aimant véritablement et c’est pourquoi ça sera la chose que je
transmettrais.
Apprendre
à s’aimer vraiment est l’essentiel, la base nécessaire à la guérison des
blessures, la capacité de réaliser soi-même les libérations, de retrouver son
autonomie, sa puissance et le divin en soi par la libération des énergies de la source en soi.
Guérir
l’enfant intérieur, c’est accueillir son âme à bras ouverts, guérir ses
blessures et rendre au féminin son intégrité, révéler la déesse ! Aimer
les aspects un peu bruts intérieurs, ces parts qui jugent, critiquent, accusent,
exigent, c’est accueillir le masculin, le guérir et lui rendre sa divinité.
Quand
on réalise que ces deux aspects contraires peuvent parfaitement se compléter,
on trouve l’harmonie, on réalise, on reconnaît qu’on est complet, qu’on est UN.
Bon
c’est partit pour une journée d’action, de repos, de jeu, d’apprentissage, une
occasion renouvelée de faire marcher tous les corps ensemble, de les associer,
d’apprendre à mieux les connaître, mieux les aimer et communiquer avec eux pour
connaitre leurs besoins et y répondre. Programme passionnant ! Vendredi 17
janvier, me voilà, dans la joie, la légèreté, la liberté d’être, d’avoir et de
faire, portée par la source, mon âme et ma présence divine unifiés !
Je ne pensais pas devoir ajouter ce qui suit mais ça me semble approprié maintenant.
Vous pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter
l’intégralité et de citer l’auteur : Lydia Féliz, ainsi que la
source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces deux lignes. Merci