Je
constate avec délice combien le désir d’unité favorise la guérison.
Je vis mon sevrage comme une expérience de libération et mon mental participe activement au processus.
Comme j’ai remarqué que le fait de le désigner comme reporter, observateur, permettait une désidentification à l’ego, en prenant de la distance sur les événements, les choses se passent relativement bien.
Les messages qui viennent en synchronicité m’apportent les infos utiles à cette délivrance. Mais ce qui est le plus efficace, essentiel et incontournable puisque il modifie la fréquence vibratoire, c'est l'accueil des émotions. Je note dans les moindres détails, les symptômes, les pensées, qui émergent, les émotions qui se révèlent et dans le dialogue avec mes corps, ça devient une exploration en terre inconnue.
Une découverte de mes ombres, qui par l’accueil de ce qui est, révèle l'énergie de vie coincée depuis des années pour ne pas dire des éons ! Je ne dis pas non plus qu’il s’agit là d’une promenade sereine puisque par définition, une ombre réserve des surprises mais comme la peur est "désactivée", elles n’apparaissent pas comme des monstres, des ennemis à abattre ou contre lesquels je devrais lutter.
La lecture de la loi d’attraction selon James Tyberonn, a apporté de l’eau à mon moulin en jetant définitivement aux oubliettes toute notion de bien et de mal, de jugement, qui se transforme en discernement.
Je vis mon sevrage comme une expérience de libération et mon mental participe activement au processus.
Comme j’ai remarqué que le fait de le désigner comme reporter, observateur, permettait une désidentification à l’ego, en prenant de la distance sur les événements, les choses se passent relativement bien.
Les messages qui viennent en synchronicité m’apportent les infos utiles à cette délivrance. Mais ce qui est le plus efficace, essentiel et incontournable puisque il modifie la fréquence vibratoire, c'est l'accueil des émotions. Je note dans les moindres détails, les symptômes, les pensées, qui émergent, les émotions qui se révèlent et dans le dialogue avec mes corps, ça devient une exploration en terre inconnue.
Une découverte de mes ombres, qui par l’accueil de ce qui est, révèle l'énergie de vie coincée depuis des années pour ne pas dire des éons ! Je ne dis pas non plus qu’il s’agit là d’une promenade sereine puisque par définition, une ombre réserve des surprises mais comme la peur est "désactivée", elles n’apparaissent pas comme des monstres, des ennemis à abattre ou contre lesquels je devrais lutter.
La lecture de la loi d’attraction selon James Tyberonn, a apporté de l’eau à mon moulin en jetant définitivement aux oubliettes toute notion de bien et de mal, de jugement, qui se transforme en discernement.
Ranger
les choses dans des cases bien ou mal, est un exercice qui démontre la peur de
la personnalité de devenir responsable. Ce n’est pas forcément conscient puisque
c’est un formatage "subi" depuis la naissance.
Mais ça ne veut pas dire non plus que nos parents, l’école, la société soient responsable de cet état de fait. Puisque nous venons sur cette planète chargés de bagages et que nous atterrissons dans un lieu qui correspond exactement à notre vibration énergétique, au contenu de nos valises, la seule chose utile à faire c’est de devenir conscient de cette réalité.
Mais ça ne veut pas dire non plus que nos parents, l’école, la société soient responsable de cet état de fait. Puisque nous venons sur cette planète chargés de bagages et que nous atterrissons dans un lieu qui correspond exactement à notre vibration énergétique, au contenu de nos valises, la seule chose utile à faire c’est de devenir conscient de cette réalité.
Comme
les enfants qui craignent la punition, nous pouvons passer toute une vie à
accuser l’autre, l’extérieur de notre malheur et ainsi nous maintenir dans le rôle
de la victime, qui subit dans l’ignorance et la souffrance.
Mais
nous pouvons aussi décider de devenir responsable de nous-mêmes et trouver
notre puissance, notre capacité à choisir le chemin que nous empruntons. Il n’y
a pas trente six voies, il y en a deux, celle de la peur et celle du cœur.
Tant que nous restons sous l’emprise de la peur, nous ne pouvons pas voir les choses telles qu’elles sont réellement, tout sera filtré et étiqueté. L’adhésion à la peur oblige à classer les choses, et même si ça peut donner un semblant de sécurité, ça nous rend esclave de l’ego, des énergies de basses fréquences et de toute la population qui demeure dans les sphères de l’invisible qui vont amplifier chaque émotion et nous "empêcher" d’effectuer des choix.
Il n’y a pas de volonté derrière ces entités qui ne sont que des amas d’énergies créés par les croyances collectives et individuelles, tout fonctionne selon les lois universelles. Mettre des noms à ces masses énergétiques, relève encore de la peur d’être responsable de sa vie, de ses pensées, de ses émotions et de ses actes.
Tant que nous restons sous l’emprise de la peur, nous ne pouvons pas voir les choses telles qu’elles sont réellement, tout sera filtré et étiqueté. L’adhésion à la peur oblige à classer les choses, et même si ça peut donner un semblant de sécurité, ça nous rend esclave de l’ego, des énergies de basses fréquences et de toute la population qui demeure dans les sphères de l’invisible qui vont amplifier chaque émotion et nous "empêcher" d’effectuer des choix.
Il n’y a pas de volonté derrière ces entités qui ne sont que des amas d’énergies créés par les croyances collectives et individuelles, tout fonctionne selon les lois universelles. Mettre des noms à ces masses énergétiques, relève encore de la peur d’être responsable de sa vie, de ses pensées, de ses émotions et de ses actes.
Parce que c’est bien là qu’est le piège. Quand on désigne une personne extérieure à soi comme responsable de notre mal être, non seulement on perd notre souveraineté mais on nourrit les énergies qui se trouvent sur la bande de fréquence de la peur, de la culpabilité, de l’impuissance, du désespoir...Si je crois que Dieu ou le diable sont responsables de ce que je vis, je n’ai donc aucun pouvoir de me couper les fils qui me tiennent et font de moi une marionnette.
Même quand je crois que c'est dieu qui créé le bien dans je suis manipulée par mes croyances et déséquilibrée au niveau énergétique, incomplète. Je ne peux pas non plus accéder à ma véritable nature puisque je donne les rênes à mon ego.
Au passage, il n’y a pas lieu de l’accuser non plus puisqu’il prend la responsabilité que nous ne voulons pas endosser.
Dans
cette vision, je m’enferme dans la dualité et subirais mes humeurs tantôt
joyeuses, tantôt sombres, ainsi je serais ballottée entre deux états essayant
de me raccrocher au bien, à ce qui est agréable. Je serais condamnée à chercher
le plaisir, la joie dans des choses éphémères. Quitte à être manipulé, autant
choisir ses chaînes !
Mais la
bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a ni Dieu, ni diable, dans le sens où la
majorité des gens l’entend. Tout est question d’énergie, de fréquence et de
vision.
Nous créons littéralement notre monde selon l’interprétation que nous en avons.
Celle-ci est construite autour de nos croyances et c’est en cela que nous sommes tout puissants.
En
libérant la peur qui trouble la vision, on peut déjà avoir une compréhension de
la vie beaucoup plus objective et ainsi connaître le processus de création et par le choix d'être responsable, accéder à la création
délibérée.
A partir de là, il devient plus facile de choisir d’être responsable de sa vie.
Tant que nous craignons la punition ou que nous espérons la récompense, nous ne pouvons pas accepter d’être responsable puisque ça voudrait dire que nous sommes coupables d’effectuer les mauvais choix. Nous préférons donc ne pas avoir à choisir. Quand on comprend qu’il n’y a pas de punition, de mauvais choix, mais seulement des options qui génèrent des conséquences, on peut alors commencer à apprendre à devenir responsable.
Puis
quand on décide de choisir sa vie, de devenir adulte, de se prendre en charge, l’ego
qui a pour rôle de nous paterner, en bon "père", attendra que nous
soyons sûr de ce que nous voulons avant de nous émanciper. Nous aurons alors à
faire des choix et à les confirmer au fur et à mesure que la vie nous reflètera
l’état de notre inconscient, de nos croyances encore actives.
Je reviens toujours sur la nécessité de libérer la peur en commençant par la ramener à ce qu’elle est réellement, une fréquence énergétique spécifique.
Quand on libère la notion de bien et de mal, elle apparaît comme une force, puisque c’est une énergie qui peut être utilisée.
Soit parce qu’elle créé un contraste, nous permettant de choisir, soit par sa libération qui amène l’harmonie intérieure.
Le déblocage énergétique peut nous permettre de sentir l'énergie de la source et amplifier ainsi notre foi en l'humain divin. En tous les cas, elle nous renseigne, nous délivre un message. Que ce soit l'alerte d’un danger, un signe de déséquilibre intérieur, un blocage énergétique, un choix à faire, une direction à prendre, c’est un message du divin, de l’âme ou du Soi.
Il est essentiel de savoir que nous ne sommes pas non plus à la merci de nos émotions et que celles-ci sont des panneaux indicateurs. Nous pouvons choisir de ne pas nous identifier à ce qui se passe en nous sans pour autant renier qu’il s’agit de notre création. Tous nos corps sont conçus pour fonctionner harmonieusement et lorsqu’il y a un blocage énergétique, ils nous avertissent de ce fait.
Le corps émotionnel à travers les émotions qui émergent, le corps physique par les crispations, les tensions, l’âme par la petite voix qui murmure...
En
devenant conscient de ce qui se vit en nous, en observant avec neutralité et détachement, tous les mouvements internes, nous pouvons "lire notre inconscient"
et savoir quelles sont les croyances qui créent notre quotidien.
Si nous voyons que nous continuons d’agir à partir de la peur, en accueillant celle-ci, sans même savoir le message qu’elle transmet, nous libérons la charge énergétique et pouvons retrouver la paix qui permet de savoir que nous sommes centrés, en notre cœur. De ce point de vue, nous pouvons alors examiner avec neutralité n’importe quelle situation, effectuer des choix conscients, prendre des décisions éclairées. Nos créations deviennent moins douloureuses et les "épreuves" ne sont plus nécessaire puisque nous sortons de la dualité.
A moins
de libérer le jugement, l’accusation et la peur, nous restons soumis à l’ego, à son mode de fonctionnement, à
l’inconscient et reproduiront continuellement les mêmes scénarios afin d’arriver
à choisir la voie du cœur. Mais là non plus, il ne faut pas confondre.
Choisir d'agir à partir du cœur ne veut pas dire de choisir le bien.
Choisir d'agir à partir du cœur ne veut pas dire de choisir le bien.
Il s’agit plutôt d’accepter, de lâcher
prise, de se dire que nous créons ce que nous vivons et que finalement, la
seule façon d’avancer, de guérir, de se libérer, c’est de choisir la voie de l’acceptation.
Au bout du
compte nous ne choisissons plus vraiment dès lors que nous acceptons d’être
les créateurs responsables de ce que nous vivons.
Puisque la seule façon de libérer un schéma, c’est de l’accepter, la résistance deviendra le frein qui générera des souffrances jusqu’à ce que nous décidions de lâcher l’affaire.
Puisque la seule façon de libérer un schéma, c’est de l’accepter, la résistance deviendra le frein qui générera des souffrances jusqu’à ce que nous décidions de lâcher l’affaire.
Il peut
se passer beaucoup de temps entre le moment où nous vivons quelque chose de
difficile et celui où nous acceptons notre entière responsabilité dans la
création de la situation. Mais là encore, ça n’est pas pour nous faire du mal
mais simplement pour que nous devenions plus responsable, plus forts,
conscients des conséquences de nos choix et en même temps de notre puissance.
J’ai
commencé par vérifier mon potentiel créatif divin en constatant la récurrence
de certaines situations.
Puis en observant ma vie, mes pensées et en faisant le lien entre elles, j’ai vu que tout était une question d’énergie, de fréquence vibratoire et d'attraction.
Puis en observant ma vie, mes pensées et en faisant le lien entre elles, j’ai vu que tout était une question d’énergie, de fréquence vibratoire et d'attraction.
On ne peut pas résumer la vie à ce seul principe mais la base est réellement celle-ci.
Non seulement cette connaissance permet de rectifier le tir, de faire des choix qui nous élèvent mais en plus nous y découvrons le divin intérieur, notre puissance.
Tant que nous considérons les lois universelles à travers la notion de bien et de mal, nous continuons d’en subir les conséquences et ça peut nous maintenir dans l’inconscience, amplifier notre peur de choisir d’être responsable.
Seule la
neutralité permet d’être, objectif.
Choisir l’amour c’est décider de ne plus croire en la peur, en l’impuissance.
Même si nous ne comprenons pas toujours pourquoi nous créons des situations difficiles, le seul fait de se reconnaître comme l’auteur, nous donne le pouvoir d’agir, de changer. Non par peur ou par obligation mais parce que nous comprenons que ça nous limite, nous enferme et nous empêche d’être un créateur conscient. Ainsi en acceptant ce qui est, nous pouvons voir de façon objective ce que ça nous enseigne et en tirant la leçon appropriée, nous pouvons alors acquérir plus de sagesse, de lucidité, de discernement.
Il n’est pas évident de s’extraire de la peur, des limitations de l’ego mais quand on comprend qu’il n’est pas un ennemi mais au contraire, qu’il pallie nos carences, notre ingérence et n’est pas opposé à ce que nous choisissions de devenir responsable de nous-même, il coopère à sa façon. Sa fonction étant de nous aider à affirmer nos choix, à aiguiser notre discernement, à devenir conscient à nous pousser à être nos propres parents.
Depuis la naissance, il protège l’enfant intérieur fragile, de toutes agressions extérieur, il créé une carapace, des masques afin que nous puissions avancer dans la vie en ayant une certaine sécurité. Il nous protège de la souffrance tant que nous ne sommes pas capables de comprendre que nous pouvons être maitres de nos choix.
En prenant nos émotions en charge, nous commençons à découvrir les masques, les blessures qui se cachent derrière nos comportements. En libérant la charge énergétique, nous guérissons en même temps l’enfant intérieur et ce faisant, l’ego peut lâcher son rôle petit à petit.
Nous avons l’aide de nos parts divines, invisibles pour ce faire. Encore faut-il reconnaître qu’elles existent. Mais quand nous comprenons que nous avons le pouvoir de choisir l’inconscience ou la responsabilisation, les conséquences agréables de nos choix sont appuyés par le ressenti.
Une émotion accueillie, débloque l’énergie de la source que nous apprenons à reconnaître par la pratique. C’est une sensation particulière qui permet de savoir intimement qu’effectivement, nous sommes constitués de plusieurs corps, de plusieurs niveaux de conscience.
Le divin
se manifeste de mille et une façon et c’est en apprenant à lui faire confiance,
en constatant le mieux être, l'amélioration de nos conditions de vie qui résultent du lâcher prise, que nous pouvons avancer
en toute confiance, en sachant qu’une part de nous même veille à notre bien être,
à notre progression.
J’ai dû accueillir la joie hier ! J’ai été étonnée de constater qu’en essayant de ressentir cette émotion lors d’un exercice de perception de l’énergie, que celle-ci ne s’exprimait pas.
Puis, des pensées sont venues m’éclairer à ce sujet. Je ne me suis jamais autorisée à manifester cette émotion de façon naturelle puisqu'elle était associée à la peur.
Il y a le fait que le chakra sacré ait été bloqué par le trauma de l’inceste, qui empêche une libre circulation de l'énergie de la source.
Mais ça remonte bien au-delà de l’enfance. La vision de certaines incarnations passées en décembre 2012, m’a aidé à comprendre la nature et l’origine de plusieurs blocages créés par des croyances erronées.
J’ai besoin de comprendre ce qui se passe en moi mais ça n’est pas nécessaire si on est capable de s’abandonner au divin intérieur en toute confiance.
Tout dépend de notre capacité à lâcher prise et de la mission choisie par l’âme.
A ce sujet, je comprends un peu mieux les raisons de ses choix et ça m’aide à suivre la voie qu’elle a « tracée » dans les grandes lignes. Enfin, je dis l’âme mais c’est tout l’aspect divin intérieur qui établit les thèmes principaux de l’incarnation. Je dois dire que pour cette vie, le programme est chargé mais comme c’est la dernière, du moins dans la dualité, ça vaut vraiment la peine ! Puis il est question de liberté et ça, je crois que ça me porte depuis très longtemps !...
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l’intégralité, l’auteure et la source ; Lydia, du blog :
« Journal de bord d’un humain divin comme tout le monde » ou http://lydiouze.blogspot.fr