jeudi 9 janvier 2014

On n'est jamais obligé de subir quoi que ce soit et le choix de l'amour de soi amène toujours un mieux-être!







Je me réveille avec la forte sensation que tout s’accélère et que le dépouillement total, le lâcher prise au niveau du mental devient urgent. Non seulement au niveau du mental mais aussi au niveau du corps émotionnel puisque les deux fonctionnent ensemble. J’observe ce que je suis depuis une nouvelle perspective mais ça m’amène à me critiquer et ça créé la confusion en dedans. Le fait que je publie un sketch de Dieudonné me positionne dans cette histoire, même si ça n’étais pas mon intention puisque je mettais en avant le fait que tout le monde exprime des vérités (tout autant que des conneries). Mais comme cette "affaire" est une manipulation de masse caricaturale à l’image de la dualité intérieure, je m’en veux un peu d’être tombée dans le panneau. Le caractère fluctuant du mental/émotionnel, m’amène à penser que tant que je continuerais de m’identifier à ces aspects de ma personnalité, je serais ballotée au gré du vent. Si j’ai joué le jeu de la victime, c’est que mon enfant intérieur a besoin de compassion et c’est la seule chose à retenir. Et même si je peux parfois douter qu’il guérisse définitivement, je constate que la tendresse à son égard me permet de retrouver la paix intérieure.
Ce qui revient souvent en ce moment, c’est cette phrase, plus comme un constat que comme une critique, bien que ce soit limite par moments : « qu’est-ce que je peux dire comme conneries » ! Puis tout de suite derrière, je me dis que c’est simplement le fait que je reste identifiée à ce qui est illusoire, aux personnages intérieurs, à l’ego, qui créé la confusion.

mercredi 8 janvier 2014

"Frères et sœurs en Christ, en cette conscience unitaire"...et un texte de Christelle Schoettel



Lydia Féliz


Ce début d’année continue dans l’échange, la relation à l’autre qui correspond à celle que j’entretiens avec moi-même. Plus de confiance en soi, amène logiquement plus de confiance en l’autre. Plus d’amour vrai de soi, libère de l’attente extérieure et ainsi les relations sont fondées sur le respect mutuel, la sincérité et guérissent l’enfant intérieur, en sortant des schémas victime/bourreau/sauveur. 
Je n’en suis pas à la totale transparence mais je m’en approche de plus en plus et par effet miroir, je réajuste mon pas. C’est un réel soulagement de ne plus accuser l‘autre de ce qu’il me reflète. La paix en est le fruit et je retrouve mes pouvoirs. Celui de l’auto-guérison, du libre choix, de la maitrise des émotions, d’agir à partir du cœur. 
Quand je lis dans divers message que cette année sera celle de la récolte, je constate que c’est réellement le cas ; je goûte le nectar, tout comme le papillon sorti de sa chrysalide peut voler de fleur en fleur, se délectant des parfums, des couleurs et du précieux pollen qu’il distribue au passage, sans même le « savoir ». Cette symbolique de la joie manifestée qui rayonne, de la liberté d’être et d’agir, qui naissent de l’amour de soi, de l’équilibre intérieur et de la libération de la carapace protectrice, est exactement l’image de mon quotidien en cette nouvelle année. Je ne cherche plus à agir inconsciemment selon le modèle gagnant/gagnant, revendiquant mon droit de recevoir, je rayonne naturellement ce que je suis et l’énergie revient multipliée, des âmes sœurs apparaissent dans ma vie selon ces mêmes énergies et plus selon les rôles joués antérieurement.
L’amour sans attaches illustré par le papillon qui va de fleur en fleur, est aussi l’expression du divin. On a comparé cette attitude à l’homme qui va de femmes en femmes ou encore à la femme volage mais c’est une vision réduite et déformée.

mardi 7 janvier 2014

Un monde nouveau se présente à moi et en moi.





Ce matin, c’est l’euphorie ! Une douce sensation de complétude me remplit ! La sensation que toutes mes cellules vibrent à l’unisson, célèbrent la vie, la joie des retrouvailles ! La décision de me libérer de la camisole chimique est approuvée par tous mes corps et comme je ne me soucie plus des "injonctions", de l’ego sachant qu’il exprime une peur qui fut légitime autrefois, je ne suis pas dans la lutte à son égard mais dans l’accueil de la charge énergétique qu’il porte. Après tout, il a pallié si longtemps mon ingérence, que je lui dois bien cet allégement, cette libération et cette considération. Je remercie régulièrement tous mes corps reliés aux chakras du bas, tout autant que ceux reliés aux chakras du haut, pour leur adhésion à ma volonté de devenir autonome, de libérer la dépendance aux cachets. Comme la relation à tout ce que je suis devient une belle histoire d’amour, dont l'issue ne sera pas le drame, les peurs sont dissoutes dans cette énergie et chaque aspect de qui je suis, retrouve son plein potentiel et s’accorde harmonieusement.
Mes cellules m’apparaissent comme des entités libres et interdépendantes, comme si elles constituaient une population qui retrouve la cohérence dans la paix.
Le dialogue devient évident et je ne doute plus du tout que celles-ci me répondent tout autant que mes corps subtils ! Idem pour l’enfant intérieur qui se lâche de plus en plus, dans la confiance et par le soutien des énergies masculine et féminine, enfin réconciliées, amoureuses et partenaires.  

lundi 6 janvier 2014

Infos, médias, info alternative, abondance d'info...attention à l'indigestion!




Lydia Féliz

Devant la quantité d’infos croissante et la diversité de points de vue, il devient urgent de s’écouter, de sentir ce qui résonne, mais surtout ce qui nous est UTILE. 
Ce qui nous rapproche de nous-mêmes, nous aide à nous aimer mieux, à accepter nos imperfections et à cesser de vouloir être parfait. J’ai écrit ce qui suit tout à l’heure, comme un rappel avant tout pour moi-même. La curiosité peut parfois donner la nausée. Heureusement, il reste la nature, cyclique mais tellement rassurante. Ce lien avec la réalité concrète, celle qui me relie avec la source, la Terre Mère, les éléments, le cadre de vie naturel, le décor que j’ai choisi pour vivre cette incarnation. La sagesse de la Terre ne s’exprime pas à travers des mots, elle se vit, elle s’observe et c’est par le contact régulier et l’attention, qu’on arrive à comprendre son mode de fonctionnement. Elle enseigne l’essentiel de cette vie et la façon de bien vivre en accord, en harmonie, par l’intuition, le cœur tout en étant ancré, enraciné pour ne pas se laisser "embarquer" par le mental ou l'ego. Elle ramène à la simplicité, l'humilité, l'authenticité.
Elle est ma stabilité, mon ancre, malgré son mouvement perpétuel, malgré la naissance et la mort puisque tout ce recycle. De la semence au fruit, elle illustre l’humain autant que le divin. A son contact, je m’immerge dans le réel et me libère de la folie virtuelle.

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, leçon 17



source inconnue


Bienvenue encore une fois, Ami(s, e, es) Bien- Aimé(e, s), dans ce dialogue de l’éveil.
Les mots que nous prononçons sont seulement les symboles de la lumière que nous partageons, et c’est cette lumière qui mène à l’objectif réel, la Maison que vous n’avez jamais quittée.
Le rêve de la séparation cesse lorsque vous le demandez.
Comment se fait-il que vous ne l’ayez pas encore demandé ?
Pourquoi ?
Parce que vous aviez peur de ce qui pouvait se produire, quelle récompense ou punition alliez-vous savourer ou subir.
Le travail de votre Frère consiste tout simplement à vous rapporter ce qu’il a vu, et vous remémorer qu’il n’y a aucun danger à vous souvenir de qui vous êtes réellement.
J’ai vu le sentier qui est devant vous, parce que je l’ai franchi tout comme vous, qui êtes en train de le faire.
Moi aussi, j’ai ressenti la douleur et le manque, ensuite, l’aube d’un nouveau monde a submergé mon cœur, et j’ai pu voir à nouveau.
Pendant que vous vous éveillez, votre Frère vous prend par la main, alors que vos yeux sont encore ensommeillés.
Je suis ici, et je vais y demeurer jusqu’à ce que notre travail soit accompli.

"Qui est Jeshua?" reçu par Pamela Kribbe



Facebook "Good vibe"


Voici le message de Jeshua, reçu par Pamela Kribbe où il explique la différence entre Jeshua, Jésus et Christ qui furent incarnés en la personne connue sous le nom de Jésus-Christ, dans le nouveau testament.

"Perceptions diverses"


Lydia Féliz



Premier réveil à 1h30 après 5h d’un profond sommeil. Depuis hier matin, je me dis que le fait que j’écrive des détails de mon quotidien est fortement inspiré par mon âme parce que derrière cette inimité partagée, se cache le sens du Nous et la conscience que le quotidien, la vie dans son expression la plus simple, la plus « banale » lorsqu’elle est vécue, à partir de la conscience divine, du cœur, révèle toute sa beauté, son caractère exceptionnel et le privilège de pouvoir être ici et maintenant. Ce ne sont jamais des moments où nous exprimons l’extravagance d’un ego surdimensionné, à travers des gestes que nous qualifions d’altruistes ou que nous croyons amoureux, héroïques, que le divin se manifeste. Dès lors qu'on s'identifie à une fonction, un rôle, on n'est pas le soi authentique. Dès que l'on se définit, qu'on se colle une étiquette, on joue un jeu. L'élan du cœur est selon ce que je croie, ce qui se rapproche le plus de notre vraie nature, de notre état d'être, amour et lumière. Mais le cœur ayant ses propres blessures, cette conscience, tout comme celle de l'âme n'est pas la source elle-même, elle est une de ses nombreuses expressions. La conscience de la source, c'est l'ensemble de toutes les manifestations et elle est "accessible" lorsqu'on a conscience d'être tout. Mais pour reconnaitre ou vivre cet état, il nous faut reconnaitre avant tout, ce qui en nous, en est le plus désidentifié. Amener la lumière de la conscience et aimer tout ce qui nous constitue afin de réunir toutes ces parts dispersées par l'illusion de la séparation. Plus nous englobons nos ombres, notre petitesse dans l'amour, le cœur, l'âme, la présence et plus nous devenons conscient d'être la source. Plus elle peut éclairer nos parts sombres, dépourvues d'amour et plus nous nous reconnaissons en elle.