dimanche 24 novembre 2013

VOTRE MISSION DE VIE "8" par Murielle Robert




La Loi du Retour
« DEVENIR UN CANAL DE LUMIÈRE »

Le chiffre 8 est un des chiffres les plus prolifiques car il donne vie partout où il passe.
Que ce soit dans votre jour ou mois ou année, il vous propulsera vers les cimes les plus hautes comme dans les vibrations les plus intenses de la lumière.
Il est  lemniscate, le serpent qui se mord la queue afin de faire circuler l’énergie en tout et dans tous les règnes et tous les plans.
Il est la Fleur de Vie, là où tout commence avec les 8 pétales de vie pour l’expansion et la propulsion de tout ce qui vit en soi…..puis dans l’exponentiel….

Voici ce que le chiffre 8 nous propose comme enseignement….
Tout d’abord l’équilibre puisque de par son essence, il contient les deux mondes, le monde visible et invisible ainsi que le monde matériel et spirituel.
Ces deux mondes peuvent s’opposer à l’intérieur de nous comme s’harmoniser.
La balance vient nous réajuster dans nos mouvements vers le ciel comme ceux dirigés vers la terre.
On dit bien « avoir la tête dans les nuages et les pieds sur terre »
Cet adage s’applique très bien au chiffre 8.
Puis tout au cours de notre vie dans laquelle nous naviguons entre ses deux mondes, le point de jonction et d’unification est l’équité, la justice, non pas celle des hommes mais bien celle d’en haut, du monde spirituel que l’on appelle la loi du retour :
« ACTION-RÉACTION »……la loi de la Résonance.
« Pourquoi le malheur me tombe dessus, pourquoi à moi et pas aux autres »
Ce n’est pas juste, dirons-nous…..

C’est vraiment très simple en fait la vie...poème Isabelle Padovani, citations Jeff Foster



Image trouvée sur Facebook, sans le nom du photographe


Je ne sais pas la température qu’il fait dehors mais le vent qui continue de souffler en de violentes rafales, a dû sérieusement rafraîchir l’atmosphère ! D’ailleurs, le poêle a bien du mal à chauffer ce matin. C’est tout un art de faire du feu, autant c’est facile dehors mais dans un poêle qui plus est, avec un conduit de dix mètres, ça devient complexe. Là encore, la confiance en la bienveillance de la Terre Mère qui pourvoit aux besoins de tous ses enfants, tout comme mon affirmation de recevoir l’abondance dans ma vie, m’évite de tomber dans la peur et le doute.
Finalement, c’est un vent de Sud et la fenêtre ouverte me montre la douceur extérieure. Je me suis fiée à mes croyances au lieu de vérifier directement ! Un vent violent n’est pas synonyme de froid ! C'est donc "normal" que le tirage du poêle soit mauvais. Je commençais à nourrir la paranoïa inutilement! Petit rappel « en live » de la nécessité de sortir du mental...et de se fier totalement au cœur!
Aujourd’hui, poussée par l’élan, je suis allée sur la presse galactique et quand je suis tombée sur l’article de Murielle Robert, j’ai compris le pourquoi de ce geste malgré que j’aie décidé de faire une pause niveau lectures spirituelles. C’est la mission de vie « 8 », celle de ma date de naissance ! Je publierais le texte tout à l’heure ainsi que ceux parus précédemment, d’ici quelques jours. J’apprends à doser le temps passé sur Internet parce que depuis que je publie sur Facebook, les heures devant l’écran s’accumulent.

samedi 23 novembre 2013

"L'art de faire la paix spirituellement" Leçon 3



Xavier


Leçon 3 : Aujourd’hui je vous parlerais au sujet de votre passion et de votre désir.
Que pensez-vous très cher en ce monde ? Êtes-vous disposé à offrir tout ce que vous aimez au Père de Toutes Choses, la Source de l’Amour, sachant que seul l’Amour vous sera retourné ? Où croyez-vous que vous devez sacrifier ce que vous aimez afin d’avoir tout ce que vous désirez ? Soyez honnête avec vous-même. Que pensez-vous très cher en ce monde ?

Peut-être le direz vous à vos enfants, ou à vos relations très proches. Que leur arriverait-il si vous acceptiez complètement votre rôle en tant qu’Émissaire de l’Amour, laissant derrière vous toutes les choses qui ne servent pas ce but ? Néanmoins pourriez-vous pourvoir à leurs besoins ? Mettrez-vous fin à vos relations d’amitié qui vous empêchent d’accepter la grande marée d’énergie qui coule en vous maintenant ?
Que vous vous en rendiez compte ou pas, ce sont quelques unes des questions qui trottent dans votre esprit.
Vous croyez qu’un sacrifice est exigé de vous, et que Dieu vous demanderait d’abandonner toutes les choses temporelles afin d’embrasser l’éternel en vous. C’est ce que pense l’ego auquel vous vous accrochez toujours. Mais, notre but n’est pas d’effacer ces conditions, parce que cela les amplifierait seulement. Nous désirons nous concentrer seulement sur ce qui est vrai, et laisser la vérité se développer dans nos cœurs et nos esprits jusqu’à ce que tous les symboles de crainte soient remplacés.

"L’effort" consiste à maintenir ses choix et donc sa fréquence vibratoire...vidéo "L'intelligence du coeur"




Ce matin, une chanson de Lou Reed* qui est retourné à lui-même, cette année, tourne en boucle et surtout cette phrase : « oh Père céleste, je sais que j’ai pêché »...Bonjour l’ambiance! J’écoute d’une oreille un peu amusée cette voix qui se dit qu’elle a pêché. Une autre voix s’exclame avec impatience ; "tu en es encore là" ! Puis une autre encore qui se demande si le fait de ne plus avoir envie d’écrire, d’écouter les voix de diverses sources, est légitime ou non. Bref, c’est un peu l’embrouille. Rien d’alarmant puisque je me contente d’observer, d’écouter, mais un sentiment de bloquer toujours au même endroit, est très présent. D’un côté, je me dis que tout ce que je vis est légitime et de l’autre, je retombe dans la culpabilité et l’agacement de constater que je fonctionne encore à partir de la peur. Les réponses à mes questions adressées à la Terre et le dialogue avec Maya (mon chat décédé cet été) ont causé pas mal de trouble. L’ego paniqué à l’idée de perdre le contrôle, une part de moi qui ne veut pas croire ses voix et une autre qui trouve ça tout à fait logique, s’expriment sans arriver à vraiment s’entendre. Quelques phrases nées du concept bien/mal font aussi leur apparition mais je n’en tiens pas trop compte, du moins je ne les croie pas. Ce qui aurait pu m’apparaître comme un conflit interne est perçu de loin, sans prendre parti, sans qu’il y ait une identification à une de ces voix. Je ne nourris pas de conflit en me disant que de toute façon, la meilleure attitude, pour le moment, c’est l’acceptation. Tout est légitime, tout à sa raison d’être, même si je n’en comprends pas le sens dans l’immédiat. J’observe ce qui se dit et tente d’accueillir les émotions en me contentant de répéter régulièrement mes choix d’incarner l’amour, la paix, la joie, la fluidité énergétique...

vendredi 22 novembre 2013

Permettre à l'enfant Christ de grandir en soi



Peinture trouvée sur Facebook "Art of the feminine" signature illisible


Je me sens poussée à écrire un petit récapitulatif de mon parcours pour ceux qui viennent sur ce blog depuis peu. Non pour me plaindre ou justifier ce déballage intime mais plus pour donner mon point de vue sur la réalité de ces expériences, très souvent vécues dans la souffrance légitime, lorsqu'on n'en comprend pas le sens profond. C'est la raison d'être de ce blog de montrer ce qui se cache derrière les "épreuves" et comment en sortant de la vision bien/mal, tout peut prendre une signification totalement différente. 
J’ai eu un chemin de vie plutôt sombre et chaotique dans les trente premières années de ma vie où la drogue me rattachait à ce monde, maintenait mon envie de vivre. Comme toute personne ayant vécu des injustices dans l’enfance, je croyais que je ne valais rien, que cette vie n’était qu’une horrible succession de moments répétitifs où la lutte, les jeux de pouvoir et de séduction prévalaient. Je ne me sentais pas de ce monde dans le sens où l’esprit de compétition n’est pas dans ma nature. Je considérais mon corps physique comme un poids, une carcasse qui n’apportait que contrainte, obligations et souffrances. Je refusais donc de le nourrir, d’aller bosser tel un robot pour assumer ses besoins vitaux et la seule raison qui me permettait d’y habiter, était les moments de plaisir procurés par la prise de drogue. Je consommais du sirop à base de codéine, un dérivé d’opium, qui constituait mon seul plaisir, un genre de biberon soignant l’enfant intérieur en très grande souffrance. Je me protégeais de l’extérieur que je considérais comme dangereux à l’aide de cette carapace chimique et vivait la plupart du temps entourée d'animaux. Je me suis accrochée à cette vie par des histoires d’amour ponctuelles mais douloureuses du fait du regard très négatif que j’avais sur moi-même. Ayant été abusée sexuellement dans l’enfance, je ne pouvais faire confiance à un homme, aux hommes en général et le manque affectif maternel me poussait aussi à me méfier des femmes. Je ne voyais que leur côté séducteur, manipulateur et refusait donc totalement mon aspect féminin en me cachant dans un corps d’adolescente anorexique.
Puis, il y a eu la rencontre avec Jésus Christ à travers deux missionnaires de l’église de Jésus Christ des saints des derniers jours, appelés plus communément les « Mormons ». La certitude d’être « enfant de Dieu » s’est imposée à moi tant l’amour que j’ai ressenti en parlant de Jésus Christ, était immense, intense et profond.

Je reviens sur le trauma de l’inceste vécu par un très grand nombre de personnes. Premièrement, vous n’avez rien fait de « mal », vous n’avez pas « mérité » et ce n’est pas parce que c’était vous, que c’est arrivé

jeudi 21 novembre 2013

"Voix"?... lien rediffusion de la conférence du Docteur Véronique Baudoux


Maya la bavarde!


J’ai « capté » et noté ce qui suit sans vouloir le publier au départ, comme pour mon rêve bizarre d’hier ou avant-hier et finalement, je laisse la peur du ridicule, celle de passer une fois de plus pour une dingue, de côté.

-« Je te parle depuis l’au-delà, au-delà du monde visible où je me repose de mes « aventures » sur terre. Tu as vu que j’apparaissais souvent sur ton écran de veille en ce moment. Comme tu as demandé à voir ou à parler avec tes guides, et comme tes peurs et tes réticences vis-à-vis de l’humain, de son aspect forment une sorte de voile entre nos « mondes », c’est moi qui viendrais t’enseigner ».
-« Je ne vais pas avoir l’air c... ! »
-« Tu n’es pas obligée de le dire d’ailleurs tu dois apprendre à garder des secrets, à ne pas tout dévoiler. L’authenticité est une très bonne chose mais il est bon de préserver ton espace personnel. Tu te rends vulnérable inutilement.
(Je mange en même temps que je m’écris et je m’étouffe ! La peur est là, respire !)

« Tu as été préparée à cette « rencontre », tu l’as « programmée ». L’heure est aux révélations et ce que tu vis en ce moment est une conséquence de l’ouverture successive de portails énergétiques.

-« Dis mon mental, tu n’es pas en train de jouer les « voix » en faisant une synthèse des lectures de ces derniers jours ? »

Cheminer sur la Nouvelle Terre




Tout s’accélère une fois de plus. Nous sommes secoués afin que la pulpe remonte et que nous fassions le tri pour mieux nous délester des charges maintenant inutiles et trouver le juste milieu en toutes choses. La vie est une succession d’événements, de situations, de rencontres qui nous aident à mieux nous connaître, nous retrouver et nous situer. Autrefois, nous avancions en guerriers, à coup d’épée, pour trancher entre bien et mal, chrétiens et païens, hommes et femmes...Mais aujourd’hui, tout a changé, nous ne pouvons plus nourrir un tel comportement. Le jugement n’a plus sa place sur terre et celui qui continue de se construire en assommant ceux qui sont autour, ne peux que se trouver face à lui-même et s’apercevoir qu’il se frappe lourdement. Asseoir son assurance, construire sa notoriété de façon agressive, à partir de la peur, ne peut plus fonctionner. S’il est vrai que nous sommes en pleine période de révélation, devenir conscient implique d’être responsable de son comportement, ne plus agir à partir de la peur mais avec confiance en ce que nous sommes en vérité. Nous sommes effectivement des êtres de lumière mais nos ombres continuent de nous en voiler la réalité. Les critères qui définissaient la valeur d’un être son devenus totalement obsolètes. Seule l’intelligence du cœur permet de s’élever tout en élevant l’entourage. Il n’est plus question de moi contre tous ou de nous contre eux. C’est clair que dans l’ancien monde, ce positionnement était quasiment vital puisque tout le monde agissait en mode de survie, mais ce temps est révolu.
On peut tout à fait se construire, trouver sa place, sans avoir à discréditer les autres, sans procéder par élimination, motivé par la peur, la jalousie qui ne sont que des marques de manque de confiance en soi. Certes, ça demande de l’humilité et d’accepter d’être faillible, de se planter, de faire des erreurs. Mais pas uniquement par rapport aux autres, vis-à-vis de soi-même aussi et avant tout.