Ce
matin, c’est comme si j’étais face au vide, comme si mon mental était un espace
attendant l’interaction pour sonder l’inconscient. Comme si le fait d’intégrer
l’idée de l’autre qui me reflète ce que j’ignore de moi-même, me mettait en
position d’attente de contact. Puis d’un autre côté la sensation d’avoir gravit
une marche de plus, en moi-même, ces derniers temps, me place sur le pallier où
la sensation d’ennui pointe son nez. Plus je sonde les profondeurs et plus l’impression
d’être arrivée au bout de quelque chose me perturbe. Ce qui me rassure, c'est de savoir qu'il n'y a pas de limites à la connaissance de soi, nous sommes tellement vastes! Comme mes découvertes
m’amènent toujours au même point, à la même nécessité, au besoin primordial de
s’aimer entièrement, un genre de lassitude arrive me faisant espérer de ne pas
créer un drame pour « donner du piment » à ma vie. J’ai souvent eu ce
sentiment une fois la tempête passée, d’avoir provoqué une situation pour tuer
l’ennui. Comme si l’ego avait besoin de matière à réflexion ou d’histoire à
raconter ou à se raconter. Comme si mon corps émotionnel avait besoin de vibrer
pour pallier le manque de sexualité, pour se sentir exister. Peut-être que
l’écoute de la conférence qui aborde le thème de l’orgueil a vexé mon ego qui a
pu se reconnaître en quelque situations évoquées. Le fait de refuser de l’aide
ou de ne pas oser en demander, c’est de l’orgueil. Tout comme dire « il me
semble » serait une formule qui appellerait l’approbation extérieure. Et d'autres comportements qui sont de l'orgueil mais dont je ne garde pas le souvenir. Je dois écouter plusieurs fois les conférences avant de bien les intégrer.
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
samedi 7 septembre 2013
vendredi 6 septembre 2013
Ma mission première: aimer tout ce que je suis
Depuis
ce matin, je recommence à courir ! C’est comme si j’avais plus de
capacités dans l’urgence ! Je ne sais pas trop d’où ça me vient mais en
remontant dans l’enfance, sans chercher, juste en étant ouverte à une réponse,
je pourrais éventuellement connaître la cause de cette course permanente après
le temps. Je me suis répétée plusieurs fois la phrase, « Je Suis éternelle ;
il n’y a rien à gagner mais juste à être » histoire de calmer le rythme. J’attends
souvent le dernier moment pour faire certaine chose, comme le rendez-vous
téléphonique avec la personne du conseil général. Comme si le fait de ne plus
avoir le choix m’obligeait à prendre mes responsabilités. Car derrière le choix,
il y a la peur d’être responsable, de se planter, donc la peur de se punir. Ce
genre de comportement me ramène à une ou même deux blessures de l’âme. La
blessure d’injustice étant la plus forte et me ramenant souvent à l’état de
victime. Enfin, je dis souvent, c’est de moins en moins le cas.
Je suis
déjà contente de ne pas culpabiliser d’avoir toutes ces blessures et suis prête
à les traiter du mieux que je peux. La première chose, c’est d’en être
consciente, de voir quand et comment, dans quelles circonstances elles sont
ravivées, en se rappelant l’Essentiel ; Je suis « responsable »
de tout ce qui arrive et Accepter la situation c’est la guérison assurée.
Être responsable, comme le dit Lise Bourbeau, c’est assumer ses choix et leurs
conséquences. En parallèle, je continue d'écouter et d'honorer mes vrais besoins.
jeudi 5 septembre 2013
"Exaltation de la Déesse"d'après le livre de Barbara Marciniak; Terre
good-by-ca |
Voici le
texte dont je parlais il y a quelques temps, que j’ai trouvé sur Francesca
esprit channeling. J’ai hésité avant de le publier, certainement encore freiné
par mes propres vieilles croyances de bien et de mal. Comme quoi, ça n’est pas
si évident de s’en libérer même quand on le veut sincèrement. L’inconscient
doit aussi être épuré afin de ne pas créer de conflit intérieur. Comme pour
toutes idées solidement ancrées, il est nécessaire d’y aller pas à pas, de ne
pas se faire violence. Usez de votre discernement en écoutant votre cœur, votre
ressenti. Si celui-ci est exagéré, il se peut que vous ayez touché un sujet
très tabou pour toutes les parts qui impriment les
croyances. Puisque les pensées ont des répercussions sur tous les corps...En tous cas, l'idée de l'abus de pouvoir des femmes, dans des temps très reculés, est aussi véhiculée par Jeshua, canalisé par Pamela Kribbe...
Embrasser la vie !
image trouvée sur facebook TransLight, l'auteur n'est pas précisé. |
Ce
matin, j’ai une patate de chez patate ! Une envie d’embrasser la vie, de
chanter, de rire, de danser, de jouer du clavier, de la flûte, de la percu...bref,
de vivre sans complexe ni retenue ! J’ai visionné la vidéo qui suit, avec
une joie née de l’espoir que la lumière de l’amour se répande sur toute la
planète, que l’humain agisse à partir de son cœur, de son âme, de son enfant
intérieur ! Ce "précieux" qui ne demande qu’à exprimer sa joie de vivre, sa
créativité et que nous étouffons à mesure que l'entourage nous renvoie l’obligation
de se comporter d’une façon particulière afin d’être aimé et reconnu. J’écoute
en ce moment, « Des yeux couleur d’enfant » du groupe Ange. Bien que
ce titre ait été joué il y a plus de trente ans, il est tout à fait d’actualité.
Nous sommes mercredi, (tiens, je viens de me rendre compte que nous sommes jeudi! J'ai connu l'époque où c'était le jour des enfants, ceci explique peut-être cela! Je suis tellement bien dans ma peau que je ne voie pas le temps passer!) jour des enfants alors laissons ce petit être fragile
mais néanmoins plein de force de vie, exprimer sa vérité. Juste pour un jour,
pour voir ce que ça fait d’être soi-même, d’oser être vrai sans craindre le
regard extérieur et si celui-ci nous renvoie quelque chose de déplaisant,
sachons y reconnaître notre propre censure. Il ne tient qu’à soi de s’autoriser
à exister pleinement, à oser rire, pleurer, exprimer ce que notre corps
émotionnel porte en lui et demande à libérer.
La
flamme de notre cœur demande à s’embraser, à briller de mille feux. Nous avons
le pouvoir de l’allumer, il nous suffit d’être. Lâcher la notion de bien et de
mal et voir la vie comme un enfant, voilà le secret du bonheur!
Il ne s’agit
pas d’imposer quoi que ce soit mais de porter l’audace de s’accorder de vivre
ses propres émotions au lieu de reporter tout sur les autres. Au lieu d’attendre
que l’autre fasse le premier pas, entrons dans la danse. Tout ceux qui sont
parents, se sont donné l’opportunité de reconnecter cet enfant intérieur. La
relation aux enfants, pourvu qu’elle ne soit pas contrôlante et conditionnelle,
est une magnifique opportunité d’apprendre à être vrai.
mercredi 4 septembre 2013
Un temps de pause
matin du 26 août |
Encore
une longue nuit de sept heures qui semble me me montrer que le conflit intérieur perd
son ampleur. Je viens de lire un mail d’une lectrice qui m’a émue aux larmes.
Bien que j’y aie trouvé certaines vérités je ne remets pas en question mon
approche, ma façon de chercher et de trouver la paix intérieure. Je suis
arrivée à un stade où je ne peux plus tricher avec moi-même et ignorer les
nombreuses voix intérieures qui se manifestent. Toutes sont à prendre en
compte. Il est vrai que je me suis gavée de lectures spirituelles comme pour
échapper à la réalité du quotidien qui était le reflet de mon monde intérieur
chaotique que les injonctions à prier pour la terre entière ne faisaient
qu’embrouiller. Tant qu’on cherche à solutionner ce qui se passe à l’extérieur
de soi, on s’ignore et la souffrance amplifie. Il est évident que l’idéal
serait de suivre son cœur en toutes circonstances seulement voilà, je ne suis pas
qu’un cœur. J’ai besoin de comprendre ce que je vis et surtout que mon
interprétation des faits soient en cohérence avec ce à quoi je croie et aspire.
J’apprends à voir en l’autre non plus un ennemi potentiel mais un être qui
cherche l’amour à sa façon et qui me renvoie des parts cachées de moi-même.
C’est l’expérience qui atteste la véracité de cette théorie que j’ai fait
mienne.
Le
besoin d’harmonie et d’équilibre est une recherche fondamentale de l’humain, de
tout humain. Les moyens pour y parvenir sont différent et c’est ce qui fait la
richesse et la beauté de l’humanité.
Je viens
de vivre une expérience intéressante. J’ai eu des douleurs au bas ventre que
j’ai laissé s’exprimer et surtout que je n’ai pas cherché à taire en prenant
mon anesthésiant quotidien. Le résultat est des plus encourageants !
mardi 3 septembre 2013
La bienveillance de l’âme
"The garden of pensiveness" |
Je viens
d’envoyer les derniers textes publiés sur ce blog, à Louis, de la presse
galactique et en les relisant plus ou moins, j’ai pu constater toute la
tendresse de mon âme qui prépare chacune de mes "découvertes" de façon à ce que
je puisse les intégrer sans en souffrir. Je ne sais pas si j’aurais été capable
d’encaisser le coup du complexe d’Œdipe non résolu et de tout ce que j’ai
appris à ce sujet, en écoutant Lise Bourbeau. J’avoue que je ne suis pas allée
vérifier la théorie de Freud par flemme et parce que j’ai suffisamment
confiance en mon ressenti, ma guidance qui sait toujours ce que j’ai besoin
d’entendre pour avancer vers plus d’amour de soi et de lumière. Tous ce que
j’ai écrit ces derniers jours, jusqu’à ce matin a été une préparation judicieuse. Même les messages
dont je ne suis pas l'auteur et les vidéos que j’ai publiés ont participé à me préparer à découvrir ce qui
aurait été inconcevable pour moi ne serait-ce que quelques mois en arrière. Je
me serais sentie agressée, coupable, sale et j’aurais sombré dans le désespoir.
Là encore, je ne peux pas douter de la guidance et de la tendresse de mon âme envers ma
personnalité humaine. Ces plongées répétitives dans les profondeurs nous
rendent plus fort et amplifient considérablement la foi en l’humain divin.
Quand l’inconnu se révèle...
Réveillée
à 5h avec cette phrase en tête : « je n’arrive pas à m’aimer car j’ai
besoin de me pardonner » ou quelque chose comme ça. J’ai écouté une autre
conférence de Lise Bourbeau, hier soir, qui parle de la sexualité. Elle explique que notre
conception de l’amour et de la sexualité est très affectée par le complexe
d’Œdipe. Si j'ai bien compris, et mémorisé, c'est l'idée que les enfants sont amoureux du parent du sexe opposé, de trois à six ans. C'est une phase "normale" du développement de la personnalité que chacun vit plus ou moins bien. Notamment ce seraient les petites filles amoureuses de leur père qui,
dans les cas d’inceste, susciteraient ce même désir que le père ne saurait pas
gérer. Beaucoup d'entre vous, vont avoir les cheveux dressés sur la tête et j'en fait un peu partie aussi. Mais comme je ne crains pas de bousiller mon brushing et que la coupe punk ne me déplait pas...
Elle va même jusqu’à dire que la petite fille aime ce qui arrive, sans
que ce soit forcément conscient. J’ai déjà eu l’occasion d’entendre des
témoignages de victimes d’inceste qui avouent avoir ressenti du « plaisir ».
Pour ma part, j’avoue que j’ai du mal à admettre ça comme une réalité. Je n’ai
pas du tout le souvenir que ça ait pu être agréable ! Bien au contraire je
décollais mentalement pour ne pas vivre la situation. Je n’ai jamais eu de
sentiment de culpabilité, ni ressenti de plaisir, en tous cas consciemment ! J’ai sûrement été
« amoureuse » de mon père mais je suis convaincue que je ne voulais
pas, de sa façon d’exprimer de l’amour. Déjà, une psy m’avait parlé de ça mais
franchement, honnêtement, je ne me reconnais pas du tout là-dedans. Même si l’idée qu’une petite
fille puisse être sensuelle ne me choque pas vraiment, et semble même logique, ça ne me semble pas être
ce que je ressens. Je connais la force de l’inconscient de cacher des croyances
donc je ne peux pas dire avec certitude que j’ai complété le complexe d’Œdipe.
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