mercredi 4 septembre 2013

Un temps de pause


matin du 26 août


Encore une longue nuit de sept heures qui semble me me montrer que le conflit intérieur perd son ampleur. Je viens de lire un mail d’une lectrice qui m’a émue aux larmes. Bien que j’y aie trouvé certaines vérités je ne remets pas en question mon approche, ma façon de chercher et de trouver la paix intérieure. Je suis arrivée à un stade où je ne peux plus tricher avec moi-même et ignorer les nombreuses voix intérieures qui se manifestent. Toutes sont à prendre en compte. Il est vrai que je me suis gavée de lectures spirituelles comme pour échapper à la réalité du quotidien qui était le reflet de mon monde intérieur chaotique que les injonctions à prier pour la terre entière ne faisaient qu’embrouiller. Tant qu’on cherche à solutionner ce qui se passe à l’extérieur de soi, on s’ignore et la souffrance amplifie. Il est évident que l’idéal serait de suivre son cœur en toutes circonstances seulement voilà, je ne suis pas qu’un cœur. J’ai besoin de comprendre ce que je vis et surtout que mon interprétation des faits soient en cohérence avec ce à quoi je croie et aspire. J’apprends à voir en l’autre non plus un ennemi potentiel mais un être qui cherche l’amour à sa façon et qui me renvoie des parts cachées de moi-même. C’est l’expérience qui atteste la véracité de cette théorie que j’ai fait mienne.
Le besoin d’harmonie et d’équilibre est une recherche fondamentale de l’humain, de tout humain. Les moyens pour y parvenir sont différent et c’est ce qui fait la richesse et la beauté de l’humanité.
Je viens de vivre une expérience intéressante. J’ai eu des douleurs au bas ventre que j’ai laissé s’exprimer et surtout que je n’ai pas cherché à taire en prenant mon anesthésiant quotidien. Le résultat est des plus encourageants !

mardi 3 septembre 2013

La bienveillance de l’âme


"The garden of pensiveness"


Je viens d’envoyer les derniers textes publiés sur ce blog, à Louis, de la presse galactique et en les relisant plus ou moins, j’ai pu constater toute la tendresse de mon âme qui prépare chacune de mes "découvertes" de façon à ce que je puisse les intégrer sans en souffrir. Je ne sais pas si j’aurais été capable d’encaisser le coup du complexe d’Œdipe non résolu et de tout ce que j’ai appris à ce sujet, en écoutant Lise Bourbeau. J’avoue que je ne suis pas allée vérifier la théorie de Freud par flemme et parce que j’ai suffisamment confiance en mon ressenti, ma guidance qui sait toujours ce que j’ai besoin d’entendre pour avancer vers plus d’amour de soi et de lumière. Tous ce que j’ai écrit ces derniers jours, jusqu’à ce matin a été une préparation judicieuse. Même les messages dont je ne suis pas l'auteur et les vidéos que j’ai publiés ont participé à me préparer à découvrir ce qui aurait été inconcevable pour moi ne serait-ce que quelques mois en arrière. Je me serais sentie agressée, coupable, sale et j’aurais sombré dans le désespoir. Là encore, je ne peux pas douter de la guidance et de la tendresse de mon âme envers ma personnalité humaine. Ces plongées répétitives dans les profondeurs nous rendent plus fort et amplifient considérablement la foi en l’humain divin.

Quand l’inconnu se révèle...




Réveillée à 5h avec cette phrase en tête : « je n’arrive pas à m’aimer car j’ai besoin de me pardonner » ou quelque chose comme ça. J’ai écouté une autre conférence de Lise Bourbeau, hier soir, qui parle de la sexualité. Elle explique que notre conception de l’amour et de la sexualité est très affectée par le complexe d’Œdipe. Si j'ai bien compris, et mémorisé, c'est l'idée que les enfants sont amoureux du parent du sexe opposé, de trois à six ans. C'est une phase "normale" du développement de la personnalité que chacun vit plus ou moins bien. Notamment ce seraient les petites filles amoureuses de leur père qui, dans les cas d’inceste, susciteraient ce même désir que le père ne saurait pas gérer. Beaucoup d'entre vous, vont avoir les cheveux dressés sur la tête et j'en fait un peu partie aussi. Mais comme je ne crains pas de bousiller mon brushing et que la coupe punk ne me déplait pas...
Elle va même jusqu’à dire que la petite fille aime ce qui arrive, sans que ce soit forcément conscient. J’ai déjà eu l’occasion d’entendre des témoignages de victimes d’inceste qui avouent avoir ressenti du « plaisir ». Pour ma part, j’avoue que j’ai du mal à admettre ça comme une réalité. Je n’ai pas du tout le souvenir que ça ait pu être agréable ! Bien au contraire je décollais mentalement pour ne pas vivre la situation. Je n’ai jamais eu de sentiment de culpabilité, ni ressenti de plaisir, en tous cas consciemment ! J’ai sûrement été « amoureuse » de mon père mais je suis convaincue que je ne voulais pas, de sa façon d’exprimer de l’amour. Déjà, une psy m’avait parlé de ça mais franchement, honnêtement, je ne me reconnais pas du tout là-dedans. Même si l’idée qu’une petite fille puisse être sensuelle ne me choque pas vraiment, et semble même logique, ça ne me semble pas être ce que je ressens. Je connais la force de l’inconscient de cacher des croyances donc je ne peux pas dire avec certitude que j’ai complété le complexe d’Œdipe. 

lundi 2 septembre 2013

« Répétition avant la générale »



Albitar

Alléluia ! Est le mot qui me vient spontanément, bien que je n’en connaisse pas le sens exact, après une longue nuit de 7h30 !!! Un an au moins, que je dors selon les bruits extérieurs qui reflètent le parasitage intérieur. J’ai changé quelques gestes mais surtout pris conscience de ma façon d’être et de penser qui me rendaient la vie chiante et même parfois douloureuse. Le propos le plus simple et cependant le plus difficile, dans cette incarnation, c’est d’acquérir un amour de soi total, entier, inconditionnel. Notre inconscient est si fortement imprégné de croyances nées de la peur, du besoin de plaire, d’être parfait et de répondre aux attentes des autres qu’il nous est presque impossible d’oser nous aimer sans complexes et de penser d’abord à nous-mêmes. Il ne s’agit pas d’ignorer non plus, le monde extérieur, l’entourage, les autres, mais de cesser les interdépendances qui conditionnent et formatent l’être. C’est en grande partie grâce à l’enseignement de Lise Bourbeau, que je prends conscience de ce que je suis et comment j’ai fonctionné jusqu’à maintenant. J’ai demandé, il y a quelques jours, à mes guides, mes anges et avant tout à mon âme et ma présence divine, de m’expliquer précisément ce que veut dire : « s’aimer » et surtout comment y arriver. J’ai donc lâché prise, en agissant avant tout par instinct, et plus par raisonnement. J’ai suivi l’inspiration et l’ai laissée me guider vers ce qui répondrait à mes questions. Je n’ai pas été inspirée à lire des textes métaphysiques complexes, des messages d’êtres de lumière, mais à écouter un être humain simple, authentique et conscient de bien des choses observées sur lui-même et ses contemporains.

dimanche 1 septembre 2013

Journée sacrée "16": "L'éveil libérateur", par Murielle Robert




Le calcul de la date d’aujourd’hui donne le chiffre 16. Il se fait de la façon suivante : 1-09-2013, soit 1 (jour) +9 (mois)= 10+6 (année: 2+1+3)= 16. Ce qui suit a été écrit pour la journée du 27 janvier de cette année. Comme d’habitude, je l’ai actualisé en respectant le texte d’origine. En le lisant, j’ai commencé à me dire, « ça y’est, ça va recommencer » puis, plutôt que d’anticiper et ainsi appeler des énergies de peur, de colère, de doute...je me suis dit " j’ai des outils efficaces pour prendre les choses comme elles viennent au jour le jour". La peur étant très créatrice, en l’accueillant , en l’observant, dès qu’elle se manifeste, c'est-à-dire en m’asseyant, en respirant calmement et en focalisant mon attention sur les mouvements intérieurs, les ressentis, je peux être enseignée et soulagée en portant un regard amoureux ou encore neutre sur elle. Elle n’est pas là par hasard, elle demande de l’attention et porte un message que je peux essayer d’entendre. Ce n’est que dans le calme et le silence que je pourrais éventuellement en comprendre le sens. La leçon que j’en tire, une fois de plus; être dans le moment présent, vivre les choses dans l’instant, accueillir une à une chaque pensée, émotion en observateur, en conscience. Envisageons les choses comme un sport, une pratique qui amènera la maitrise. Je suis le cavalier de mes corps mental, émotionnel et physique et il s’agit simplement de les faire avancer tel un attelage à trois têtes, en les guidant à travers le cœur.
 Finalement, ce que nous vivons en ce moment est tout simplement la vie, une danse perpétuelle des énergies. Apprendre le mouvement et se laisser porter amène la grâce, dans le moment présent. C’est certainement ça « lâcher prise » !

Devenir ses propres parents



Jesse et sa magnifique cocréation*


Réveil très matinal certainement déclenché par les bruits du voisin mais ça ne me dérange pas, au contraire, je peux voir cette situation de deux façons. Soit au travers de l’ego, du côté, "je veux avoir raison et m'imposer en force", "on" se fout de moi (je nourris la victime intérieure)...Soit en regardant honnêtement les avantages de la situation et ainsi me souvenir que je créé mon quotidien afin de m’élever, d’agir à partir de mon cœur et de ma conscience unifiés. Profitons donc du silence du matin, de la fraîcheur, pour écouter notre âme et entretenir la relation intime dans un dialogue amoureux...
J’ai passé une heure à survoler les articles de la presse galactique, des trois derniers jours et constaté une fois de plus la synchronicité dans les sujets abordés et le degré de conscience qui agit de plus en plus à partir du cœur. Une chose m’a un peu dérangée, c’est le décalage entre ce qui est écrit et mes textes publiés à deux ou trois jours d’intervalles. Le temps s’accélère tellement que ma vision peut changer de 180° en une journée. Dès que je me place en mon cœur et vois les situations de cette perspective, tout change en un clin d’œil. Je sais ça depuis longtemps mais entre savoir et en faire concrètement l’expérience, dans les situations réelles du quotidien, donc à travers des petites choses insignifiantes comparativement aux grandes théories métaphysiques, là est la difficulté. Je ne vais pas encore incriminer l’ego qui fait selon ses connaissances et ses capacités, dans le but de m’éviter la douleur. Or ça, on l’a vu, c’est inévitable. La souffrance par contre peut l’être.

Concernant les rêves et le fait de savoir si ce sont des inspirations de l’âme ou de l’ego, il y a plusieurs façons de le voir. Premièrement, quelque chose revient régulièrement, si ça se manifeste spontanément et créé une sensation de plénitude, c’est que ça vient du cœur.

samedi 31 août 2013

"Le Portail" message de Marie-Madeleine, reçu par Pamela Kribbe




"Nelleke Pieters"

Voici le dernier message du livre de Pamela Kribbe ; « Vivre selon le cœur », que vous pouvez aussi lire sur son site dont le lien est en fin de message. J’ai beaucoup de mal à faire la méditation guidée en entier. J’arrive à visualiser le portail au bout du tunnel, à ressentir les énergies dans ma main, mes bras mais dès que j’essaie d’aller plus loin, je m’endors ! Je ne force pas les choses et me fixe « l’objectif » de recommencer chaque soir jusqu’à ce que je puisse le franchir naturellement. De toute façon, je suis convaincue que ces messages éveillent ma propre source et agissent en profondeur, au niveau de l’inconscient. Les situations vécues en ce moment et les prises de conscience qu’elles suscitent ne sont pas le fruit du hasard! L’univers et nos présences divines déploient toute leur énergie pour nous ouvrir les yeux et le cœur en créant des synchronicités de toutes sortes.