Ce
matin, bien que je sois un peu plus à l’aise dans mes baskets, j’ai décidé de me
simplifier la vie en regardant ce qui compte le plus, le fait que j’avance dans
ma façon d’être par rapport à ce qui se passe dans ma vie, au quotidien.
Et de
revenir à la simplicité dans l’acceptation de ce qui est, de revenir dans le cœur. D’ailleurs, deux
personnes m’ont suggéré de lire un message de Michel Erena sur ce thème, que je
publierais plus tard.
Bien que
le « travail » soit intérieur, bien que ce qui compte avant tout, c’est
de s’occuper de soi, il est néanmoins nécessaire d’être aussi tourné vers l’extérieur
et le mot solidarité résonne fortement en moi depuis le réveil.
Même si le
voisinage qui représente les miroirs parfaits dans la libération karmique,
puisque l’endroit où nous sommes est précisément celui choisit par notre âme pour
notre progression, il n’est pas nécessaire de copiner mais juste d’être neutre.
Ensuite, les relations qui naissent par affinités sont à privilégier et à
choyer puisqu’elles nous donnent une belle occasion d’ouvrir son cœur par effet
miroir agréable et bienfaisant. Elles nous donnent l’occasion de grandir en
amplifiant la confiance en l’autre élargissant ainsi notre cœur. "Tous miroirs les
uns pour les autres" et devant ce constat, l’équilibre des reflets favorise l’équilibre
intérieur. Les amis aussi nous montrent des facettes de nous-mêmes, soulèvent
des peurs à libérer.
La peur
de la trahison, celle du rejet, celle d’être abusée, celle de l’interdépendance...
Autant d’occasion
de s’éveiller à soi-même en développant l’énergie d’amour inconditionnel de soi
et aussi l’échange par la circulation de ce même amour.
Selon la
loi de l’UN, nous sommes appelés à nous réunir, à nous reconnaître mutuellement.
J’avoue que pour l’ermite que j’ai longtemps été, ça représente de lâcher des
résistances et des peurs. J’ai vite fait de me recroqueviller sur moi-même !