Ce
matin, l’équilibre, l’harmonie et la joie sont au rendez-vous et ça n’est pas
le fruit du hasard, c’est la conséquence de mon attention portée sur le désir d’unité
intérieure. Les séances d’EFT continue de produire leur effet. Les phrases
deviennent de plus en plus simples et appuyés spontanément par l’émotion
correspondante. Je suis allée faire la méditation de connexion à la Terre Mère, au pied du
chêne où j’ai pu une fois de plus, ressentir un frisson me parcourir de la tête
au pied. Sa présence est indéniable bien que ce soient des petits signes très subtils
qui me l’indiquent. Je cite les frissons mais ce n’est pas la seule façon de
sentir une présence, au niveau de l’âme. Au fil de la matinée, un dialogue
intérieur s’est installé avec mon âme tout comme avec la Terre Mère et j’ai reçu
beaucoup de réponses à mes questions. Je vois plus clairement ce qu’il me reste
à libérer et j’accepte plus facilement l’idée d'être cocréatrice dans mes interactions quotidiennes. Même si je sais que je crée tout ce qui m'arrive, le reconnaitre dans ce genre de circonstances n'est pas évident. Cependant,
plusieurs choses me sont revenues en tête comme ce qui suit :
« Si
tu veux être libre d’être toi-même, tu dois aussi accorder ce droit aux autres.
Tu vois bien que le libre arbitre donné à chacun te préserve de la condamnation.
Combien de fois n’as tu pas critiqué, souhaité la vengeance auprès de
ceux qui te causaient du tort. Si tu devais être punie, comme tu souhaites que
tes « agresseurs » le soient, tu ne serais plus de ce monde. Tu as
constaté la puissance du verbe et même des pensées. Apprendre à les maîtriser
fait partie du jeu de l’incarnation. Il n’est pas question de morale mais de respect
mutuel. On ne peut apprendre l’amour dans la contrainte, par peur d’être puni. On
n’ouvre pas son cœur par peur du jugement ou du poids du karma.