Ce
matin, je suis encore tombée du lit à 4h. C’est la chatte qui m’a réveillée par
ses miaulements. Cette fois-ci, je me suis bien rappelée de mon « rêve ».
J’étais encore dans une classe où j’apprenais à gagner de l’argent avec un
blog. Depuis près d'un mois, je reçois des mails pour suivre une formation
mais comme ça me soule, je ne visionne que quelques vidéos, me contentant de
noter l’essentiel. J’ai été un peu étonnée de constater que les "maitres"
enseignaient, enfin disons plutôt que dans cette "classe", ils éclairaient
de leur sagesse les quelques élèves que nous étions. Ce n’est pas la première
fois que je vais dans des cours spirituels durant la nuit mais il n’a que très
rarement été question de l’aspect matériel de la vie, enfin plutôt financier. J’ai
encore bien du mal à "faire ma place". Je préfère me laisser guider par
mon cœur et continuer de trouver l’équilibre intérieur pour que ça se fasse naturellement,
sans forcer, sans agir à la façon du monde. Je me suis sentie portée quand j’ai
proposée mon aide, comme si je trouvais ma voie mais le 1% de
critiques a suffit à me faire tout arrêter. Je sens comme un vide depuis et tant
que je n’arrive pas à déterminer si c’est lié au manque affectif puisque se
sentir "approuvé" peut créer une dépendance, je continue de guérir ce qui
m’empêche d’oser aller dans ce sens. Il est clair que mon cœur sait que c’est
la voie choisie par mon âme. Je le sais par la facilité et la fluidité avec
laquelle tout s’est mis en place mais ma difficulté à mettre des limites, liée
à la méconnaissance de l’énergie masculine, a été un frein. Le manque de
confiance en soi qui en résulte a suffit à me faire reculer. Le manque d’harmonie
intérieure aussi. Même si l’intention du cœur est noble et pure, il est
nécessaire d’associer l’ego dans toute entreprise. Comme j’y "travaille",
je sais que je saurais surmonter tout ces petits handicaps. J’y ai vu aussi la
peur de tomber dans le piège de l’interdépendance, de se croire sauveur et de
baser l’amour de soi uniquement sur la reconnaissance extérieure. Là encore, je
peux voir que certaines "peurs" sont des outils qui permettent de trouver
la "bonne direction", la voie du juste milieu. D’ailleurs, j’ai eu une
image claire hier, d’une situation de peur qui représentait une sonnette d’alarme
m’évitant de "tomber". Même si celle-ci était motivée par l’instinct de
survie, elle a été tout à fait légitime et salvatrice. Je ne sais plus ce que c’était
précisément mais l’image symbolique était très claire. Heureusement que notre
corps nous envoie certains signaux !
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
jeudi 30 mai 2013
mercredi 29 mai 2013
"L’année de toutes les transformations" les êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu
![]() |
Kinuko Craft |
J’ai pu
aller en course et au jardin avant que la pluie ne retombe. Je suis de plus en
plus à l’aise à l’extérieur et plutôt que d’appréhender, en me focalisant dans
l’instant présent, sans que ce soit non plus un effort, tout s’écoule
naturellement. J’ai remarqué que le simple fait de mettre mes chaussettes
« antidérapantes » m’ancrait facilement et me rendait plus attentive.
Le contact direct des pieds au sol est un bon moyen d’habiter son corps, comme
si la connexion à la terre m’aidait à être présente. J’ai tellement fuit le
quotidien que je suis toute étonnée d’y trouver de la joie et de
l’émerveillement. Les choses simples nous ramènent à l’essentiel. La nourriture
la plus authentique possible, semble être une fête pour les cellules.
Hier,
j’ai eu la vision de milliers de cellules qui manifestaient leur joie en
étincelant et en poussant des petits cris en cœur. Comme des milliers de petits
enfants joyeux. Depuis que je m’adresse à mon corps physique comme à une entité
autonome et intelligente, j’ai de plus en plus la sensation d’être en relation
avec un Microcosmos* qui se réjouit de l’attention que je lui porte. Non pas que
je m’en désidentifie mais au contraire, je me vois comme le régent d’un monde
extraordinaire que j’apprends à connaître intimement de l’intérieur. Je ne sens
pas de jugement de sa part mais de la joie pour la reconnaissance que je lui
porte.
Comme s’il me disait : "enfin, tu as conscience de ce que je suis et
des trésors qui sont en moi, enfin, nous pouvons vivre dans la paix, l’amour et
le respect mutuel".
La science commence à reconnaître le pouvoir du cœur et les
neurones dont il est pourvu. L’intelligence du cœur et son caractère autonome
ne sont plus des considérations de quelques illuminés, du monde spirituel mais
prouvés scientifiquement. La puissance du cœur est beaucoup plus grande que
celle du cerveau et confirme les enseignements de Jésus-Christ et de tous ceux
qui ont « prêché » le pouvoir de l’amour.
Bon,
c’est l’heure de la sieste, je mangerais plus tard.
Le pouvoir de choisir
![]() |
Tomasz Alen Kopera |
S’abandonner
à ce qui est, amène une paix et une joie proches de celle que j’aie connue à
l’adolescence. Certainement que le fait de ne pas être figée dans des croyances
et des rituels doit y faire. La foi en l’humain divin suffit à changer mon
regard sur tout. Quand on accepte ce qui est, en l’occurrence le temps spécial
cette année et qu’on s’y adapte, on peut non seulement y voir les signes du
soutien de la source dans le nettoyage intérieur que chacun est appelé à faire
mais en plus, le fait de ne pas opposer de résistance, libère de toute pression
et sentiment négatif.
En toute circonstance, nous avons le pouvoir de choisir
comment nous allons interpréter ce qui arrive.
Nous
pouvons adopter la philosophie populaire qui se plait dans le fatalisme, le
rôle de la victime permanente, en critiquant le temps, en regrettant le passé
qui était mieux, en accusant les avions faiseurs de trainées douteuses dans le
ciel, en faisant la liste de toutes les choses qu’on pourrait faire si...il y avait
du soleil, si les gouvernements étaient plus justes, si l’autre avait un
comportement plus respectable, si l’amour gouvernait la planète, si Dieu
intervenait punissant les méchants, si le diable n'existait pas...
Puis
nous pouvons nous fier à notre intuition, notre cœur, notre ressenti et
optimiser chaque situation en se disant que c’est un cadeau du ciel, une
occasion d’apprendre, sur nous-mêmes, sur notre capacité à lâcher prise,
l’opportunité de vivre quelque chose de nouveau. Nous pouvons nourrir la
certitude en l’univers qui conspire à notre élévation vers, plus d’amour de soi et de toute vie,
de talents à développer, de dons à explorer...
Nous pouvons voir dans la pluie,
le nettoyage de toutes les souffrances de la terre mère, de celles de ses
enfants qui peinent tant à se laisser aller à pleurer et à s’accorder de la
tendresse que celle-ci nous invite à nous intérioriser et nous aide à libérer
les peines dans cette eau purificatrice, tombée du ciel.
mardi 28 mai 2013
Être vivant...vidéos à propos du "passage"
Levée
depuis 4h30 du mat, j’ai sauté du lit avec enthousiasme. La nuit entrecoupée de
réveil pour aller évacuer m’a indiquée que l’épuration continuait. C’est le
même processus que cet hiver. Comme le mental est au repos, les ajustements se
font plus facilement et je finis par me dire que celui qui n’a aucune
connaissance de l’ascension mais vit selon son cœur, n’a pas besoin de savoir
pour s’élever. Si je n’avais pas cette manie de vouloir comprendre, le
processus se ferait simplement, par le lâcher prise. D’un autre côté, avec
l’enfance que j’aie eue, s’abandonner au flux intérieur sans aucune résistance
serait difficile sans la connaissance de l’humain divin. Je remets encore en
question le choix de mon âme ! C’est plutôt ma difficulté à taire le
mental qui suscite ce genre de réflexion mais comme en toute chose il y a son
contraire, il me suffit de maintenir la foi en cette phrase magique :
« Tout est bien ».
La
période étant au nettoyage, je me suis mise à faire le tri dans les messages
sur le bureau. Le fait de ne plus avoir besoin de lire ce que disent les autres
à propos du divin, me montre ma progression vers l’autonomie. Même au niveau
matériel, ça commence à être mieux. J’arrive à négocier mes fraises et même si
ça n’est pas grand-chose, c’est plus le fait d’apprendre enfin à se valoriser,
à oser recevoir qui est intéressant. L’amour inconditionnel de soi libère tant
de peurs, que la vie devient toute autre. Le simple fait d’avoir écouté mon
envie de repos toute la journée d’hier, a guéri des blessures de rejet tout en
rendant la relation à mon enfant intérieur beaucoup plus intime. Je dois dire
que je suis heureuse qu’il s’exprime avec confiance. Plus je voulais ignorer
son existence et plus il se manifestait en force et me rendait la vie
impossible.
lundi 27 mai 2013
Suite du message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe « Abandon et contrôle ».
Trouver
et suivre sa passion
Chacun
naît avec une passion. Imaginez cette passion sous la forme d'une belle rose
rouge. Imaginez que, juste avant de naître, vous êtes au bord du ciel, tenant
dans votre main cette exquise rose rouge. Bien que vous hésitiez à faire le
saut dans le royaume terrestre, et vous vous demandez même avec
mélancolie si vous y êtes prêt(e), vous ressentez un feu à l'intérieur de
vous, une passion, qui se présente à vous sous la forme de cette rose rouge.
Imaginez à présent que vous faites ce saut, vous vous incarnez, vous portez
maintenant cette rose en vous, dans votre ventre et votre cœur. Laissez venir à
vous l'énergie de la rose. Permettez à votre passion originelle, à votre
inspiration, de se présenter à vous, à cet instant. Regardez-la, à quoi
ressemble-t-elle maintenant ? Saisissez la première image qui vous vient à
l'esprit. La rose a-t-elle l'air un peu triste et fanée ? Ou bien est-elle
rayonnante de vie ? Voyez-vous un bouton de rose ou une fleur épanouie ? A-t-elle
besoin que vous lui donniez quelque chose à cet instant ? Peut-être plus d'eau
ou de soleil, ou plus d'amour et d'attention, ou bien veut-elle changer de
lieu, pour un environnement plus nourrissant ? Imaginez que vous lui
donniez exactement ce dont elle a besoin, et voyez comment cela vous affecte au
niveau intérieur.
La Terre est de couleur rouge, ainsi que
le chakra-racine. C'est la couleur de la passion. Vous avez souvent peur de
votre propre passion. Vous avez peur de laisser ce flot originel s'exprimer
ouvertement dans votre vie, car cela va à l'encontre de ce que la société ou la
tradition considère comme étant correct, bon et sensé. Toutefois, en chacun de
vous il y a une passion originelle et une inspiration qui est la source-même de
votre existence ici et maintenant. Vous ne pouvez pas réellement être comblés
et inspirés tant que vous ne permettez pas à cette énergie de traverser votre
vie et de la guider.
L'essence de l'abandon en tant que style de vie est que
vous vous abandonniez à vous-même, à la passion de votre âme, l'inspiration qui
a bercé votre vie actuelle.
Voici
quelques pistes pour reconnaître si vous êtes connecté à la passion de votre
âme :
La purification continue...Vidéo Lise Bourbeau «Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même»
Ce matin, le réveil est laborieux comme à chaque fois que je dors plus de 7h.
Je me suis réveillée à plusieurs reprises avec des douleurs physiques intenses mais comme je sais que la nuit, beaucoup d’ajustements et de guérisons sont opérées, je me suis endormie sereine et confiante en ce processus.
Il faut dire que la journée d’hier a été chargée. Ma sœur est venue avec une amie et j’avais anticipé cette visite trois jours plus tôt sentant mon enfant intérieur se manifester à travers la colère, la tristesse et le sentiment d’injustice.
Les montées de colère que j’ai laissées sortir, sont légitimes vis-à-vis de cette part de moi qui voit le monde à partir des émotions, de la mémoire traumatique. Il est vrai que des insultes répétées dans les oreilles d’un enfant et le déversement de haine qui aurait dû être adressé à mon père, ne peuvent que laisser mon enfant intérieur, accablé par des émotions négatives.
L’adulte que je suis doit prendre compte du ressenti de cette part blessée de moi-même en identifiant son origine au niveau de l’âme. Même si celle-ci a choisi ce parcours, il est clair que c’était pour guérir ses propres blessures dues au sentiment de rejet ressenti au moment de la naissance cosmique. Pour cette raison, instinctivement, depuis l’enfance, je n’ai jamais répondu à ma sœur par de l’agressivité mais d’un autre côté, l’enfant intérieur ne pouvait accepter que j’ignore ses revendications et apprendre à l'écouter tout en étant capable de poser des limites est devenu essentiel.
dimanche 26 mai 2013
« Ta vie, tes corps et ton cœur sont tes plus grands maîtres enseignants » extrait du message de Jeshua par Paméla Kribbe "Abandon et contrôle"
Certains
trouvent mon style d’écriture lourd, banal et presque indécent de parler de mon
intimité, de mon quotidien. C’est volontaire puisque c’est justement dans les
choses simples, que l’on accède à nos aspects les plus complexes. « Je te
loue père seigneur du ciel et de la terre de ce que tu as caché ces choses aux sages
et aux intelligents, et de ce que tu les a révélé aux enfants » Matthieu
11, 25
L’enfant
qui sommeille en tout adulte, est celui-là même qui nous révèle toute chose et
qui connaît l’amour divin, inconditionnel de la source.
Apprendre
à lire les signes de l’univers dans son quotidien au travers de l’écoute de son
monde intérieur, s’avère être l’école la plus formatrice. Bien sûr, nous
pouvons en apprendre beaucoup sur nous-mêmes dans les interactions avec le
monde mais l’écoute de soi délivre de toute dépendance et permet de développer
l’amour divin, l’amour sans conditions pour soi-même, qui guérit de tout.
Certaines âmes choisissent d’apprendre à aimer dans les relations amoureuses et
parfois, ça peut être enrichissant mais bien souvent, comme des blessures
profondes restent à guérir, de part et d’autre, la belle histoire d’amour se termine
en conflit qui est la conséquence de la négligence de chacun à prendre en
charge son enfant intérieur. Dès lors qu’une relation est basée sur un besoin
ou un manque, il est question d’interdépendance et non d’amour.
Inscription à :
Articles (Atom)