jeudi 25 avril 2013

La liberté et l’amour sont là quand on lâche la notion de bien et de mal



Pixieled

Je me suis couchée tard hier soir, chose qui ne m’était pas arrivé depuis longtemps. Mon chat préféré, docteur « Poupoute » (un de ses nombreux noms!), est venu dormir avec moi. C’est hallucinant l’effet que me fait ce chat ! La façon dont il est apparu dans ma vie, le jour de mes 42 ans. Ce que je vivais à cette époque et comment il a su me guérir de nombreuses de douleurs vécues à ce moment où je vivais une histoire d’amour passionnelle (comme à chaque fois), qui avait fait remonté beaucoup de choses enfouies. C’est d’ailleurs à cette période que j’ai commencé à faire pousser de l’herbe dans la cave de la vieille maison que j’habitais. Je considère que ça m’a beaucoup aidé à ne pas sombrer mais en même temps, j’ai bien ramé et morflé. Je sortais à peine de l’église et me demandait encore si j’avais "droit" d’exprimer mes sentiments sexuellement ! Et ce chat magnifique qui est venu quatre mois après la mort de mon Doberman, que j’aimais beaucoup, a comblé le vide tout en m’aidant à surmonter des peurs d’abandon, de rejet...Il faisait le clown sans arrêt et ronronne dès que je l'approche. A cette époque, les deux chattes de la maison pas encore opérées avaient eu chacune, une portée à deux mois d’intervalle. Monsieur Féliz a réussi à s’incruster à l’heure de la tétée avec les chatons de l’autre mère !

mercredi 24 avril 2013

Avec un peu de recul et beaucoup d'amour


John Welwood


Comme je l’ai dit à beaucoup de ceux qui m’ont écrit, j’ai été submergée par un grand nombre de mail juste pendant ma semaine « fumette ». C’est mal tombé, du coup, j’ai cafouillé à répondre, je me suis emmêlée les pinceaux mais finalement j’espère avoir répondu à chacun. Comme je le disais à Nathalie, une personne qui m’a écrit longuement et à qui je viens de répondre, je considère le lecteur au même niveau que moi. Ni au-dessus, ni en-dessous. Nous sommes égaux, dotés des mêmes capacités. Celle d’aimer est la plus grande, la plus puissante mais il ne s’agit pas d’aimer l’autre avant ou plus que soi-même, ce n’est pas cohérent. C’est le signe d’un manque affectif, d’un besoin d’être aimé. Il n’y a pas de "mal" à cela, c’est juste que ça rend dépendant des autres et que ça fausse totalement les relations entre humains. 
Nous avons tous une étincelle divine intérieure qui brille plus ou moins fort. 
Elle s’illumine quand nous aimons tout ce que nous sommes, quand nous acceptons nos "défauts", quand nous cessons de vouloir nous améliorer.
Les vieilles croyances dont nous avons à nous défaire, sont celles qui nous font penser que nous ne sommes rien, que nous sommes mauvais, méchants... 
Nous sommes multidimensionnels et tout ce que nous sommes est divin, créé par la source. 

Passage du monde de la pensée à celui du ressenti.




C’est ce que je me propose de vivre à chaque instant. Il ne s’agit pas de cesser de penser puisqu’en plus, c’est impossible mais de prendre l’habitude d’habiter pleinement son corps, d’être le témoin de ce qui se vit à l’intérieur.
Puisque j’ai foi en l’humain divin, en la réalité de l’unité de tout ce que je suis, j’ai décidé de franchir une étape sur mon chemin spirituel.
J’ai cherché longtemps, par la lecture, la prière, la visualisation...à rencontrer le divin en moi. Evidemment bien que je conçoive que l’être de lumière qui est en moi, soit constitué d’énergie, je ne l’ai jamais vu de mes yeux. Il semble que je sois arrivée aux limites du mental. Il y a bien des textes qui traitent la question du divin mais ça me semble si éloigné du quotidien, de la réalité, que c’est finalement une fuite du moment présent qui est presque plus dangereuse que la prise de drogue parce qu’au moins, avec des produits, on revient vers soi quand les effets disparaissent. Mais quand on passe des heures devant son écran, à essayer de comprendre la source, on s’en éloigne totalement puisque celle-ci est une énergie amoureuse qui circule en nous, en permanence. C’est à partir du ressenti, des émotions, dans la simple observation de ce qui est que l’on peut réellement approcher le divin intérieur. Ressentir la joie simple d'être.

L'âme nous parle à travers notre corps physique, extrait du message de Jeshua: "Maladie et santé"


Alfredas Jurevicius


Dans ma lecture du livre écrit par Paméla Kribbe, qui reçoit les messages de Jeshua, j’arrive au chapitre qui traite de la maladie et c’est très intéressant. J’en copie colle quelques passages qui me semblent des clefs de compréhension de la communication avec notre âme. En tout cas, ça me donne encore plus envie d'écouter mon corps physique, mes émotions, avant que mon âme ait à s'exprimer à travers la douleur.

Extrait du message:

« ...Toute maladie a une origine spirituelle.
 J'expliquerai cela en faisant une distinction entre vos différents corps. En plus de votre corps physique visible par tous, vous possédez aussi un corps émotionnel, un corps mental et quelque chose que vous pourriez appeler un corps spirituel.
La maladie débute principalement dans le corps émotionnel. C'est de là que certains blocages s'installent dans le corps physique au niveau matériel. Bien souvent, des croyances provenant du corps mental contribuent au développement de blocages émotionnels et à la manifestation de maladies. Je parle de croyances profondément enracinées ou d'habitudes mentales. Ce sont souvent des croyances à propos de ce qui est bon ou mauvais en vous.

La grâce c'est l'amour inconditionnel que le divin rayonne




Je repense au texte de Murielle Robert qui parait du chiffre 13 de la purification, dans laquelle nous sommes cette semaine. Il semble qu’une fois de plus, elle ait raison dans son interprétation de ce numéro comme des autres d’ailleurs. Ce qui veut dire que les désagréments, les flottements, les doutes, les remontées d’énergies lourdes sont d’actualité. Une chose à retenir dans ce processus c’est qu’il est loin de vouloir nous maintenir dans la souffrance mais bien de nous en extirper. Quand on prend conscience de ses fausses croyances, pour peu que l’on soit honnête avec soi-même, on peut constater le "chantier" que représente un tel nettoyage. Il parait clair qu’avec notre seule perception physique, à partir de cette dimension, nous ne pouvons appréhender ce qui se passe dans l’invisible et il est évident que notre mental seul ne puisse réaliser un tel bouleversement. Il est question de vivre à partir du cœur, de son ressenti et plus de calculer, d’anticiper, de jouer à gagner. Tant qu’on nous peignait un tableau idéal où les "méchants" seraient punis, et qu’évidemment on se situait du coté des gentils, le scénario nous excitait. Toutes nos souffrances et surtout les bourreaux qui ont pourri notre vie, seraient enfin punis ! 
La réalité est toute autre. 

mardi 23 avril 2013

Toujours présente !




Aujourd’hui, ma foi et mon enthousiasme sont presque palpables et c’est bien agréable. Quand je repense à hier, je me dis : oh, on est aujourd’hui !
J’ai commencé la journée en appelant la puissance du soleil à remplir mon plexus solaire, face à lui, dans le calme. J’ai appelé l’amour inconditionnel à me remplir, avec une séance d’EFT puis j’ai commencé la lecture d‘un cours en miracles. C’est un ouvrage dont beaucoup de gens, dont Eckhart Tolle parlent comme une référence en matière de spiritualité. Comme je crois aux miracles puisque j’en ai vécu, ce livre est fait pour moi. J’ai comme la sensation d’une irrésistible envie d’évoluer, d’avancer, de continuer de libérer les fausses croyances de base telles que l’idée de séparation et évidemment la fausseté du concept bien/mal. C’est toujours les mêmes techniques mais cette fois, la motivation a redoublé et l’envie de faire un grand bon en avant, se manifeste de plus en plus.
Un premier truc à libérer :
Je libère l’idée qu’il faille souffrir pour grandir.
Puisqu’au niveau de l’esprit ou la conscience, là encore, je divise. 
Puisque je suis d’essence divine, j’appelle celle-ci à s’exprimer dans chaque pensée, geste...

lundi 22 avril 2013

Merci ma foi



 
Bev Doolittle
Il est 18h50 et j’ai passé l’après midi à dormir ! Trop dégoûtée par l’arnaque du contrôle technique. Ce n’était pas le père mais le fils. Il ne s’est pas gêné de me demander 58 euros pour une demie heure à bidouiller la voiture, à la secouer dans tous les sens. C’est vraiment du foutage de gueule !
J’en veux à la terre entière et surtout à moi-même à me demander quelle pourriture j’ai pu être dans une autre vie pour tomber encore et toujours sur des voleurs, des situations dans ce foutu triangle victime/bourreau/sauveur ! 
Je ne vole pas, ne fais chier personne, j’ai une parole, quand je dis quelque chose, je le fais. Remarque il est vrai que je ne m’engage pas beaucoup mais d’un autre côté, quand je le fais, ça n’est pas du pipeau. 
Je suis fatiguée de ce monde porté par son ego où tout ce qui compte c’est d’avoir raison, de gagner ! Comment je peux attirer encore des gens de ce style ! Combien de fois je devrais appeler l’harmonie intérieure ?