dimanche 7 avril 2013

« La loi du moindre effort »





J’avoue que j’improvise totalement sur ce thème puisque je l'intègre pas à pas mais tout ce que j’écris vient du cœur, enfin j'écris de façon spontanée. C’est peut-être les énergies des 4 accords toltèques que j’ai commencé à écouter hier. Je n’ai retenu que ce qui suit.
« Nous avons perdu la joie de l’enfant de trois ans qui est tout simplement. »

J’insiste beaucoup sur l’amour inconditionnel, la transparence, l’authenticité, ce n’est pas par hasard ni pour être à la mode, dans le mouvement « New âge ».

Plus je vis dans ces énergies et plus je me dévoile à moi-même, sans effort. 
Le seul truc que je fais, c’est de me dire tout est bien, tout est parfait. 
Seule ma vision limitée m’empêche de le voir mais ma présence divine qui s’installe chaque jour un peu plus, me le souffle, me l’inspire, me le montre.

samedi 6 avril 2013

L’amour inconditionnel de soi amène l’équilibre cœur/ego et "Vous êtes les enseignants de la société" de Jeshua reçu par Paméla Kribbe



Tomasz Alen Kopera

Le temps glacial m’a maintenue enfermée pour me protéger du vent. Cet hiver qui se prolonge me pousse à croire que nous avons tous besoin d’introspection afin d’être en mesure de finir de libérer les vieux schémas de trois D. Ceux qui concernent les définitions que nous avons des maîtres, des enseignants, les notions de supériorité, d’infériorité. Ce n’est que lorsqu’on intègre l’acceptation totale de soi qu’on est en mesure d’en faire de même avec toute vie et à moins de réaliser cela, l’élévation planétaire semble difficile à réaliser. Il n’est plus l’heure de savoir qui a tort, qui a raison mais de se tourner vers son cœur et de le laisser nous enseigner en particulier, l’amour inconditionnel qui est la seule voie qui permet la manifestation du divin en soi. Je vois que le film que j’ai posté hier, « conversation avec dieu », n’a pas eu le succès que j’escomptais. Pourtant, bien qu’il montre un homme qui enseigne dans des églises, l’idée majeure est celle que l’amour est la porte du divin en soi. Il montre aussi que le dépouillement permet de revenir à l'essentiel, l'amour inconditionnel.

Freine ! Prends conscience de tes priorités et de la valeur de tout ton être. Tony Melendez, vidéo



Jnek
Il va falloir que j’intègre vraiment la notion de priorité dans ma vie. J’avais prévu d’aller en ville pour poster la facture Internet puis à la clinique pour voir Aicha, une voisine, faire quelques courses, acheter des pieds de tomates et des graines de haricots secs qui bien qu’ils provoquent des flatulences, sont un délice. D’ailleurs là encore, ça n’est qu’une question de croyance populaire parce que ceux que je fais pousser sont si tendres qu’ils sont tout à fait digestes. De plus, les flatulences, selon Lise Bourbeau, sont le signe d’une inquiétude provoquée par la peur de manquer de quelque chose. Comme l’heure tourne et que je commençais à devoir courir pour sortir avant la fermeture des magasins, je me suis posée deux minutes pour réfléchir et revoir mon programme.
Ce qui me poussait à courir, c’était la nécessité de poster la facture pour ne pas risquer d’être coupée d’Internet. Je me suis dit que la peur motivait cet élan et que je devais réviser mes priorités, en mettant l’amour de soi en avant.
Qu’est-ce que mon corps physique dit de la situation ? Il est mon plus fidèle allié, le véhicule de mon âme, l’enveloppe sacrée qui supporte mes tâtonnements avec un amour inconditionnel exemplaire. En chacune de ces cellules vibre l’éternité, l’étincelle divine, il est le monde intérieur dont je suis le locataire...

L’ouverture du cœur élargi la vision, la compréhension




Comme chaque fois que je passe par des moments de lâcher prise et que j’y arrive, il en résulte toujours une ouverture de cœur et de conscience, j’ai une patate d’enfer, ce matin ! Je laisse les mots venir naturellement et celui –ci « enfer » est posé pour exprimer le caractère puéril de l’interprétation que la majorité des gens s’en fait. Il n’y a d’enfer que l’état d’esprit dans lequel on se situe quand on se critique, quand on se juge, que l’on ferme son cœur à l’immense amour inconditionnel dont la puissance est infinie. L’enfer, c’est la matérialisation des peurs, des énergies lourdes que tant d’êtres humains aiment à nourrir. Je ne blâme personne puisque j’ai passé les trois quarts de ma vie à porter des énergies négatives, de basses vibrations et ayant quelques éclairs de lucidité provoqués par le bien-être physique induit par les drogues qui amène une forme d’ouverture de cœur. Bien que celle-ci soit artificielle, elle m’a permise de trouver un équilibre souffrance/plaisir pour maintenir mon envie de rester sur terre.
L’ignorance de ce que nous sommes, nous plonge dans une obscurité telle qu’il devient difficile de discerner la clarté dans ce que nous vivons. L’expérience et le vécu revisité, le recul que nous prenons, nous permettent d’y voir que l’amour possède des vertus extraordinaires et que même nos ombres ont constitué un chemin qui nous a amené à ouvrir notre cœur et en même temps notre conscience. 

vendredi 5 avril 2013

Fin de soirée calme, "Conversations avec Dieu" le film d'après le livre de Neale Donald Walsch



 
Flowers World Facebook
Cette journée a vraiment été très spéciale. Elle a commencé avec beaucoup de tristesse que l’amour de soi, par le non jugement et l’acceptation de pensées et émotions négatives a rendu plus douce. Beaucoup de larmes ont coulé et plutôt que de chercher à comprendre, je me suis contentée de maintenir mon humeur égale en laissant aller la peine, la tristesse et en me disant de temps en temps, "je libère". Puis j’ai suivi mon envie, celle de ne rien faire de ce que j’avais prévu, dans un premier temps et en écoutant le moindre de mes désirs sans me tracasser. J’ai regardé un dessin animé après m’être allongée au calme sans même chercher à faire quoi que ce soit, pas de cohérence cardiaque, pas de focalisation, de visualisation, pas de questions...
Rien, juste manger, et ne pas nourrir les pensées négatives et le manque de joie que le temps gris et humide suscitaient. J’ai lu un peu puis j’ai somnolé devant l’écran. 
J’ai eu de drôles de sensation d’ouverture de conscience, d’infini, de quelque chose d’inconnu à peine identifiable et descriptible.

"Je t’aime Lydia", Marie Madeleine reçu par Paméla Kribbe: "Se sentir chez soi sur terre", vidéo Darpan et extrait "Angel-A" de Luc Besson



The return of the feminine

Pas facile à se dire en face, pourtant ces quelques mots ont un immense pouvoir guérisseur. Il m’a fallu deux heures pour "remonter la pente", pour arriver à lâcher prise et retrouver la joie d’être, tout simplement, sans justification, sans doute d’être à la bonne place, au bon endroit, au bon moment et dans Ma vérité, sur Mon chemin. La réception de cette vidéo par le site Epanews, (de la part de Laëtitia Ludivine), a fini de me convaincre d’effectuer ce lâcher prise en portant un regard amoureux sur moi-même, en sortant de l’auto-critique, du jugement. Sortez vos mouchoirs ! Si des larmes vous viennent, elles seront le signe d’un appel de votre âme, de votre enfant intérieur qui manque de reconnaissance pour exprimer pleinement la joie de vivre. Accueillez-vous à bras ouvert. La tendresse que l’on s’accorde c’est la porte grande ouverte à l’amour que nous sommes en vérité mais comme le dit l’ange dans cet extrait de film, il faut l’exprimer, il faut qu’il puisse circuler pour s’amplifier et revenir multiplié.

Extrait du film de Luc Besson :
« Angel-A »

Réaliser l’harmonie par l’acceptation de soi, "Être le pont vers la nouvelle Terre" message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe


"The return of the divine feminine"



Ce matin, le réveil a été difficile. Des sentiments de doute, de colère. Un genre de rébellion envers mes guides. Une volonté de tout envoyer balader, de laisser tomber, d’arrêter d’écouter mon monde intérieur, de ne plus suivre les inspirations de mon cœur. J’étais écœurée de ne toujours pas pouvoir sentir l’amour, la chaleur en mon cœur, de sentir autant de résistance. J’ai appelé mes guides à se manifester. Il me semble que l’un d’eux soit Jeshua. Je me fie à mon cœur et au fait que je me sois toujours sentie portée élevée par ses messages et son énergie qui me semble si familière. Il a le don de m’attendrir, d’ouvrir mon cœur comme personne. Puis le "hasard" m’a guidé sur le site de Paméla Kribbe où j’ai eu la joie de trouver trois nouveaux messages que je me suis empressée de lire et même d’écouter. Puis les larmes ont coulé. 
J’étais en colère contre moi-même, reprochant à mon mental de m’embarquer dans des délires que je sais pourtant être ma vérité. Craignant les réactions extérieures face à mes affirmations. Redoutant d’être taxée d’opportuniste, d’être critiquée à parler d’argent de désir de servir et d’être rétribuée pour ça. Le doute revenu, a commencé à me pousser à en vouloir à mes guides de ne pas ressentir l’amour, à ne pas voir concrètement pour être certaine que je ne me laisse pas berner par mon mental ego...