dimanche 3 mars 2013

Quand la lumière révèle l’ombre, "Abandon et contrôle"message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe


Nébuleuse Mz3

Il semble qu’il y ait beaucoup de remous sur la toile. J’ai fait un petit tour sur les sites que je visite habituellement et les messages changent peu à peu.
La puissance de la lumière est telle que ce qu’elle révèle amène beaucoup d’humains, à paniquer. Comme chacun est amené à voir ce qu’il est en réalité, un mélange d’ombre et de lumière, tous ceux qui se croyaient pure lumière, se trouvent choqués et les réactions vont du déni à l’agressivité, en passant par l’accusation et la colère.
Quand on refuse de voir nos ombres, on va accuser systématiquement les autres.
Quel intérêt y a-t-il à se demander qui est lumineux et qui ne l’est pas ?
Evidemment quand on veut être un phare, l’enjeu est immense, on veut garder sa boutique florissante. En même temps, je peux comprendre la pression que ça crée puisque même si je me considère comme simple témoin de la rencontre avec sa lumière, j'arrive à être affectée par le nombre de visiteurs du blog. 
Je me ressaisi en remerciant mon âme de me montrer que je risque de tomber dans le piège de l'interdépendance affective.

« Lise Bourbeau: une interview par Lilou Macé & extraits d'une conférence qui date un peu »




Voici une approche de la maladie, du corps physique, qui me correspond puisqu'elle permet de comprendre que celui-ci possède un langage et qu'en étant à son écoute et en l'aimant, nous pouvons guérir de tout.  

Lise Bourbeau est une femme, pionnière du développement personnel qui a répertorié, au fil de son expérience professionnelle, les causes métaphysiques des maladies dans un de ces livres que je me suis offert et qui me guide dans l'auto-guérison :
"Ton corps dit: Aimes-toi"
Elle anime des conférences dont voici quelques extraits:

Vérité ou confort? vidéo d'un extrait de la conférence de Darpan, diffusée sur le site "Le passeur"




La journée d’hier a été très spéciale. Le soleil brillait fort à l’image de ma lumière intérieure qui m’a montrée dans ma nudité, face à moi-même. Je suis restée sans voix, incapable de publier quoi que ce soit. Remettant en question la certitude de ne plus être dans le schéma de besoin de reconnaissance extérieure. Me trouvant face à ma propre mort, mon propre vide, mes doutes, mes peurs. 
Un peu comme le soleil qui rayonnant partout dans la maison laisse apparaître la couche de poussière rendue invisible par la semis clarté. Je n’ai pas sombré dans le désespoir grâce à l’amour inconditionnel dont je me remplis régulièrement et la connaissance de la conséquence d’un apport lumineux supplémentaire. 
Comme je ne vois plus mes ombres comme des monstres, que je juge moins les choses, en terme de bien ou mal, la situation m’a plus amené à me questionner qu’à sentir l'inconfort. 

Prêts à la transparence, à l'intégrité?

J'ai écris ce texte hier mais je n'ai pas réussi à le publier. Nombre de peurs sont apparues et j'ai dû faire un travail de remplissage d'amour inconditionnel pour moi-même, avant de retrouver une certaine confiance en soi.



Samedi 2 mars,
Ce matin, j’ai passé deux heures à lire un mail et à y répondre. Plus je m’aime sans conditions et plus la vie m’offre ce qui correspond à cette énergie que je laisse enfin circuler librement en moi. Le fait d’oser m’exprimer sur la toile, est une façon d’aller vers l’autre tout en étant soi-même, sans concessions ni besoin de reconnaissance extérieure. Ce positionnement m’amène à rencontrer des âmes sœurs et à établir des relations sincères, de cœur à cœur, à connaître enfin l’amitié telle que je l’ai toujours envisagée.

vendredi 1 mars 2013

Accueil inconditionnel : Mode d’emploi (vidéo) Isabelle Padovani




La vidéo qui suit est en parfait accord avec le message précédent et l’idée de figurer toutes les voix qui s’expriment en soi, est un bon moyen de calmer le jeu puis de pouvoir prendre du recul de façon à envisager les choses avec les yeux du cœur et ceux de la conscience lumineuse. 
Je m’adresse à l’enfant, au juge, au rabat-joie, au critique intérieurs, depuis quelqu’un temps en leur donnant mon point de vue concernant l’obsolescence de la notion bien/mal. En leur expliquant que la vengeance est cycle sans fin, que seul l’amour peut guérir de tout et pour cette raison, je peux comprendre leur réaction et je ne leur en veux pas. Aucun d’eux ne m'a encore répondu mais le calme a laissé la place à l’emportement et mon comportement qui change peu à peu, sans forcer, transforme mon quotidien d’une façon bien agréable. Chacun possède en lui l'énergie de la mère qui peut intervenir dans ce processus de guérison.  
J'aime les vidéos "témoignage" la personne explique, avec simplicité, ce qu'elle expérimente, sans se placer en "maître".

"L’envie d’être parfait"message du collectif Ashtar reçu par Simon Leclerc


Guetty images

Nous avons tendance à vouloir être parfaits et on s’imagine qu’en cachant la poussière sous le tapis, on aura fait le ménage ! Mais dans cette attitude, nous nous leurrons nous-mêmes. Il y a en chacun, du bon et du moins bon, du dense et du subtil. 
Chaque partie de ce qui nous constitue a un rôle à jouer, rien n’existe par hasard. Le reconnaître et l’accepter permet de faire un grand pas en avant vers la paix et ouvre le cœur qui peut ainsi déverser un maximum d’énergie d’amour.
C’est notre sale manie de toujours comparer, juger, jauger, interpréter les choses sous l’angle du bien et du mal, qui nous rend aveugle et sourd aux inspirations de notre âme à être dans la neutralité et l’acceptation. 
Depuis plusieurs messages, je tente de montrer la relativité de cette notion dualiste que je trouve de plus en plus réductrice, limitante et totalement obsolète. 
Quand je parle d’accepter mes ombres, je ne cherche pas à les valoriser ni à m’identifier à elles, je pense simplement que d’accepter que je ne sois pas parfaite me rends la vie beaucoup plus belle et amène une paix profonde.

Femmes, je nous aime ! Réécrit avec le concours d’Eve, une âmie




Depuis que j’ai appelé toutes les femmes que j’ai été, que j’ai accueillis les 4 archétypes féminins en moi, la déesse mère, la sorcière, l’enchanteresse et l’amazone, je me sens soutenue, sereine et forte. Même si je n’ai fait que survoler les infos. Par l’appel sincère, comme une enfant qui veut se connaître s’adressant à ses aînées, j’ai la nette impression d’avoir grandi en maturité, en indépendance.
Comme vous pouvez le voir en parcourant ce blog, je suis du style à me fier à mon instinct et suis très sensible aux voix intérieures, aux inspirations. Toute ma vie, j’ai suivi mon cœur, mon instinct, mon feeling, mon ressenti. En cela, je retrouve beaucoup de qualités dites féminines, d’intuition, d’écoute, d’empathie...

Je copie colle ici, un résumé des archétypes qu'une âmie, une sœur sur le même parcours d’unification de l’ombre et de la lumière, m’a gentiment transmis et ce, avec son accord. 
C'est une brève synthèse de son vécu et de son ressenti et quelques connaissances acquises au fil de démarches d'introspection.
J’ai confiance en sa sincérité de cœur, sa détermination à comprendre, à se connaître en profondeur et en vérité, même si on se connaît depuis peu, du moins dans cette vie...
J’ai ajouté quelques trucs en noir par souci de transparence et parce que je me retrouve naturellement dans ces archétypes.

4 archétypes = 4 cycles de la lune.