mercredi 20 février 2013

Gratitude pour la terre mère, pardon à soi-même, et "comment arrêter de râler" Vidéo



 
Fleur dont je ne connais pas le nom
 Je bénis la terre mère pour les quelques moments passés au jardin. Pour le privilège d’avoir ce petit coin de terre où je peux m’éclater, jouer avec la matière, créer avec les éléments. Où chaque fois que j’y suis, je m’exprime telle que je suis, où je suis moi-même, fidèle à ma nature. Connectée à la mère, la conscience de la terre qui m’offre ce corps physique pour jouir de tous mes sens, sentir le sang qui coule dans mes artères sans plus aucun blocage, où l’énergie de vie s’écoule librement. 

Le printemps s'approche doucement mais sûrement!



 Comme on le dit si bien, la nuit porte conseil d’autant que je lis en ce moment les messages du collectif Ashtar où il est proposé de faire appel  à eux pour conscientiser, enfin prendre conscience de la véracité de ce qu’ils enseignent...J'ai dû les rencontrer cette nuit parce que mon réveil a été joyeux malgré les larmes versées hier.

Finalement, je me dis que si je veux réellement sortir définitivement du rôle de la victime, il faut que j’adapte totalement le regard que je porte sur moi, à ma foi en l’humain divin. Je peux considérer l’épisode d’hier, autrement. Me dire que certes j’ai libéré des restes de culpabilité, mais l’âme de l’autre personne a aussi appelé cette situation pour que sa personnalité puisse être éclairée et cet aspect là ne me regarde pas.
Mais le fait de le savoir, m'aide à ne pas me sentir seule concernée dans l'histoire et donc à minimiser le sentiment de culpabilité. Je fais trop souvent la connerie de prendre les agressions comme des attaques personnelles alors qu'il s'agit pour chacun d'avancer, de voir à travers l'autre ce qui reste caché, refoulé dans inconscient. Ce qui compte, c’est que j’en tire la conclusion que je doive continuer à accepter mes émotions, à ne pas les rejeter mais au contraire à aimer encore plus tout ce que je suis. 

mardi 19 février 2013

Encore des sketchs


Aymeric Lompret
"Mon poisson est garanti sans OGM"


Ah le choc, le choc, le choc!




J’ai vécu quelque chose ce matin, dont j’ai encore du mal à me remettre. 
J’ai été accusée d’avoir diffusé sur ce blog, des photos que j’ai trouvées sur un site et dont j’ai spécifié le nom ainsi que celui de la personne qui les avaient publiées, en ajoutant un lien pour y accéder directement. 
J’ai donc vécu l’accusation comme une injustice et en échangeant des mails, nous avons pu calmer le jeu en prenant conscience, chacune de notre côté de ce que l’expérience avait permis de sortir de l’inconscient. J'ai viré toutes les photos et les notes qui les accompagnaient.
Malgré tout, je restais très mal à l’aise bien que j’aie libéré le sentiment de culpabilité qui avait certainement attiré tout ça. 

lundi 18 février 2013

La spontanéité et "la peur de se tromper" par le collectif Ashtar via Simon Leclerc


La spontanéité est une bonne chose pourvu qu’on y associe la sagesse !
Je commence à me situer un peu mieux, vis-à-vis de moi-même, dans l’intégration des énergies polaires en moi et la volonté de les équilibrer. 
Je me rends compte que je ne sais pas vraiment dialoguer sereinement et que je suis plus souvent dans la "réaction" et "l’interprétation". 
Il faut dire que j’en suis dans les tous débuts de l’expression de soi vis à vis du monde et que je maîtrise très peu la communication.
J'ai passé ma vie à rejeter les autres par peur d'être blessée et rejetée moi-même. 
Enfin ça, c'est seulement maintenant que je m'en aperçois.

D'où vient ce besoin de me justifier en toutes choses?





Ce qui suit m'a été inspiré alors que je lisais des articles sur le site Epanews.
Comme je ne fais pas les choses à moitié, maintenant que j'ai décidé de me tourner vers l'extérieur, il n'est pas question que je sois uniquement spectatrice et je ne retiens pas l'élan de désir d'échange, de communication qui est enfin né en moi.
"Héritage culturel, mémoires cellulaires, tradition familiale, inconscient collectif ? Ou encore conséquence de la loi d'attraction, de résonance.
Toujours ce sentiment de devoir m'excuser d'être ce que je suis.

Alors je me rebelle et pour sortir du lot, m'exhibe en des tenues des plus extravagantes. Affiche ce que je crois à travers de vêtements où le mélange des genres, des styles et des époques, est un moyen de dire ce que porte mon cœur. Expression de mon rêve d'unité, de réconciliation entre générations, de mariage espéré entre toutes nations, entre tous les folklores et toutes les cultures. Où je me plais dans le jeu d'harmonie des couleurs, dans l'association amoureuse du noir avec le blanc. Sans les fusionner parce que le gris souris me semble trop porter de tristesse et d'ennui.

Aimer, c'est être, c'est notre vraie nature




Cette photo, illustre bien  le fait que la nature nous enseigne l’essentiel. L'importance d'être uni,. D'être ensembles.
 Je suis inscrite sur le site Epanews qui est tourné vers le bien-être et l'échange.
Le fait que j’ai enfin le désir de me tourner vers « l’autre » est le résultat du "travail" quotidien d’acceptation de soi. Qui n'est autre que le fait d'être attentif à ces pensées afin de déceler ce qui n'est pas en accord avec le verbe aimer.
L’EFT est un moyen qui amplifie ce souhait par l’inscription dans la chair. 
Cette ronde de tapotements qui peut sembler bizarre et peu crédible, je la vois et la vis comme un moyen d’imprimer sur le plan physique, par le toucher, le désir du cœur et de l’esprit. Naturellement, il faut le faire avec ses tripes, pour que le corps émotionnel soit aussi de la fête. 
En tout cas, je me félicite d’avoir enfin répondu aux appels de mon âme au travers de beaucoup de personnes qui me montraient cette voie.
Malgré que le ciel soit gris, mon soleil intérieur rayonne sur tout ce que je suis et le bien-être s’installe un peu plus, de jour en jour, par la douce magie de l'amour.