Je réfléchis à ce qui s’est passé hier soir quand j’ai voulu mettre en ligne ce que j’avais écris dans la journée. Comme je venais de lire un message d’Ashtar concernant la réalité du manque et que devant l’intelligence des propos, j’avais été impressionnée, une fois de plus, j’ai trouvé bien minable de raconter ma journée si banale de la semaine.
Je ne m’en suis d’ailleurs pas cachée.
Puis ce
matin, je me dis que l’ego est un malin, qu’il est toujours prêt à bondir, à se
mettre an avant ou à s’insinuer discrètement dans mon raisonnement.