L’important c’est d’apprendre à la reconnaître.
Souvent quand on n’a pas écouté son intuition, les situations n’évoluent pas à
notre avantage. Mais comment développer son intuition ?
Tout d’abord en observant et en écoutant son
corps physique. Être attentif et complètement conscient lorsque
son intuition envoie des signes qui sont physiques… et plus on écoute son
intuition, plus elle parle.
Il faut être convaincu que vous avez de
l’intuition, elle est innée chez l’être.
Ne vous dites pas « Avec moi, cela ne
marche pas » ou « Je n’y crois pas ».
C’est vrai que notre éducation judéo-chrétienne nous a
appris à ne pas nous écouter et surtout à ne pas nous croire. C’est un des problèmes.
Si vous posez des questions à votre intuition alors que vous ne croyez pas en
votre sixième sens, alors pourquoi en poser ?
Vu que chacun de nous est faillible, les réponses
peuvent ne pas être exactes. Ces erreurs proviennent du fait que vous ne savez
pas si ces réponses viennent du mental ou de l’intuition.
Il se peut que vous vous trompiez, mais ce n’est pas
grave, c’est normal.
Sachez par ailleurs que l’intuition parle à partir du
plexus et non de la tête et que celle-ci n’a pas de dialogue contrairement à la
folle du logis. Observez la différence, c’est important ! Jouez ce jeu
d’essai-erreur.
Avez-vous déjà remarqué comme les enfants ont une bonne
intuition ?
Comme je le disais plus haut, vous devrez accepter les
réponses, même si elles ne sont pas celles que vous attendez.
Il vous
faut comprendre que l’intuition ne juge pas les questions. Elle
dit seulement de faire attention ou de prendre garde à telle ou telle
situation par des signes, des images, des faits.
Comme dans toute action, il ne faut pas se décourager, les réponses peuvent arriver rapidement comme elles peuvent mettre du temps. C’est pourquoi il est important de ne pas douter sous prétexte que vous n’obtenez pas de réponse immédiate.
Comme dans toute action, il ne faut pas se décourager, les réponses peuvent arriver rapidement comme elles peuvent mettre du temps. C’est pourquoi il est important de ne pas douter sous prétexte que vous n’obtenez pas de réponse immédiate.
Pour terminer, sachez qu’INTUITERE du
latin veut dire : branché sur ses sens.
Les sens sont dans notre corps physique, dans les
sensations de notre peau, de nos tripes. L’intuition est donc
physique.
C’est donc le point le plus important : savoir écouter son corps
dans le calme.
Que ressentez-vous physiquement en pensant à la maison
que vous voulez acheter ? Un sentiment d’oppression ? Lorsque vous croisez
votre voisin de palier, avez-vous envie de fuir ? Quand ce vendeur se fait
aller le mâche-patate [vous soûle de paroles] ? Une nausée ?
Pratiquer une activité relaxante comme
la méditation aide énormément à écouter son
corps. La respiration est la clé pour pouvoir entrer
dans des conditions favorables à l’écoute de notre intuition ; cela permet de
relâcher les tensions physiques et mentales qui nous empêchent de nous sentir
détendus et sereins dans notre corps. Voilà pour se mettre en
condition et être prêt à recevoir les messages que nous attendons.
© 2015, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
Partager en toute liberté en citant la source et Les Chroniques d’Arcturius
Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre Arbitre, alors servez-vous en!
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« Il
n’y a pas de mauvais choix »…
…Il
n’y a que des erreurs de perception et d’interprétation, ça s’appelle l’expérience.
C’est de cette façon qu’on apprend à se connaitre intimement, à connaitre ses
vrais besoins, sa vraie nature, le langage de l’âme et à devenir ainsi autonome.
Je
voudrais ajouter à ce message, une réalité que j’expérimente, c’est l’effet
miroir, le fait que les gens, les animaux et même les objets réagissent à nos
vibrations. Puisque tout est énergétique en essence, la biologie des cellules
selon le Dr Bruce Lipton en témoigne tout comme la science quantique. Chaque
chose, chaque être est composé de cellules, d’atomes et de molécules, toujours
en mouvement, ce qui ouvre des perspectives immenses quant à nos capacités,
notre puissance psychique, notre potentiel créateur. Mais c’est un autre sujet
que je développerais une autre fois.
La
vie nous parle tout comme notre corps physique et comprendre ce langage est un
apprentissage qui ne demande pas d’effort et qui s’acquiert relativement
rapidement. Comme tout ce qui est nouveau, déjà ça fait peur, ce qui est
naturel.
Puis, il nous faut juste être attentif, mais en prenant les choses à la
légère, ‘juste pour voir’ et de cette façon, la vision s’affine.
En cela, la curiosité de l’enfant
qui demeure en chacun est très utile.
Pour cette raison, écouter ses émotions,
les accueillir en son cœur permet d’entendre leur message. Elles révèlent les
croyances qui sont cachées dans l’inconscient et sont très précieuses.
Puis par
cette ‘technique’ d’accueil, d’acceptation, le lâcher prise devient plus facile et
on aura moins de crainte à suivre ses élans.
Parce qu’ici encore, nous sommes conditionnés
par la peur; peur de se planter, de faire le mauvais choix…
Il n’y a pas de
mauvais choix, le cœur, le désir, les émotions ne mentent jamais.
Ce sont nos
croyances et nos attentes qui en faussent la compréhension et l’interprétation
mais l’erreur nous permet de lâcher prise, de libérer la pression donc ‘c’est
utile’.
L’attention
à soi, à son monde intérieur, mais aussi au monde extérieur, permet de décoder les signes, les messages et de
connaitre nos réels besoins, ceux qui sont vitaux tels que le fait d’aimer et d’être
aimé. Il conditionne notre vie tout autant que nos peur et quand on fait
confiance à l’amour, on en vit sa puissance.
Alors
ne doutez plus de vos désirs quels qu’ils soient ; autorisez-vous à Vivre
selon vos envies puis à lâcher la culpabilité qui est un frein immense. Une
fois que son intensité diminue, on y voit plus clair, on a gagné en confiance en
soi, en estime de soi et on avancera avec plus d’assurance.
En
s’autorisant à suivre son désir de l’instant, sans en faire une vérité absolue
mais en le considérant comme un appel de la Vie en nous, à être, à s’épanouir, dans
l’instant, fait émerger l’être véritable…
Bon, j’allume le feu pour prendre la
douche avant d’aller au jardin.
Pour le moment le soleil ne le touche pas et je
serais prête à y aller quand il aura rayonné et séché la rosée du matin et l’arrosage
d’hier.
J’adore quand le mental, le cœur et le corps physique s’accordent naturellement.
J’ai bien sûr craint de régresser en suivant mes envies mais je constate qu’il
n’a pas fallu beaucoup de temps pour que je trouve mon propre rythme, celui de mon cœur
et en même temps celui de mon corps physique.
En fait à chaque fois que je lâche
prise, j’évolue rapidement là encore ce n’est pas une question d’effort à
fournir mais juste se rappeler la force de cet abandon.
Au début, je commençais
la journée par écrire, négligeant la faim qui de toute façon ne venait pas avant 15 ou 16h. Je
déjeunais vers onze heures pour avoir de l’énergie mais sans trop d’appétit.
J’ai
déjà constaté plus d’une fois que si je perds l’appétit et ne mange pas du
tout, non seulement je faiblis physiquement, ce qui est naturel, mais ça affecte
aussi tout le reste, la nervosité, le sommeil, la motivation à agir…et l’état
dépressif s’en suit.
Pour éviter cette dégringolade je me suis un peu obligée à
me nourrir mais par amour pour la vie, par respect pour ce temple de chair si extraordinaire
et non par peur ou par obligation.
Puis je n’ai pas non plus freiné les envies
de manger de la viande ou trop de choses sucrées malgré que je sache que ça n'est pas la meilleure alimentation.
Je mangeais ce qui me faisait
vraiment envie, c’est la garantie d’une bonne digestion parce que l’énergie qui
sous-tend l’acte, prévaut. Je n'ai pas critiqué le mental non plus pour son avidité, son "égoïsme". Disons plutôt ,que j'ai commencé par le faire puis comme ça m'a beaucoup perturbée, j'ai changé mon attitude, j'ai accepté ce fait. Le mental a besoin de cohérence de repère et accepter ce qu'il est, libère son potentiel, restaure l'amour et l'unité en soi.
C’est
une question de confiance, en soi, en l’amour et en la vie mais quand on suit l’élan
de l’instant, comme rien n’est figé, on trouve son propre rythme, on agit selon
ses convictions, ce qui renforce l’amour en soi et l’autonomie, la faculté de
penser par soi-même, qui libère des conditionnements de l’inconscient
collectif.
Bon,
le feu, la douche, le petit déj’ et le jardin ! J’aime retrouver la
cohérence, l’organisation selon la "logique" du divin intérieur et l’alignement de
tous les corps ; l’unité en somme.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci