Ce
matin, je jubile, l’appel de guérison de l’âme et la coupure des liens
karmiques a porté ses fruits dès hier ! J’ai un peu hésité à en parler
mais comme ce blog a pour objectif de montrer qu’il est possible d’auto-guérir
et que c’est au travers de l’évolution de la vie de celui qui s’engage sur la
voie du cœur, que la "démonstration" est faite, et puisque ce qui s’est
passé est comme une consécration, je me réjouis de relater les faits. Un peu longue
la phrase ! Nous avons eu une conversation avec ma mère, d’adulte à
adulte, de cœur à cœur, d’égale à égale ! Bon, elle reste encore un peu
fermée mais son ouverture de cœur est indéniable. Déjà, le fait qu’elle ose me
parler de son ressenti par rapport à la visite prochaine de ma sœur, est énorme !
Je ne vais pas entrer dans les détails par respect pour ma famille mais juste en parler pour montrer que cette
semaine, j’ai pu contacter mes parents, ce qui constitue déjà une réponse en
soi, vis-à-vis de mon père que je n’avais pas eu au téléphone depuis plus de
six mois. Pour que vous puissiez voir la rapidité de la réponse de ma présence
divine à l’appel de guérir le cœur karmique, et la vérification de l’efficacité
de la coupure des liens karmiques que j’ai formulé, dans la semaine. Le
processus est assez simple ; affirmation avec désir sincère, assurance et
position de réception sans attente. En effet quand j’ai formulé la phrase avec
foi, je n’ai pas cherché à projeter mentalement quoi que ce soit. Pas
imaginé comment ça pourrait se concrétiser. Pour mon père, il a suffit que je
pense à lui avec amour inconditionnel, sans attachement, sans attente, que je
constate ce qu’il est objectivement pour qu’il se manifeste et s’exprime avec
le cœur, sans se positionner en victime mais en ami, d’égal à égal. Pour ma
mère, j’avoue que j’ai un peu râlé intérieurement avant de l’appeler parce que
je n’aime pas trop le fait de s’appeler toujours le même jour, à la même
heure...
Comme je suis mon rythme selon l’envie, ça m’oblige et je n’aime pas
ça. Tout ça pour dire que je n’étais pas particulièrement dans de "bonnes
dispositions" avant de la joindre. Puis quand elle a commencé à parler des symptômes
physiques que la proximité de la venue de ma sœur provoquait en elle, j’ai
senti tellement d’amour et en même temps la guidance de mon âme dans la façon
de lui parler de l’accueil des émotions, que j’ai laissé parlé mon cœur. Comme
elle est championne dans sa capacité d’analyse, de raisonnement, j’ai dû lui
parler avec un langage qui la touche, évitant d’utiliser les mots cœur, âme...Je lui ai expliqué comment accueillir et localiser ce qui vient, le fait que de bloquer une émotion l'amenait à se cristalliser et à provoquer des symptômes dans le corps physique, voire des malaises...Je pense qu'elle tentera le truc, enfin elle m'a écouté avec confiance. Elle n'a pas eu l'impression que je cherchais à la convaincre puisque je n'ai fait que témoigner des bénéfices du processus, sans y mettre aucune connotation, en abordant les choses par le raisonnement logique. J'ai été" épatée qu'elle me dise une phrase qui correspondait à la façon d'interpréter les causes des maladies de Lise Bourbeau. Non seulement elle a lu le livre mais en plus elle semble convaincue.
Dans cette expérience, c’est comme si en plus mon âme me donner l’occasion de passer mon examen afin de recevoir mon diplôme de "conseillère en mieux être" ou "accompagnatrice vers l’âme", bref je ne sais pas encore quel terme j’emploierai mais ce qui est sûre c’est qu’à la rentrée, je proposerai mes services. J’aimais bien « reflet de l’humain divin » qui correspond bien à ce que je pense faire. Bref, là-dessus, chaque chose en son temps. Si je peux arriver à transmettre à ma mère, quelqu'un de très mental et en plus avec qui j'ai des liens affectifs très forts, un passé commun douloureux, les connaissances que j'applique dans ma vie, je peux aussi le faire avec des inconnus.
Dans cette expérience, c’est comme si en plus mon âme me donner l’occasion de passer mon examen afin de recevoir mon diplôme de "conseillère en mieux être" ou "accompagnatrice vers l’âme", bref je ne sais pas encore quel terme j’emploierai mais ce qui est sûre c’est qu’à la rentrée, je proposerai mes services. J’aimais bien « reflet de l’humain divin » qui correspond bien à ce que je pense faire. Bref, là-dessus, chaque chose en son temps. Si je peux arriver à transmettre à ma mère, quelqu'un de très mental et en plus avec qui j'ai des liens affectifs très forts, un passé commun douloureux, les connaissances que j'applique dans ma vie, je peux aussi le faire avec des inconnus.
Cerise sur le gâteau, j’avais étalé du linge le
matin puis après être allée au jardin et avoir fait ma sieste, ça m’était
complètement sortit de la tête. Au moment où j’allais raccrocher le téléphone,
quelqu’un a frappé à la porte. Je dois dire que c’est rare, à part Allister, le
gamin du quartier, je n’ai pas trop de visites. En plus, ça tombait bien, je
venais de laver le sol, avant ma sieste ! J'ai remarqué que lorsque je procède à des profonds nettoyages intérieurs, ça me motive à le faire à l'extérieur. C’était la voisine, la mère d’Allister
qui m’amenait mon linge ramassé en catastrophe à cause de la pluie qui
retombait ! Même si pour beaucoup, ça peut sembler banal, pour moi, c’est
très significatif, ça répond à l’évidence que la voie du cœur, l’inspiration de
mon âme à "aider", le fait de suivre son cœur avant toute chose, suffit à
ce que tout s’aligne autour de ce choix essentiel. Suivre l’appel de son âme,
en toute confiance, pourvoit à tout. « Cherchez premièrement le royaume
des cieux et tout le reste vous sera donné de surcroît » ! Le fait de
rayonner l’amour inconditionnel pour soi-même, de vouloir guérir, se répercute
sur l’entourage, dans la relation à l’autre qui reflète ce même amour sans
calcul, juste spontané.
Avec un
peu de recul, ce que j’ai vécu hier est un témoignage vivant de ce qui résulte
de la volonté de vivre à partir de son cœur, de considérer l’humanité comme UNE.
Le fait de ne pas avoir refoulé la tristesse qui venait des profondeurs de mon âme,
a permis au processus de guérison de se faire naturellement et j’en ai
immédiatement goûté les "bénéfices". L’accueil inconditionnel de cette
émotion qui aurait pu me plonger dans la dépression si je l’avais refoulée, a
libéré la charge énergétique et allégé mon cœur et mon âme de ce poids. Une
fois l’exercice effectué par la simple affirmation de ce souhait et l’attention
lumineuse et amoureuse protée sur cette vibration localisée dans le corps
physique, je suis allée au jardin, j’ai lâché toute attente à ce propos dans la
confiance totale du processus. Je me répète mais c’est encore une fois
volontairement, afin qu’il n’y ait aucune ambiguïté, afin que les choses soient
claires, ça marche !
Je suis
remplie de reconnaissance et d’admiration pour la capacité de guérison de l’humain
divin par le seul fait de vouloir s’aimer sans condition, qui amène à aimer
toute vie de la même façon. La puissance de l’amour est immense !
La
voisine qui m’agace, est venue frapper à la porte pour me dire que le
propriétaire lui avait demandé d’aviser les locataires du décès de sa sœur. J’ai
été assez surprise de cette nouvelle et ne me suis pas forcée à faire comme si
de rien n’était. Je ne culpabilise pas de ne pas lâcher ma position à son
égard. Je continue de faire la gueule enfin, pas vraiment, je ne lui parle pas
pour le moment sans pour autant la rejeter. J’attends d’avoir l’occasion de lui
expliquer mon point de vue calmement en face à face. Elle a tendance à prendre
les autres à témoin et à se poser en victime. Elle inverse carrément les rôles.
Bref, je ne vais pas me crisper sur cette histoire, je laisse venir. Peu à peu,
je libère les sentiments inappropriés de façon à faire la part des choses. J’ai
déjà coupé les liens karmiques. Je ne veux pas zapper l’histoire et je pense qu’en
lui donnant mon point de vue sur la situation de façon objective, à partir du cœur,
elle pourra le comprendre, sans se sentir accusée. Il est nécessaire d’être
ferme et en cohérence avec soi-même, sans avoir besoin de rabaisser l’autre. Il
va falloir trouver le juste milieu. Pour ça, je fais confiance à mon âme et la
laisse me guider au fur et à mesure, entre cœur et raisonnement.
Direction
le jardin, il y a de quoi faire bien que la pluie d’hier soir m’évite d’arroser !
Les mauvaises herbes grossissent à vue d’œil. Elles ont tout ce qu’il leur faut
pour s’épanouir, chaleur et eau en abondance ! Ce sera l’occasion de
continuer de libérer les pensées injustes. Je continue les séances d’EFT tant
que je n’ai pas libéré les dépendances aux produits chimiques, médicaments et
tabac. Il y a derrière ce geste, une incompréhension des énergies masculines et
féminines, un manque d’équilibre cœur ego, quelque chose qui remonte très loin !
Je me rends compte que devant le modèle offert par mes parents, j’ai choisi d’adopter
le comportement de ma mère, très accès sur le mental, l’auto défense, la
méfiance vis-à-vis du cœur, la sensation de devoir s’endurcir pour exister dans
ce monde...J'ai associé le cœur à la faiblesse, en me référant aux modèles
parentaux et comme ma vraie personnalité, c’est d’être en amour, j’ai dû
prendre des cachets pour me blinder, m’insensibiliser. Plus je me libère de l’influence
consciente et inconsciente de mon éducation, plus je suis les élans de mon âme
et plus la guérison se fait. Je suis convaincue que seul l’amour inconditionnel
possède le pouvoir de guérir définitivement. Je ne veux pas guérir par peur de
la maladie, peur du jugement extérieur, qui n’est de toute façon que le reflet
du jugement intérieur, par la contrainte le devoir ou l’obligation, je veux
guérir par amour. Par l’amour inconditionnel de soi, que mon inconscient en
soit imprégné afin que ça redevienne ma véritable personnalité, alignée sur mon
essence éternelle. Si j’agis par opposition, la part de moi qui conteste se
manifestera de toute façon même si elle est calmée momentanément. Comme le dit
Jeshua ; « Ce n’est pas possible de créer une réalité qu’on aime
mieux à partir de la haine de soi. »
Le
souvenir de mon rêve de cette nuit, au réveil, c’est une conversation avec des
gens comme ma famille d’âme, dans leur aspect incarné sur tout le globe. La
dernière image est celle d’une américaine du sud, peut-être Bolivienne. En tous
cas, au réveil, j’avais la banane ! Comme c’est reposant de ne pas
chercher à s’accrocher aux émotions positives, de ne pas chercher à les maintenir
à tout prix ! D’être prête à accueillir ce qui vient, sans y résister. Quand
on accepte ce qui est, on se désidentifie de toute pensée, de toute émotion, c’est
si libérateur !
Photos de ma confection que vous pouvez utiliser à condition d'en citer la source: http://lydiouze.blogspot.fr
Photos de ma confection que vous pouvez utiliser à condition d'en citer la source: http://lydiouze.blogspot.fr