dimanche 15 février 2015

« Maintenir la joie en soi »





Je continue d’être dans une fréquence vibratoire des plus agréables depuis hier. Je suis allée chercher du bois avec la chienne et son comportement m’a épatée. On se connait tellement et comme on se respecte mutuellement, il y a une complicité entre nous qui se passe de dialogue. Je la soupçonne de lire dans mes pensées par moments ! 
Je ne l’ai jamais « dressée » dans le sens où je ne lui ai pas répété les choses de façon à ce qu’elle comprenne mais je l’ai toujours considérée comme un être à part entière, un membre de ma famille, une amie et traité comme telle. Je n’ai pas besoin de lui demander de se coucher, de marcher en laisse, elle avance près de moi, se fait son film « à la recherche des pistes ». Pour demander à manger, elle sait très bien se faire comprendre, bref, c’est une relation amicale qui est très enrichissante. Son état me renseigne sur mon monde intérieur et sa super forme en ce moment, est très encourageante !

J’ai encore pu vérifier ma capacité d’aimer, de m’aimer, ce matin. J’étais au téléphone avec une âmie et comme on se contacte seulement de temps en temps, la conversation a duré près d’une heure. Je suis allée dans les toilettes après avoir raccroché et là, oh surprise, il y avait de l’eau partout ! Je ne me suis fait aucun reproche et pourtant, j’ai mal fermé le robinet. J’ai écopé cette eau, sans broncher et en laissant passer les pensées qui se manifestaient. Pas une critique ! Je me suis pardonné de suite ! Quelle énorme progression ! Il y a peu, je serais encore en train de me faire des reproches.

« Expansion Solaire, Énergie de la Mère Divine et Expérience Multi-Dimensionnelle » par Celia Fenn





Famille Bien-aimée de Lumière, alors que vous vous préparez à l’arrivée des puissantes énergies de l’Équinoxe et de l’Éclipse de Mars 2015, vous ressentez actuellement les effets de l’activité dynamique et de l’expansion du Soleil et du Système Solaire. Le Soleil / Solaris connaît une ‘mise à niveau’ dans le Champ de son Corps de Lumière, ce qui le met en résonance harmonique avec les nouveaux codes de Lumière Cosmique/Galactique transmis depuis le Grand Soleil Central au centre de la Galaxie. Ce processus est guidé par le Conseil solaire de Solaris et par le Conseil Galactique de la Galaxie de la Rose d’Or (Voie Lactée).
Alors que ces ajustements Solaires nécessaires se font dans le Corps de Lumière de Solaris, ils seront également ressentis comme des ‘mises à niveau’ similaires au niveau Solaire de votre propre Corps de Lumière. Ce qui va initier un recalibrage de fréquences dans votre Corps de Lumière et dans votre Corps Physique.
C’est un processus puissant que vous allez ressentir dans la Glande Pinéale et dans le Système Nerveux, ainsi que dans la région du Plexus Solaire. Pendant une petite période, vous pourriez expérimenter des tensions, de l’anxiété, de la dépression, des étourdissements, un sommeil interrompu et des rêves intenses. Vous pourriez également libérer les anciens schémas de peur liés au fait d’intégrer et d’incarner plus de lumière alors que votre Divinité Intérieure se révèle de plus en plus au monde extérieur. Cela rendra les choses plus faciles alors que le processus de recalibrage se mettra en place en préparation pour les grands changements de la planète au mois de Mars.

samedi 14 février 2015

« Pourtant nous sommes déjà complets, entiers, réalisés… » & vidéo d’Eckhart Tolle






Je parle souvent de pardon, aux autres, à soi-même et pourtant, je suis la première à m’invalider ! C’est un réflexe automatique de rejeter des aspects de soi qu’on a du mal à accepter et pour cette raison, à moins de se regarder en face, en toute objectivité, il n’est pas si facile de détecter ces mouvements de rejet. 
J’ai beau savoir que l’amour de soi, un amour inconditionnel de soi, est la porte du cœur, du divin, la meilleure des protections qu’on puisse avoir puisqu’alors tout en soi est unifié par l’amour, je tombe encore dans le piège de l'auto-critique, d'accusation. 
J’ai retrouvé la joie en prenant conscience de ce qui m’avait amené à redescendre en mode grincheux ; la critique, le jugement intérieurs. Non seulement elle est souvent injustifiée mais elle plombe littéralement l’atmosphère. 
Je suis face au problème de l’addiction depuis des années et bien que ma conscience soit lucide quand au fait que ce soit une fuite, d’autres parts de moi croient encore que c’est une voie de mieux-être. Ce geste, ce réflexe de mettre quelque chose dans sa bouche pour répondre au besoin intérieur d’amour, de communion, remonte à l’état de bébé. Comme cette solution de compensation a marché pendant toute ma vie, au niveau de l’inconscient ça reste inscrit profondément. Et la seule façon de libérer la sensation de manque, c’est d’amplifier patiemment l’amour en soi.

« Vos défauts peuvent être de grands atouts » par Lise Bourbeau





Je sais que votre ego peut résister beaucoup à ce titre. Il s’empresse de vous faire croire que vous devez vous débarrasser de vos défauts à tout prix, qu’ils ne vous sont pas utiles. 
Le seul problème de nos défauts, c’est qu’on ne les utilise pas bien et qu’on s'en préoccupe trop. Très souvent, on les amplifie au point de ne plus être réaliste face à ce que nous considérons comme des défauts

Prenons comme exemple la personne qui se juge chaque fois qu’elle parle trop. Elle se promet bien de tourner sa langue sept fois avant de parler à l’avenir, mais on sait tous qu'elle oubliera très vite sa promesse. 
Plus elle veut se défaire de ce défaut et plus il revient à la charge. Pourquoi? 
Parce que nous sommes sur terre pour vivre toutes sortes d’expériences – incluant nos défauts et qualités – en nous acceptant. Ces expériences sont nécessaires pour découvrir ce qui est plus intelligent pour soi. Comment arriver à faire ce discernement si nous agissons toujours de la même façon? Parler trop ou pas assez, être menteur ou vrai, être lent ou rapide, savoir écouter ou non, être entêté ou ouvert, être habile ou gauche, être dépensier ou économe, etc. 
Au fil des années, j’ai découvert que nous ne pouvons JAMAIS être bien et en harmonie, si nous nous contrôlons pour exprimer seulement l’aspect positif de chaque attitude. Nous devons nous donner le droit d'exprimer les deux aspects, le positif et le négatif. 

vendredi 13 février 2015

« En fait, je n’ai pas perdu la connexion à l’âme, je me suis habituée à sa présence »





Depuis trois jours, je bloque, c’est la page blanche. Enfin j’écris mais ne publie pas. Régulièrement, je remets en question l’intérêt de ce blog et à chaque fois, un commentaire, un mail, me persuadent de continuer. Je sens qu’il me faut aller vers les autres, dans la réalité, passer beaucoup moins de temps sur l’ordi. Et c’est la même chose pour vous. Tout ce temps passé sur la toile est une forme de fuite, un attachement au virtuel qui éloigne de la vraie vie. Un enfermement qui ressemble beaucoup à celui de la dépendance aux drogues.
Il est normal que des vieilles peurs remontent à la surface puisque j’enlève la carapace placée autour du cœur. Celle qui me coupait de mes émotions, que je découvre petit à petit et la colère, la tristesse, l’ennui, apparaissent tour à tour. Je laisse ces énergies me traverser, je ne cherche même plus à comprendre. De temps en temps, j’ai des images/concepts qui viennent comme l’idée que l’ennui va me pousser à sortir, que toutes ces émotions ont leur « intérêt » ne serait-ce que de m’exercer à pratiquer le retour au cœur. 
C’est frustrant pour le mental qui a besoin de savoir de quoi demain sera fait mais comme la confiance est là, je me dis que la patience est intégrée dans ces moments où la vision est troublée et que je viens en mon cœur y trouver la paix. Le mental voit, projette et comprends l’importance de l’alchimie émotionnelle mais il a du mal à accepter le fait que la compréhension ne suffisent pas.

mercredi 11 février 2015

« L’amour une force surnaturelle » par Virginie Gomez






L’amour est-il sécrété par notre cerveau, comme la bile est sécrétée par le foie ? Bien qu’il continue de nourrir notre imaginaire, c’est l’image qui lui est souvent associée. Mais une toute autre réalité est possible.
Qui aime quand je t’aime ? Quand j’aime mon mari, ma femme, mon fils, mon compagnon, ma mère, mon père, mon frère, ma sœur…
Est-ce le marteau en moi ? Le névrosé qui a besoin d’être rassuré sur lui-même, de savoir qu’il n’est pas seul, ou ce besoin d’admirer et d’être admiré ?
Nous voulons aimer. Nous voulons donner de l’amour.
Nous voulons aussi tout contrôler. Et nous voulons des résultats.
Nous voulons être heureux. Nous sommes un jour euphoriques, le lendemain déçus. Dans son livre Et si de l’amour on ne savait rien, le philosophe et méditant Fabrice Midal décrit ce dessin de Voutch, montrant une femme qui dit à l’homme en face d’elle : « Sache que je suis prête à t’accepter tel que tu es, Julian. Mais d’abord, il faut que tu deviennes quelqu’un de complètement différent. »

À moins que ce ne soit l’excitation, le besoin d’aimer qui nous poussent dans l’étreinte. Amabam amare, « j’aimais aimer » dit saint Augustin évoquant un état précédant la marche vers Dieu. Marc Marronnier alias Frédéric Beigbeder s’interroge dans « L’Amour dure trois ans » : « Je l’ai lu dans un magazine féminin : l’amour est une poussée éphémère de dopamine, de noradrénaline, de lulibérine, et d’ocytocine [...]. La société vous trompe : elle vous vend le grand amour alors qu’il est scientifiquement prouvé que ces hormones cessent d’agir après trois ans. »

Entre vision matérialiste du monde et société de consommation, nous avons développé une vision à la fois naïve et désespérée de l’amour : nous lui demandons tout et n’en espérons finalement plus rien.

« Se rappeler comment centrer son énergie » par Steve Rother





Le fait que vous ayez « besoin » que d’autres personnes d’une vibration identique valident régulièrement votre point de vue, produit des résultats autres que ceux que vous escomptez. 
C’est là un effet de la dualité sur le terrain de jeux et rien d’autre qu’une illusion. 
Quand vous parlez à Dieu, y a-t-il quelqu’un d’autre avec vous? 
Lorsque vous faites face à vos propres responsabilités, êtes-vous accompagnés ?
Quand vous vous retirez dans l’intimité pour vous ressourcer, y a-t-il quelqu’un auprès de vous ? 
Ce sont autant d’espaces sacrés intérieurs qui n’ont pas de polarités et dans lesquels personne d’autre n’a besoin d’approuver vos décisions.
Ce sont des refuges sûrs qui vous permettent de vous rappeler votre véritable essence, cette essence qui n’appartient qu’à vous.
Dans toutes les matières, ayez le courage de vous donner la première place car, ce n’est que dans ces conditions qu’il est possible de marcher vraiment à l’unisson avec autrui. Il n’existe qu’une seule vraie relation : la relation que vous entretenez avec Vous-même.