samedi 6 septembre 2014

« Quand la conscience de l’état du monde permet de libérer la victime intérieure » & doc choc


Vladimir Kalinin Rito**



Malgré que je sache que la façon la plus efficace de libérer le passé soit d’accueillir les émotions qui se manifestent dans le quotidien, je n’avais jamais osé aller puiser dans ma mémoire un souvenir douloureux afin de l’entourer (de focaliser mon attention sans jugement) d’acceptation, la peur de ressentir les émotions d’alors m’en empêchait toujours. 
Puis, tout à l’heure, après avoir republié la vibra-conférence de Caroline Blanco (vidéo) dans laquelle elle donne une méditation guidée, j’ai parlé à mon enfant intérieur et l’ai laissé exprimer les émotions de deux scènes très douloureuse de l‘enfance.
Le contact était tendre et la confiance mutuelle au rendez-vous. Il me semble qu’une certaine légèreté ait pris place mais de toute façon, le fait d’avoir pu "sentir" ce passé me confirme que les gardiens de l’enfant intérieur le laissent s’exprimer quand je lui parle donc ça se détend intérieurement. 
Mais avant tout, c’est la tendresse avec laquelle je lui parle enfin, (avant, je jouait un peu trop la mère, le côté "j'éduque", j'explique) qui agit comme un effet guérissant et me permet de sentir qu’il est réceptif, présent et en confiance. 
J’ai réalisé qu’il me fallait être sur la fréquence de la confiance, que je ne craigne pas la douleur qu’il porte pour qu’il soit aussi en confiance.

« Comment savoir si c'est bien mon intuition que j’entends? » par Caroline Blanco



Alya Bocharova

C’est une des questions que l’on me pose le plus souvent et c’est normal, car ce n’est pas si évident que ça, en tout cas, pas tant qu’on n’a pas compris les quelques principes de base au sujet de l’intuition.
En fait, notre réelle difficulté, contrairement à ce qu’on pourrait le croire, ce n’est pas de ne pas entendre notre intuition, c’est de ne pas connaître la différence entre les voix de notre intuition, celles de notre mental et celle de nos émotions.

Notre mental, c’est notre égo. C’est notre parent raisonnable, autoritaire, persécuteur, calculateur et surtout peureux. Ses phrases commencent toujours par : « tu dois… », « il faut … », « tu ne peux pas… », « c’est mal… », « tu es bête… », … Il fonctionne souvent à plein tube toute la journée et en y prêtant un peu d’attention, il est pratiquement impossible de ne pas le détecter en tant que tel. 
Lorsqu’il essaye de se faire passer pour votre intuition, ses ruses sont toujours les mêmes. Puisqu’il est extrêmement peureux et craintif, il essaye de se protéger lui-même de tout ce qui lui semble être un danger.
Il va donc toujours opter pour ce qui est déjà connu afin de rester dans ses habitudes qui le rassurent. Tout changement l’effraie, car il représente une prise de risque incontrôlable pour lui.

« Le pouvoir de guérison spirituelle » Hilarion via Erenaliance


Derek Kind


   
 Lorsque Je dis que les êtres humains peuvent s’auto-guérir, Je sais pourquoi Je le dis avec tant de fermeté et d’amour, Je sais qu’ils en sont tous capables, puisque chaque personne possède en elle le pouvoir de son esprit… L’esprit est fort, il sait guérir, il sait comment, il sait aussi pourquoi l’être humain a créé un désordre, que le corps émotionnel traduit souvent par le corps physique…

La Lumière qui existe en vous est capable de vous donner toutes réponses, mais vous ne savez pas l’interroger, vous pleurez sur votre sort… Pour atteindre les réponses, il suffit de s’intérioriser, de laisser venir les images, d’en comprendre le sens et la portée, il suffit parfois d’une onde d’amour envers soi pour tout capter, mais aussi pour résoudre une problématique, émotionnelle ou physique, mentale ou psychique… Vous êtes tous concernés…

Le pouvoir de guérison spirituelle n’est pas réservé à une élite, il vient du cœur, de l’âme, de l’Amour développé et traduit, il vient de la paix intérieure, d’une capacité télépathique, d’un code spécifique, d’une conscience éclairée… Il n’y a pas de limite à ces guérisons par l’Amour !... Je le certifie… Vous pouvez toutes et tous vous auto-guérir, certes parfois vous êtes bloqués, traduits par vos émotions devant le tribunal de votre mental, de vos jugements, et vous limitez les effets de l’Amour en vous…

« Dites-leurs qu’ils sont bien plus que des hommes… » par Alain Degoumois




 

Dites-leurs qu’ils ne sont pas leurs colères, leurs jugements ou ces déchirements qui les divisent.
Dites-leurs qu’on ne peut rien leur enlever car leurs âmes sont immortelles et qu’ils sont les dignes fils de la Vie.
Dites-leurs qu’ils sont bien plus que leurs expériences.
Dites-leurs qu’ils portent en eux des vestiges du conditionnement social mais que leurs véritables natures résident bien au-delà.
Dites-leurs de ne pas s’arrêter aux apparences d’un monde qui appuie les contradictions et le feu de la séparation.
Dites-leurs de ne pas perdre leurs vie à vouloir absolument la gagner.
Dites-leurs qu’ils ne sont pas ce qu’ils font ou défont. Car ce qu’ils font ou défont ne sont que l’écho d’une nature bien plus profonde.
Dites-leurs de se désidentifier de leurs colères et de leurs jugements.
Dites-leurs qu’ils sont des lumières pour éclairer les ténèbres.
Mais dites-leurs également qu’ils sont leurs propres ténèbres et leurs propres lumières.
Dites-leurs que la vie est une danse.

« Prendre la vie comme elle se présente »





Décider de sortir de la vision, de la division bien/mal, est un premier pas vers la liberté mais ça n’est pas réalisable du jour au lendemain. Je me disais quand je lisais « faire taire le mental », que ce n’était pas possible pour moi mais en fait, ça commence à le devenir. Quand on veut sortir de la dualité, on est attentif à nos pensées pour ne pas juger ou du moins pour discerner au lieu de juger. 
Je ne pense pas qu’on puisse cesser de juger puisque le mental est conditionné pour appréhender les choses en terme de bon ou mauvais mais, plutôt que de s’en vouloir pour ça ou encore de feindre d’être neutre, il m’apparait utile de garder le côté positif de ce mode de raisonnement, c’est  à dire la capacité à se faire une opinion, à se situer, à faire un choix...
La première idée qu’on se fait dans toute situation, c’est toujours une forme d’évaluation, une façon de cerner l’objet, de le comprendre, de le situer. Ce qui cause du tort, c’est le fait de s’accrocher à son point de vue, de vouloir avoir raison à tout prix ou d’enfermer quelqu’un ou quelque chose dans une case, de l’étiqueter. Mais ce réflexe est naturel puisqu’il nous permet d’affirmer nos choix, de poser des limites. Quand on parle de se centrer, c’est le fait de prendre un peu de recul, c'est-à-dire de ne pas être en réaction mais de voir avec objectivité, considérer tous les aspects de la situation pour pouvoir se faire son opinion.

vendredi 5 septembre 2014

« SOIS TENDRE AVEC TOI »… Marie (Erenaliance)


Marjolaine Caron


   
    Si J’avais un message immédiat à te donner, Je te proposerai la tendresse, Je te demanderais d’être tendre avec toi, tu ne l’es pas assez…
Si J’avais un conseil immédiat à te donner, Je te dirai de t’aimer, mais pour t’aimer, il te faut commencer par être tendre avec toi…
Si J’avais besoin de te donner un encouragement, Je te dirai d’être plus simple, et pour être plus simple, il te faut être tendre avec toi…
La tendresse est une bénédiction… Elle ajoute de la paix à la présence immédiate de tes sentiments… Elle donne une impulsion de relativité, de réalité supérieure, elle te permet de calmer les feux du mental et de l’émotion… Et si cette dernière est bousculée, la tendresse remet de l’ordre dans la pensée, dans les sensations de justice, de créativité, de liberté…
 
Développons ensemble cette tendresse, elle te fera tant de bien !... Pour cela, prends un objet que tu aimes dans ta main, ou une peluche, une belle image, une prière écrite, un texte…, quelque chose qui peut apaiser rapidement ta sensation douloureuse… Regarde cet objet, ou lis ce texte, et laisse le mental de côté, ressens plutôt ce qui se passe en toi, ce qui vibre, quelles images intérieures se dessinent, pourquoi… A qui penses-tu à l’instant ?...

Apaisons ensemble ce qui te semble durci, incohérent, difficile, ressens ce que l’objet ou le texte évoque pour toi, hors de ton histoire, hors des évènements, juste un ressenti… Je suis là, Moi MARIE, la Mère de tous les adultes de la Terre, de tous les enfants, représentant la Mère Divine, le Père Divin, en ta polarité féminine, en la douceur dont tu as besoin…

« Démystifier la peur » & conférence consultation à distance avec Caroline Blanco





J’ai assisté à la conférence de Caroline Blanco hier soir, en différé parce que j’ai raté l’heure du direct. Le soin qu’elle a donné à distance m’a été profitable et surtout par le fait que ça m'a confortée dans ma foi, dans la confiance en soi, en son intuition, puisque c’est exactement ce que je fais. Disons que certains détails m’échappaient et cette séance a bien montré le processus. Pendant la méditation guidée, j’ai senti des larmes qui voulaient sortir mais elles sont restées en dedans. Il y a bien longtemps que je n’ai pas évacué par ce moyen et je sens que je vais devoir refaire une séance en prenant plus de temps. Il est vrai que l’énergie était puissante par l’effet de groupe et cette conférence va, je l’espère, aider les gens qui hésitent encore, à se tourner vers l’enfant intérieur. 
C’est vrai que ça semble insensé de pouvoir changer sa vie simplement "en se parlant" et pourtant c’est efficace. 
Il ne faut pas s’attendre à quelque chose de spectaculaire, ça peut être senti de diverses manières et déjà, arriver à parler à cet aspect de soi, est un immense progrès qui change le quotidien. 
C’est aussi ça s’aimer vraiment, oser regarder ce qui nous fait mal, ce qui en nous est blessé depuis des vies. Comme c’est incrusté dans l‘inconscient, les corps subtil et l’ADN, il faut un certain temps pour que tout se décante, les gardiens de l’enfant moi ne vont pas démissionner d’un coup. 
Il faut aussi les comprendre et ne pas s’imaginer qu’ils veulent nous faire du mal, saboter nos rêves…Ils font leur job par amour(enfin selon leur définition de l'amour), ils ont été créé par nous-même, en réponse aux stimuli extérieurs, à un moment où notre conscience ne pouvait rien faire puisque celle-ci s’éveillait à peine. 
Une chose existe en soi quand on porte son attention dessus mais tant qu’on refuse d’admettre que le problème vient de l’intérieur, non seulement on accuse le monde de nous faire souffrir mais en plus on se prive de la solution, la guérison.