mercredi 6 août 2014

"C'est quoi s'aimer vraiment?" livres audio et texte d'Agnieszka Rouyer






On parle d'estime de soi, de confiance en soi mais si on ne se connait pas vraiment, si on ne sait pas qui on est vraiment, celle-ci se base la plupart du temps sur des peurs, des manques et des besoins de reconnaissance, ce qui au final s'apparente à l'orgueil et n'apporte pas le "bonheur". Il s'en suit une quête insatiable qui demande beaucoup d'effort et amène une forme de déni de soi, un goût de trahison de ses vrais besoins et valeurs.
Atelier (extrait) Guy Corneau; "l'estime de soi"



Chaque humain  cherche le bonheur, l'amour, le bien-être, la joie, mais trop souvent, on se trompe de cible, on va chercher tout cela en dehors de soi, ce qui nous prive de la liberté d'être, et nous poussera à vouloir changer le monde, voire à éliminer tout ce qui nous dérange.

"La loi d'attraction", livre audio Abraham via Esther et jerry Hicks






Je suis parfaitement synchrone avec la météo ! La pluie qui lave le corps émotionnel de la terre et en même temps le mien, le brouillard qui exprime le doute, ma nouvelle posture, c’est la confiance que tout passe, que le soleil est là malgré la pluie et que celle-ci est utile voire vitale à l’expression et l’émergence de la vie. Ce reflet me libère de l’idée que je doive accomplir quoi que ce soit sinon accepter ce qui est. Tout comme avec la météo sur laquelle je n’ai aucun pouvoir que celui de l’acceptation, j’agis pareillement avec mon ciel intérieur, mes émotions, mes humeurs. Quelle détente quand on ne cherche plus !
Ma reliance à la terre Mère n’est plus à prouver, « nous sommes faites du même bois ». Elle est vécue de l’intérieur et cette intimité est le fruit de ma connexion régulière à cette entité constituée des mêmes éléments que mon corps physique mais surtout, l’amour inconditionnel que je porte à ce temple depuis quelques années.
Chaque pas effectué dans le respect de ce véhicule terrestre, dans l’écoute de mes vrais besoins, ceux qui me sont dictés par mes organes physiques, me rapproche de mon âme, de ma présence divine. Chaque fois que je m’intériorise, que je tiens compte des ressentis, des messages de l’âme au travers des « malaises » physiques et que je réponds à ses demandes avec amour et tendresse, en dehors de toute culpabilité mais plutôt comme un enfant qui découvre son corps en sachant qu’il est là pour apprendre à connaitre, et harmoniser ses émotions, ses énergies, l’amour qui nous relie amplifie et il me répond par la santé, le bien-être intérieur, la paix et la joie qui reviennent m'habiter.

vendredi 1 août 2014

"Comment Sortir Du Triangle Dramatique ?" LA VICTIME



Par Ana Sandrea
La semaine dernière, j’ai écrit un article intitulé « le triangle dramatique » où j’expliquais les trois figures crées par Stephen Karpmann, spécialiste de l’analyse transactionnelle : Victime, Bourreau et Sauveur.
Bien que j’ai expliqué brièvement chacune d’entre elle, par manque de temps, je n’ai pu proposer aucune solution pour sortir de ce jeu si dangereux et commun.

J’utilise le tutoiement, car je voudrais établir un lien directe avec « toi » qui me lit.
J’ai donc immédiatement reçu des messages du style « super je me suis identifié à ce que tu expliques mais comment je dois faire pour sortir de tout cela ?
Aujourd’hui je te donne quelques éclaircissements qui t’aideront, premièrement  à te rendre compte que tu es entré dans le triangle, et deuxièmement, quelques pistes pour en sortir.
Comme le thème est vaste, les solutions seront tournées vers le rôle de la victime, et lors d’écrits ultérieurs, je traiterai de la figure du bourreau et de celle du sauveur.
Avant toute chose, je voudrais te prévenir que l’action la plus efficace quant au triangle dramatique, est de ne jamais y entrer, parce que cela peut se convertir rapidement en une philosophie de vie, qui est assez difficile à démonter.

"Le Triangle Dramatique" par Ana Sandrea & Intrerview de Lise Bourbeau






J’ai toujours été intéressée par les interactions entre les personnes, j’ai d’ailleurs traité ce sujet dans plusieurs de mes articles. Aujourd’hui j’ai décidé d’aller encore plus loin par rapport aux différents rôles que nous pouvons avoir dans une relation.
J’utiliserai l’outil crée par Stephen Karpmann, spécialiste en analyse transactionnelle,  "Le Triangle Dramatique".
Celui-ci est définit par trois rôles : la Victime, le Bourreau et le Sauveur.
Je vais les expliquer brièvement:
La Victime, C’est le personnage principal, autour duquel se créent les deux autres rôles, il est impuissant, il ne prend pas de responsabilités, tout est la faute de l’autre, du destin, de la mauvaise chance, de Dieu, d’un  "accident", c’est une manière d’attirer l’attention, l’aide, l’amour, un des messages caché est  "pauvre de moi", de cette manière il attire également la pitié, la compassion, mais il peut aussi réveiller chez les autres la colère, l’agressivité, et alors le jeu des blessures commence…
Je me souviens toujours de l’histoire d’un de mes clients, qui avait une relation toxique avec sa partenaire.

Quand la peur paralyse, rend sourd et aveugle...


Oleg Oprisco


En l'espace d'une semaine, j'ai fait mes balluchons deux fois tant la confusion était grande. Je n'ai d'ailleurs pas encore défait tout mon barda puisque je n'arrivais pas à sortir du brouillard jusqu'à hier soir. D'ailleurs une fois de plus, je suis raccord avec la météo!
L'âme nous amène à vivre des situations afin de guérir de ses blessures mais lorsque la peur est là, difficile de comprendre le sens de ce qui arrive même quand on "sait" comment libérer les peurs! Dans ces cas là, la connexion à l'âme devient difficile non pas que celle-ci soit absente mais plutôt que la colère envers elle, qu'elle soit consciente ou non, empêche toute communion puisque celle-ci s'établit dans le cœur,
Pour distinguer sa voix de celle de la peur, il faut être dans un état de paix intérieure, ou au moins de cohérence entre le mental et le cœur et surtout dans l'amour de soi.
L'amour de soi, l'amour inconditionnel, veut dire accepter tout ce que l'on vit intérieurement.
Même en sachant que je créé ou cocréé 100% de ce que je vis, l'incompréhension amenait de la colère qui elle même amenait le désespoir et le sentiment d'impuissance. C'est une spirale sans fin qui rendait la situation encore plus confuse. Mon habitude dans ce genre de situation m'amenait à fuir soit par la prise de drogues, d'alcool ou carrément à partir physiquement. je suis même allée jusqu'à souhaiter de passer de l'autre côté du voile.
Je sentais bien que je réveillais la victime intérieure, que l'enfant intérieur se manifestait à grands cris mais impossible d'accueillir les émotions au fur et à mesure.

mercredi 23 juillet 2014

"Libérez-vous de vos peurs" exercice








Nous nous réjouissons de cette vague de Libération à laquelle nous assistons sur votre planète. Nous vous félicitons pour votre confiance, votre volonté de sortir de l’illusion et de cette prison psychique dans laquelle vous étiez jusque là enfermés.
Toutefois, nous constatons que nombre de “prisonniers” fraîchement libérés ont encore leur boulet au pied. Qu’ils regardent de plus près : ils ont brisé leurs chaînes mais ils traînent encore leur boulet derrière eux.
Et cela est pesant, même si vous ne vous en apercevez pas tout de suite. Ce boulet vous empêche de marcher prestement, de courir et de sauter en l’air de joie. C’est ce qu’il vous manque à présent, frères et sœurs de Lumière. Vous êtes libres maintenant, et pourtant vous continuez de vous plaindre, de maugréer, de critiquer et de juger autrui, de vous révolter de façon stérile contre le gouvernement, les banquiers ou les représentants de la loi. Las, tout cela n’est qu’illusion et votre âme le sait bien...
Alors, osez éteindre votre ordinateur ou votre portable et ouvrez grand la porte qui vous mène à l’extérieur, en pleine Nature si possible, là où vous pouvez retrouver votre être essentiel et vous laisser enivrer par LA VRAIE VIE! Qu’est-ce qui vous en empêche ? Vos peurs.

"De la survie à la joie expansive" le Collectif Ashtar via Simon Leclerc






Reçu le 5 juin 2012 par Simon Leclerc



Salutations à vous chers enfants de la Terre,

Nous sommes ravis de revenir vers vous en ce jour et de partager un nouveau volet de nos éclairages, afin de vous présenter de nouvelles perspectives concernant votre vie en collectivité.

L’un des principaux défis que rencontrent vos sociétés est celui du manque et de la peur qui y est associée. Beaucoup d’êtres humains ne se permettent pas de vivre la légèreté et la joie parce que la peur du manque est trop préoccupante. Ils s’interdisent de jouer parce que la vie est sérieuse et qu’ils doivent prioritairement assurer leur sécurité. «Ce n’est pas le temps de jouer, il y a les responsabilités».

Dans vos sociétés occidentales, tout le concept des responsabilités est devenu un moyen de justifier l’absence de joie si répandue. La joie est perçue par plusieurs comme une récompense que les Êtres s’offrent une fois qu’ils auront bien travaillé et assumé leurs responsabilités alourdissantes. Ils peuvent alors s’autoriser à vivre la joie, car ils le méritent enfin. Mais comme un mirage, cette joie n’est jamais atteinte, car les responsabilités sont toujours de plus en plus contraignantes.