vendredi 21 mars 2014

"Mener ta voie par Amour" par Michèle ERENA




        
    Ami/e bien-aimé/e, comment mener ta voie avec Amour, par amour de l’Amour, et dans l’Amour ?… Comment te situes-tu face à l’Amour ?… Où est-il ?… Comment le ressentir ?… C’est un dilemme, qui se joue sur de nombreux tableaux, en de nombreuses facettes de ta personnalité, de ton espace intérieur, en ce qui vibre au fond de toi… 
Ce dilemme, actuel et sans appel, te démontre que tu es une force à part entière, une énergie, que celle-ci joue le jeu de la Vie, qu’elle te pousse à transcender les a priori et croyances en la négation, en la peur, en le manque…
Tu es mené/e, guidé/e, conduit/e vers ce qui devient de plus en plus transparent en toi, la vraie Vie en Dieu…
Cette « Vie en Dieu » ne soudoie pas, n’oblige pas, elle ne demande ni agenouillement, ni prière, ni incantation, ni soumission à une quelconque autorité, elle ne te prive d’aucune joie, elle est ce que l’ÊTRE ESSENTIEL est en toi, elle est la Puissance de l’Amour… 
Or, qui dit Amour dit-il Besoin ?… 
Certainement pas, car l’Amour est un état de paix, de bien-être, n’attend rien, ne quémande rien, n’a besoin de rien… Il EST, il DEMEURE la Puissance de la Vie au service du beau, du bon, à ton service, à celui de l’ensemble des énergies utilisables ici-bas et ailleurs…

"Patience, persévérance et assurance"



Karol Bak



S’éveiller à soi-même, c’est prendre conscience de ces blocages tout autant que de l’aspect divin, éternel. C’est se voir vraiment dans toutes ses peurs, ses faiblesses, en n’ayant pas de culpabilité face à ce constat, que l’amour en soi peut grandir, que le cœur peut libérer cette énergie. Les protections, les barrières créées par l’ego sont des stratégies qui se manifestent par l’agressivité, la révolte, la colère, des sentiments qui montrent notre degré de fermeture à l’amour en soi. Ce qui nous permet de nous "protéger" de l’extérieur nous empêche aussi d’accueillir l’amour que nous sommes. 
Notre cœur se ferme et ainsi on ne peut pas être blessé mais on ne peut pas non plus être touché par l’amour divin intérieur. A moins de vivre une situation qui nous oblige à lâcher totalement prise, on n’arrivera pas à s’ouvrir complètement et ainsi à pouvoir bénéficier de la guérison que créé la libre circulation de l’énergie de la source. C’est là où la patience envers soi, l’acceptation de notre état, la compréhension que cette fermeture de cœur est une protection/barrière dans les deux sens, mais que c’est la seule façon que nous ayons trouvé pour continuer d’exister sans trop souffrir, laisse passer un peu de l’énergie guérissante. Cet acte de reconnaissance et le fait de ne pas s’en vouloir, de ne pas s’accuser d’avoir des résistances, constitue en soi, un acte d’amour.

jeudi 20 mars 2014

"La peur ou l'amour" et "Accepter? oui mais" de Lise Bourbeau






Je me suis encore fait avoir par mes propres peurs, mon critique intérieur ! Petit à petit, la rancœur a gagné du terrain et ce n’est qu’en me rappelant que c’est un jour de diminution de la dose de médicaments, (je réduis de 0,01mg tous les trois à cinq jours), que j’ai pu "revenir au centre". 
J’ai l’impression plus que jamais, que cette expression veut aussi dire de cesser de croire que l’extérieur est responsable de son mal être. 
Chaque fois que je suis indignée, je perds mon équilibre en me tournant vers l’extérieur au lieu de revenir à moi. Aux raisons qui me perturbent en dedans plutôt que de m’égarer en dehors. J’ai beau le savoir, y croire, ça n’est pas encore un réflexe. Il a fallu que l’ordinateur se mette à délirer alors que je venais de lire un texte à propos de la dépendance, du fait d’accepter ce qui est, ses limites, pour que je me rende compte que le jugement intérieur qui s’est exprimé ce matin, vis-à-vis de l’extérieur, créait une disharmonie intérieure. 
J’ai encore beaucoup de mal à accepter cette dépendance et en lisant l’article de Lise Bourbeau à ce sujet, j’ai ressenti de la culpabilité que j’ai vite accueillie. 

"Revenir à la raison du coeur, à la maison"..."Faire retour" vidéo Isabelle Padovani





Ce matin, je suis émue par une vidéo que j’ai trouvée dans ma boîte. Elle aborde le thème de l’amour évidemment. J'aime sentir la tendresse qui m'envahit, commencer la journée en ouvrant mon cœur à l'amour qui est en lui. 
Une part de moi continue d’être agacée, quand je tombe sur des articles à sensation, qui parlent de divulgation, d’une arrivée massive d’extra-terrestres. Difficile de passer à côté tellement ça pullule ! On est en pleine manipulation de masse et j’avoue que mon ressenti tout comme mon intellect sont navrés par ce constat. Je ne doute pas de l’existence d’êtres dont l’origine n’est pas terrestre, par définition, Jésus Christ, les archanges, les anges, l’âme…sont extra-terrestres. Croire que nous sommes la seule manifestation de la vie "intelligente", dans l’univers est quelque chose de très égocentrique. 
Mais plusieurs chosent m’amènent à croire que ça pue l’arnaque ! Premièrement, le fait que la peur gagne de plus en plus d’humains, à cause de l’incertitude du lendemain qui amplifie à mesure qu’on découvre comment les gens de pouvoir n’ont rien des héros servant la patrie, comme la majorité se l’imaginait.

mercredi 19 mars 2014

"L’intelligence du ventre" article trouvé sur "Inrees.com"



Helen Nelson Reed


"Digérer une émotion qui nous est restée sur l’estomac", "écouter son instinct viscéral" et "faire confiance à ses tripes"… tant d’expressions populaires qui pourraient s’avérer ne pas être que des métaphores. 

Enquête au cœur de notre ventre où un deuxième cerveau serait doté de capacités véritablement surprenantes.
Tout le monde le sait, nous avons un cerveau dans la tête - bien que parfois c’est à se demander s’il est bien là. Logé à l’abri de la boîte crânienne, il est souvent considéré comme étant l’organe le plus précieux que nous ayons. Son rôle serait alors de centraliser, par le biais d’un large réseau neuronal, les informations majeures de l’organisme pour en gérer toutes les fonctions vitales. Mais ce système nerveux central est-il réellement tout-puissant ? 
 La science a récemment découvert que nous avons d’autres cerveaux dans le corps. Voilà qui est plutôt inattendu. Déjà, une nébuleuse neuronale incroyablement performante, composée de plus de 40 000 neurones, est localisée au niveau de notre cœur, comme nous le décrit l’article « Le cœur, notre maître émotionnel » (Inexploré n°21). Mais de surcroît, un autre complexe, riche au grand minimum de 100 millions de neurones, fait office au creux de nos intestins. Nous avons donc aussi un cerveau dans le ventre, et pas des moindres. C’est étonnant. A quoi sert-il ? Cela veut-il dire que nous avons d’autres sortes d’intelligences ? L’heure semble être en tout cas à la délocalisation car il ne serait même pas évident, dans certains cas, de savoir quel cerveau possède un ascendant sur quel autre.

Liens vidéos gratuites de formation de Jean Jacques Crèvecoeur







Je copie colle quelques extraits de mails de Jean Jacques Crèvecœur, qui rappelle la mise en ligne des vidéos gratuites de formation dont j’ai publié la première au début du mois.
J’ajoute quelques commentaires, en italique, qui justifient la publication de ces vidéos sur ce blog, qui se veut un outil d’autonomie avant tout, par le témoignage du parcours d'auto-guérison et le partage de techniques, outils, méthodes adaptés.

Extrait « … Juste vous rappeler que j'ai mis en ligne depuis quelques semaines
une série de vidéos de formation. C'est gratuit. Mais c'est limité dans le temps.
Si vous avez eu la curiosité d'aller voir, vous avez certainement
constaté que
ces vidéos ne sont pas des vidéos de marketing,
contrairement à ce qui se pratique de plus en plus souvent
à l'heure actuelle.
Effectivement, c’est pour cette raison que je n’ai pas encore pris le temps de regarder la suite, je fais une over dose de vidéo consacrées au développement personnel... Pourtant celles-ci sont remplies de vérités applicables dans son quotidien et expliquées de façon très simple.


C'est quoi "Être"?..."Les 10 règles pour être humain" par "les éditions Ariane"


Nébuleuse Hélix (NASA)


Comme chaque fois que les questions se multiplient, à mesure que je tente de faire le tri dans mes pensées, de comprendre uniquement par le raisonnement, je vais m'allonger pour relaxer, détendre les crispations physiques, par la respiration, la focalisation sur le ressenti physique et calmer le mental en portant mon attention sur les points qui se détendent, peu à peu, le bien-être s'installe par l'amplification de la sensation de tendresse qui m'enveloppe alors. En même temps, les couleurs en mouvement apparaissent, me connectant de l'intérieur, à l'immensité de l'infini d'où je vois ma vie avec un certain recul. Je peux observer les pensées qui défilent sans m'y accrocher et entourer d'amour, les tensions qui demeurent en moi. Après cet exercice, qui dure deux heures, en  moyenne, et à bien y regarder, je n'ai jamais l'impression ni d'y avoir passé autant de temps, ni d'avoir perdu mon temps, mes gestes sont spontanés, alignés, il n'y a pas d'écart entre le désir et l'action, pas d'interférence.