lundi 17 février 2014

"Bienvenue sur la Terre" "Dieu" par Gloria Wendroff...vidéos d'animation


Dorothée Boulard





Je suis soulagée que la journée se termine ! C’était un de ces jours où tout est lourd, où le moral vole au ras de pâquerettes. L’ennui, encore de la colère, je me suis farcie la palette dans les tons plutôt sombres mais après tout, puisqu’il faut que ça sorte…Je n’ai pas fait l’habituel « accueil des émotions » systématiquement, j’ai préférée m’activer. Se prendre en charge émotionnellement est une chose mais si ça demande de se poser à chaque fois, voire de s’allonger, en ce moment, je risque de passer mes journées au lit !  J’ai utilisé l’énergie de la colère, une fois calmée pour scier du bois, puis je suis allée au jardin pour enlever les feuilles mortes des pieds de fraises et les rejetons en pagaille. Heureusement que le temps s’adoucit parce que passer son temps enfermé devant l’ordinateur n’aide pas à être présent. La vie s’exprime à travers le corps physique et même si le mental permet de réfléchir, de rêver, d’imaginer, ça devient vite une prison quand les questions se bousculent. Je me suis préparée un chou fleur au gratin. J’aime bien faire des trucs que je peux réchauffer parce que j’aime cuisiner mais sans y passer des heures non plus. J’ai copié collé un texte de Gloria Wendroff qui canalise Dieu. Après tout peu importe l’auteur du message pourvu que le contenu soit pertinent, utile et édifiant.

"Si tout se réalise par la grâce, à quoi bon s’en faire ?"








En relisant des messages reçus en channeling au moment où ça n’était pas encore « à la mode », j’ai été frappée par l’énergie qui en émanait. Essentiellement, il s’agissait d’amour mais la douceur et la tendresse, certes parfois à la limite de la flatterie, du mielleux, s’est transformée au fil du temps, en arrogance, en certitude martelée et en accusation. Quand l’humain est inconnu de ses pairs, il dit les choses avec délicatesse afin de ne pas froisser d’éventuels lecteurs, clients, admirateurs...Mais quand il a acquis une certaine notoriété, il commence alors à s’enorgueillir, à revendiquer, à se lâcher, à critiquer, à se plaindre de la bêtise de ceux-là même qu’il s’est plu à flatter. Comme le besoin de reconnaissance extérieure est un puits sans fond, il va alors user de la stratégie qui consiste à démolir ses concurrents, à rabaisser ceux qui n’ont pas son panache, sa verve, sa connaissance sacrée…Mais ça n'est que le reflet du chaos intérieur, le mien comme celui des autres.
Dans la recherche d’équilibre entre les forces qui nous composent, on peut se trouver parfois à l’extrême, une fois dans la lumière excessive et une autre dans l’ombre profonde. Peu à peu, l’écart diminue mais il n’est pas rare de continuer de se balader d’un côté ou de l’autre. Même lorsqu’on croit être arrivé à vivre à partir du cœur, et peut-être justement parce qu’on en est persuadé, il est fréquent qu’un événement, un commentaire, un retour par effet miroir, nous montre que nous sommes à côté de la plaque.
Je relisais un message de Jeshua qui parle des artisans de lumière, de leur parcours depuis des éons. Ma première réflexion fût de me dire, c’est trop compliqué pour moi, les conflits ont toujours été, ça n’en finira donc jamais ! Puis finalement, ce qui m’a calmée c’est de me dire ; l’essentiel est à vivre maintenant.

dimanche 16 février 2014

"MISSION DE VIE 6" par Murielle Robert




La Croisée des Chemins
« SE CHOISIR »

"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua via James Twyman, Leçon n°31





L’Abondance :
Votre but est de rechercher ce que vous voulez réellement, car c’est la seule façon de l’obtenir. Il peut vous sembler que vous n’ayez pas besoin de questionner ceci, que vous aurez toujours à rechercher pour vous-même, ce qui est utile et ce qui est le plus bénéfique, pour vous et votre mission. Comme vous avez pu le constater dans votre propre vie, ce n’est pas toujours vrai. Il y a une partie de chacun de nous qui cherche des cadeaux qui ne sont pas les nôtres, et ainsi, nous nous égarons sur ces routes auxquelles nous n’appartenons pas. Toutefois, ceci peut être utilisé par Celui ou Celle qui est avec vous présentement, vous menant de la noirceur à la Lumière, mais seulement si vous avez assez de courage pour regarder les raisons qui vous ont amenées à faire ce choix. C’est là que commencera votre quête, et c’est ce qui vous mènera dans l’abondance spirituelle que vous cherchez.
Nous avons déjà discuté de ces solutions, mais puisque nous approchons de la fin de notre cours sur le Pacifisme Spirituel, nous les examinerons encore une fois, afin d’éviter toute confusion.

Tout passe, se transforme, se renouvelle; c’est l’occasion de se détacher des émotions






Il est 3h du matin et à mon réveil, j’entendais encore un enseignement, une phrase résonner. Je me souviens seulement qu’il était question de cœur. La journée d’hier a été difficile, après la colère, la tristesse et maintenant, le vide.
Accueillant les émotions de l’instant, j’ai offert mon cœur brisé au Christ intérieur.

Je suis lasse de cette densité, de porter ces basses fréquences, dans un monde qui ne m’apporte rien. 
Même s’il est illusion, c’est d’ici que je m’adresse à toi et t’appelle à la délivrance. Même si en mon cœur je me sens bien, il est si blessé et meurtri que parfois la douleur m’envahit.
Je me fiche de savoir d’où elle vient, je me languis du foyer, embrasse mon âme, mes corps, unifie tout ce que je suis afin que ma joie soit parfaite. 
Tu es celui que j’ai toujours cherché, je te sais près de moi mais te sens si loin  parfois.

Je vais accueillir ce chagrin plutôt que de laisser le mental se lamenter.

samedi 15 février 2014

Victime ou créateur?






Une nuit de pleine lune plutôt spéciale ! J’ai déjà publié un premier texte, cette nuit,  auquel j’ai ajouté un message d’Aurélie Pech, entre autres. Je ne cite qu’elle parce que je voudrais relater une expérience vécue ensembles, -enfin chacune de son côté au niveau de l'humain-, qui illustre ma foi en la puissance de guérison de l’amour par l’accueil de tout ce qui se manifeste en soi. Nous avions eu un premier contact l’année dernière qui avait fini en queue de poisson, chacune ayant ses peurs, ses croyances à libérer. Je sens que nous avons un contrat d’âme et peut-être partagé au moins une incarnation passée mais je ne cherche pas à en savoir plus puisque la situation présente suffit à travailler sur ce qui bloque maintenant.
J’essayais maladroitement ,de temps en temps, de reprendre contact avec elle parce qu’il me restait un goût amer de cette histoire courte et étrange. Je sentais que quelque chose avait été réveillé mais je n’arrivais pas à le libérer. Puis, mardi matin, j’ai senti comme un allégement, comme si, durant la nuit, nous avions parlé de cœur à cœur, au niveau de l'âme. Enfin ça, c’est en lisant ce que j’ai écris le matin et que je n’ai pas publié parce que des problèmes techniques m’ont montré qu’il restait des doutes. Je copie colle donc la suite du texte du 11 février :
 


Femmes d'exception; Christiane Singer, Isabelle Jeandot, Aurélie Pech...et tant d'autres


"Élan vital"



3h du matin, réveillée et levée depuis une demi-heure pour aller aux toilettes, je continue jour et nuit de libérer l’ancien, avec de plus en plus de motivation à marcher sur ce chemin où la liberté m’embrasse de jour en jour. Renaitre, redécouvrir son cœur d’enfant, qui tâtonne, qui essaie, qui goûte, qui rit de ses bourdes, et qui épris de la vie, se laisse porter par le courant de celle-ci. Le printemps arrive à grands pas et la nature le chante un peu plus fort chaque jour. Hier soir, deux oiseaux se répondaient, produisant une mélodie des plus rares. J’ai même enregistré ses sons aussi riches de créativité. Je suis allée voir mon ami Nicolas le chêne qui s’est déjà revêtu de ses bourgeons. Pendant une méditation cette semaine, j’ai senti dans l’air, l’arrivée de cette saison que j’adore et le fait que mon âme ait choisi de naître en cette période est tout à fait logique. C’est un parfum spécial qui est certainement dû à l’éclosion de la vie pétillante qui sort de sa léthargie. Chaque jour une nouvelle fleur pousse dans les pieds de fraisiers, les boutons de violette, à la fenêtre, sont tous ouverts, l’énergie du printemps me porte et m’aide à renaitre avec fluidité, légèreté, enthousiasme et l’amour, la passion coule à nouveau dans mes veines. Je laisse le poêle s’éteindre depuis quelques jours et l’allume seulement pour le plaisir de voir la flamme amplifier la mienne. C’est un des privilèges de vivre dans le sud.