mercredi 29 mai 2013

"L’année de toutes les transformations" les êtres de lumière canalisés par Monique Mathieu


Kinuko Craft


J’ai pu aller en course et au jardin avant que la pluie ne retombe. Je suis de plus en plus à l’aise à l’extérieur et plutôt que d’appréhender, en me focalisant dans l’instant présent, sans que ce soit non plus un effort, tout s’écoule naturellement. J’ai remarqué que le simple fait de mettre mes chaussettes « antidérapantes » m’ancrait facilement et me rendait plus attentive. Le contact direct des pieds au sol est un bon moyen d’habiter son corps, comme si la connexion à la terre m’aidait à être présente. J’ai tellement fuit le quotidien que je suis toute étonnée d’y trouver de la joie et de l’émerveillement. Les choses simples nous ramènent à l’essentiel. La nourriture la plus authentique possible, semble être une fête pour les cellules. 
Hier, j’ai eu la vision de milliers de cellules qui manifestaient leur joie en étincelant et en poussant des petits cris en cœur. Comme des milliers de petits enfants joyeux. Depuis que je m’adresse à mon corps physique comme à une entité autonome et intelligente, j’ai de plus en plus la sensation d’être en relation avec un Microcosmos* qui se réjouit de l’attention que je lui porte. Non pas que je m’en désidentifie mais au contraire, je me vois comme le régent d’un monde extraordinaire que j’apprends à connaître intimement de l’intérieur. Je ne sens pas de jugement de sa part mais de la joie pour la reconnaissance que je lui porte. 
Comme s’il me disait : "enfin, tu as conscience de ce que je suis et des trésors qui sont en moi, enfin, nous pouvons vivre dans la paix, l’amour et le respect mutuel". 
La science commence à reconnaître le pouvoir du cœur et les neurones dont il est pourvu. L’intelligence du cœur et son caractère autonome ne sont plus des considérations de quelques illuminés, du monde spirituel mais prouvés scientifiquement. La puissance du cœur est beaucoup plus grande que celle du cerveau et confirme les enseignements de Jésus-Christ et de tous ceux qui ont « prêché » le pouvoir de l’amour.
Bon, c’est l’heure de la sieste, je mangerais plus tard.

Le pouvoir de choisir



Tomasz  Alen Kopera


S’abandonner à ce qui est, amène une paix et une joie proches de celle que j’aie connue à l’adolescence. Certainement que le fait de ne pas être figée dans des croyances et des rituels doit y faire. La foi en l’humain divin suffit à changer mon regard sur tout. Quand on accepte ce qui est, en l’occurrence le temps spécial cette année et qu’on s’y adapte, on peut non seulement y voir les signes du soutien de la source dans le nettoyage intérieur que chacun est appelé à faire mais en plus, le fait de ne pas opposer de résistance, libère de toute pression et sentiment négatif. 
En toute circonstance, nous avons le pouvoir de choisir comment nous allons interpréter ce qui arrive.
Nous pouvons adopter la philosophie populaire qui se plait dans le fatalisme, le rôle de la victime permanente, en critiquant le temps, en regrettant le passé qui était mieux, en accusant les avions faiseurs de trainées douteuses dans le ciel, en faisant la liste de toutes les choses qu’on pourrait faire si...il y avait du soleil, si les gouvernements étaient plus justes, si l’autre avait un comportement plus respectable, si l’amour gouvernait la planète, si Dieu intervenait punissant les méchants, si le diable n'existait pas... 

Puis nous pouvons nous fier à notre intuition, notre cœur, notre ressenti et optimiser chaque situation en se disant que c’est un cadeau du ciel, une occasion d’apprendre, sur nous-mêmes, sur notre capacité à lâcher prise, l’opportunité de vivre quelque chose de nouveau. Nous pouvons nourrir la certitude en l’univers qui conspire à notre élévation vers, plus d’amour de soi et de toute vie, de talents à développer, de dons à explorer...
Nous pouvons voir dans la pluie, le nettoyage de toutes les souffrances de la terre mère, de celles de ses enfants qui peinent tant à se laisser aller à pleurer et à s’accorder de la tendresse que celle-ci nous invite à nous intérioriser et nous aide à libérer les peines dans cette eau purificatrice, tombée du ciel.

mardi 28 mai 2013

Être vivant...vidéos à propos du "passage"




Levée depuis 4h30 du mat, j’ai sauté du lit avec enthousiasme. La nuit entrecoupée de réveil pour aller évacuer m’a indiquée que l’épuration continuait. C’est le même processus que cet hiver. Comme le mental est au repos, les ajustements se font plus facilement et je finis par me dire que celui qui n’a aucune connaissance de l’ascension mais vit selon son cœur, n’a pas besoin de savoir pour s’élever. Si je n’avais pas cette manie de vouloir comprendre, le processus se ferait simplement, par le lâcher prise. D’un autre côté, avec l’enfance que j’aie eue, s’abandonner au flux intérieur sans aucune résistance serait difficile sans la connaissance de l’humain divin. Je remets encore en question le choix de mon âme ! C’est plutôt ma difficulté à taire le mental qui suscite ce genre de réflexion mais comme en toute chose il y a son contraire, il me suffit de maintenir la foi en cette phrase magique : « Tout est bien ».
La période étant au nettoyage, je me suis mise à faire le tri dans les messages sur le bureau. Le fait de ne plus avoir besoin de lire ce que disent les autres à propos du divin, me montre ma progression vers l’autonomie. Même au niveau matériel, ça commence à être mieux. J’arrive à négocier mes fraises et même si ça n’est pas grand-chose, c’est plus le fait d’apprendre enfin à se valoriser, à oser recevoir qui est intéressant. L’amour inconditionnel de soi libère tant de peurs, que la vie devient toute autre. Le simple fait d’avoir écouté mon envie de repos toute la journée d’hier, a guéri des blessures de rejet tout en rendant la relation à mon enfant intérieur beaucoup plus intime. Je dois dire que je suis heureuse qu’il s’exprime avec confiance. Plus je voulais ignorer son existence et plus il se manifestait en force et me rendait la vie impossible.

lundi 27 mai 2013

Suite du message de Jeshua reçu par Paméla Kribbe « Abandon et contrôle ».




Trouver et suivre sa passion

Chacun naît avec une passion. Imaginez cette passion sous la forme d'une belle rose rouge. Imaginez que, juste avant de naître, vous êtes au bord du ciel, tenant dans votre main cette exquise rose rouge. Bien que vous hésitiez à faire le saut dans le royaume terrestre, et  vous vous demandez même avec mélancolie si vous y êtes prêt(e), vous ressentez un feu  à l'intérieur de vous, une passion, qui se présente à vous sous la forme de cette rose rouge. Imaginez à présent que vous faites ce saut, vous vous incarnez, vous portez maintenant cette rose en vous, dans votre ventre et votre cœur. Laissez venir à vous l'énergie de la rose. Permettez à votre passion originelle, à votre inspiration, de se présenter à vous, à cet instant. Regardez-la, à quoi ressemble-t-elle maintenant ? Saisissez la première image qui vous vient à l'esprit. La rose a-t-elle l'air un peu triste et fanée ? Ou bien est-elle rayonnante de vie ? Voyez-vous un bouton de rose ou une fleur épanouie ? A-t-elle besoin que vous lui donniez quelque chose à cet instant ? Peut-être plus d'eau ou de soleil, ou plus d'amour et d'attention, ou bien veut-elle changer de lieu, pour un environnement plus nourrissant ?  Imaginez que vous lui donniez exactement ce dont elle a besoin, et voyez comment cela vous affecte au niveau intérieur.

La Terre est de couleur rouge, ainsi que le chakra-racine. C'est la couleur de la passion. Vous avez souvent peur de votre propre passion. Vous avez peur de laisser ce flot originel s'exprimer ouvertement dans votre vie, car cela va à l'encontre de ce que la société ou la tradition considère comme étant correct, bon et sensé. Toutefois, en chacun de vous il y a une passion originelle et une inspiration qui est la source-même de votre existence ici et maintenant. Vous ne pouvez pas réellement être comblés et inspirés tant que vous ne permettez pas à cette énergie de traverser votre vie et de la guider. 
L'essence de l'abandon en tant que style de vie est que vous vous abandonniez à vous-même, à la passion de votre âme, l'inspiration qui a bercé votre vie actuelle.

Voici quelques pistes pour reconnaître si vous êtes connecté à la passion de votre âme :

La purification continue...Vidéo Lise Bourbeau «Les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même»





Ce matin, le réveil est laborieux comme à chaque fois que je dors plus de 7h. 
Je me suis réveillée à plusieurs reprises avec des douleurs physiques intenses mais comme je sais que la nuit, beaucoup d’ajustements et de guérisons sont opérées, je me suis endormie sereine et confiante en ce processus. 
Il faut dire que la journée d’hier a été chargée. Ma sœur est venue avec une amie et j’avais anticipé cette visite trois jours plus tôt sentant mon enfant intérieur se manifester à travers la colère, la tristesse et le sentiment d’injustice.

Les montées de colère que j’ai laissées sortir, sont légitimes vis-à-vis de cette part de moi qui voit le monde à partir des émotions, de la mémoire traumatique. Il est vrai que des insultes répétées dans les oreilles d’un enfant et le déversement de haine qui aurait dû être adressé à mon père, ne peuvent que laisser mon enfant intérieur, accablé par des émotions négatives. 
L’adulte que je suis doit prendre compte du ressenti de cette part blessée de moi-même en identifiant son origine au niveau de l’âme. Même si celle-ci a choisi ce parcours, il est clair que c’était pour guérir ses propres blessures dues au sentiment de rejet ressenti au moment de la naissance cosmique. Pour cette raison, instinctivement, depuis l’enfance, je n’ai jamais répondu à ma sœur par de l’agressivité mais d’un autre côté, l’enfant intérieur ne pouvait accepter que j’ignore ses revendications et apprendre à l'écouter tout en étant capable de poser des limites est devenu essentiel.

dimanche 26 mai 2013

« Ta vie, tes corps et ton cœur sont tes plus grands maîtres enseignants » extrait du message de Jeshua par Paméla Kribbe "Abandon et contrôle"




Certains trouvent mon style d’écriture lourd, banal et presque indécent de parler de mon intimité, de mon quotidien. C’est volontaire puisque c’est justement dans les choses simples, que l’on accède à nos aspects les plus complexes. « Je te loue père seigneur du ciel et de la terre de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les a révélé aux enfants » Matthieu 11, 25
L’enfant qui sommeille en tout adulte, est celui-là même qui nous révèle toute chose et qui connaît l’amour divin, inconditionnel de la source.
Apprendre à lire les signes de l’univers dans son quotidien au travers de l’écoute de son monde intérieur, s’avère être l’école la plus formatrice. Bien sûr, nous pouvons en apprendre beaucoup sur nous-mêmes dans les interactions avec le monde mais l’écoute de soi délivre de toute dépendance et permet de développer l’amour divin, l’amour sans conditions pour soi-même, qui guérit de tout. Certaines âmes choisissent d’apprendre à aimer dans les relations amoureuses et parfois, ça peut être enrichissant mais bien souvent, comme des blessures profondes restent à guérir, de part et d’autre, la belle histoire d’amour se termine en conflit qui est la conséquence de la négligence de chacun à prendre en charge son enfant intérieur. Dès lors qu’une relation est basée sur un besoin ou un manque, il est question d’interdépendance et non d’amour. 

samedi 25 mai 2013

L'amour? et vidéos d'animations (courts métrages)






Pour finir la journée dans le calme et la détente mental, voici quelques films d’animation que j’ai regardé hier soir. L’ambiance est si électrique dehors qu’il fait bon rester chez soi. Les rafales de vent, les messages de peur, la violence dans les médias sont autant de raison de se tourner vers l’intérieur en se disant que l’appel de nos aspects invisibles se fait entendre de plus en plus fortement. Et là, je parle autant de l'âme que de l’inconscient ou de l'enfant intérieur. Il y a tant de résistance à se tourner vers son cœur que les énergies féminines envoyées avec force en cette période de pleine lune affectent beaucoup de monde.
On a cru que l’amour était un sentiment, qu’il était présent quand le cœur battait fort mais il semble que ce soit tout à fait autre chose. Quand on a peur, le cœur aussi s’emballe. Le véritable amour doit élever, se ressentir au niveau de l’âme, dans tous les corps, il doit permettre de laisser la liberté d’être à celui qui est aimé. 
Au fil du temps, l’homme a aimé avec son corps physique, répondant aux pulsions de vie, pour se reproduire, et ainsi minimiser la peur de la mort. L’énergie de l’amour se limitait aux chakras racine, répondant à l’instinct de survie. Puis la notion de plaisir s’est ajoutée. L’énergie est donc montée un peu, jusqu’au mental qui a considéré, jugé ce qui était aimable ou pas. Peu à peu, on a accepté l’idée que l’amour devait naitre de sentiments, du cœur. Mais le cœur a aussi ses propres blessures qui créent des peurs, des besoins.