mercredi 21 mars 2018

« 21 jours de méditations gratuites guidées par Deepak Chopra »





Deepak Chopra propose une nouvelle série de méditations qui a commencé lundi, dont le thème cette fois-ci est “Comment manifester le vrai succès”. Au début, je me suis dit que ça ne me parlait pas trop puisque je n’ai pas de réelle ambition dans ce monde mais en écoutant la première, j’ai constaté qu’au contraire, c’était exactement ce que j’avais besoin de me remémorer. 
Puis en fait je suis comme tout le monde, j’ai des aspirations même si elles ne sont pas celles de la majorité des gens dans la forme, le fond est le même, vivre d’amour, de passion, dans la joie, l'harmonie et la paix. 
C’est clair que ça n’est pas facile de changer son mode de pensée mais là encore, cet énoncé est une croyance ou une façon de penser du mental conditionné, qui croit que c’est lui qui doit contrôler ou diriger l’individu.

Une chose difficile pour moi, c’est justement de commencer la journée en me connectant à la source, au silence intérieur et cette série de méditation est donc une belle occasion de changer mes habitudes. J’ai plutôt tendance à commencer la journée en mettant mon corps et mon mental en condition, dans un état qui avant me procurait une sorte de paix, de sentiment de sécurité, simplement parce que c’était en cohérence avec ma vision d’alors. Et parce que je répétais les mêmes rituels, les mêmes habitudes...mais en suivant le désir spontané, le rythme quotidien change selon l'envie. Là aussi c'est une façon de se déconditionner sans effort ou sans prise de tête.

Cet exercice ou ces moments de détente, de contact avec l’intérieur au-delà des sensations, sans attentes, sans s’attacher aux pensées, sans suivre leur trame, est une bonne habitude à prendre. Je le fais plus souvent le soir lorsque l’effet des cachets est passé ou lorsque je suis bousculée par des pensées émotions liées aux blessures passées mais c’est à intégrer pour bien commencer la journée.

dimanche 18 mars 2018

« Oser la transparence »





17 03 Depuis le début de l’année je suis poussée à changer en profondeur, à revoir ma façon d’être, à m’impliquer davantage dans le processus de lâcher prise. Cela peut sembler contradictoire puisqu’en fait il s’agit de laisser les émotions s’exprimer et donc de ne plus rien retenir, de se laisser être comme je l’écrivais la semaine dernière.

Le besoin de contrôle est toujours présent mais le fait de le voir et de ne pas essayer de changer cette façon d’être suffit à s’en détacher. Puis ce qui est déjà très reposant c’est que ce contrôle s’exerce seulement au niveau inconscient. 
C’est toujours le même principe qui permet de changer, accueillir au lieu de résister ou de contrôler. Et même de vouloir contrôler le réflexe de contrôle.

J’ai eu un rendez-vous avec la nouvelle personne qui suit mon dossier RSA et je dois dire que je suis assez fière de moi parce que j’ai été sincère. En général je suis ou j’étais plutôt cash, je ne cachais pas mon passé difficile mais je mettais surtout l’accent sur les progrès que je faisais pour me débarrasser de ce fardeau. Je parlais surtout de ce que j’en avais retiré, de ce que j’avais compris au niveau du fonctionnement humain en général et en particulier au niveau psychologique. Puisque cet aspect de l’être est assez connu. Il est clair que comprendre comment nous fonctionnons est essentiel mais rien ne remplace la pratique.
Apprendre à être honnête avec soi, à reconnaitre le poids de la souffrance intérieure au lieu de la nier, de l’éviter ou de la minimiser est primordial.

samedi 10 mars 2018

« Lâcher toute forme de résistance et se laisser être »





8 03 Ceux qui me suivent régulièrement peuvent se demander pourquoi je ne publie rien en ce moment. C’est tout simplement parce que je suis dans l’écoute, l’accueil, l’ouverture et la libre expression des émotions refoulées.
Cela n’a aucun intérêt que je répète inlassablement les mêmes choses au sujet du pouvoir de l’amour, de l’accueil, de l’acceptation parce que c’est quelque chose qui se vit. 
Il est question de se dépouiller des croyances et des conditionnements tellement nombreux que les énumérer serait impossible. 
Et le but est plutôt de se détacher de tous ces systèmes de croyances basés sur la peur. 
La peur elle-même envisagée comme un danger, une ennemie alors que c’est juste une énergie qui par nature a besoin de se mouvoir. Les peurs sont aussi nombreuses et elles génèrent des réactions de lutte, de fuite, de résistance, le besoin de comprendre, de trouver des solutions…
En ce sens elles sont utiles mais elles nous emprisonnent dans le mental, le passé, la souffrance lorsque nous les nourrissons, lorsque nous les rejetons ou lorsque nous les fuyons. 

Apprendre à accueillir, à reconnaitre et à laisser cette peur s’exprimer nous en libère, du moins l'énergie peut circuler, peu à peu notre vision de la peur, de nous même, change. 
Il en va de même pour toute émotion qualifiée de négative comme la colère, la tristesse qui sont des formes d’incompréhension. 
Tant que nous contraignons ces énergies, nous ne pouvons pas être nous-même, nous nous identifions aux masques, nous nous accrochons à toutes sortes de croyances qui apaisent momentanément le mental.

jeudi 22 février 2018

« Nouvelle Terre = Conscience d’Amour-Unité » Lisa Brown




Est-ce Ainsi que Vous Vivez Chaque Aspect de Votre Vie ?
Vous EXPÉRIMENTEZ LA NOUVELLE Terre alors que VOUS changez, en mettant en œuvre et en appliquant le nouveau à toutes choses, dans la façon dont vous vivez votre vie, vous agissez / réagissez, dont vous traitez les autres, vous contribuez / vous vous présentez, vous partagez, comment / ce que vous soutenez avec votre énergie (et les choses)…
Je vois tant de perceptions erronées de ce qu’est la NOUVELLE Terre… 
Très nombreux sont ceux qui ‘pensent’ s’éveiller un jour avec un nouveau corps et une nouvelle réalité, et bien que ce soit vrai, ce n’est pas vrai non plus. 

C’est un processus de transformation et d’évolution où votre corps évolue en tant que lumière, où le travail intérieur profond de l’Âme vous donne accès à une réalité vibratoire supérieure à laquelle vous aviez accès auparavant, D’ABORD GRÂCE A VOTRE CONSCIENCE … ensuite votre corps suit, avec vos restructurations physiques, afin de vous AJUSTER à votre nouvelle fréquence vibratoire, vos nouveaux états d’esprit, vos nouvelles compréhensions, vos prises de conscience et vos ACTIONS sur la façon dont vous vivez chaque instant.

La NOUVELLE Terre sera d’abord visible dans votre état de rêve (autres dimensions), dans votre esprit, dans votre cœur, et cependant L‘EXPÉRIENCE réelle de la NOUVELLE Terre est multidimensionnelle. 
L’expérience réelle est une RÉPONSE VIBRATIONNELLE selon le temps pendant lequel vous pouvez SOUTENIR et MAINTENIR vos propres états de conscience afin de CHANGER réellement LA VIBRATION (re-coder) de la matière physique pour qu’une expérience physique réelle soit votre nouvelle réalité en permanence.

mercredi 21 février 2018

« Changer par Amour » & vidéo-conférence de Magali






Les énergies de la source qui nous parviennent régulièrement et avec une intensité croissante nous amènent dans les profondeurs, à la racine des croyances que l’on peut trouver en reconnaissant et en lâchant les stratégies qui à la fois en sont issues et qui les nourrissent continuellement. 
La vie est faite d’une série de choix qui nous amènent dans des chemins dont l’issue n’est pas toujours la meilleure ou qui sont de véritables impasses. Lorsqu’on est conscient de cela et qu’on veut changer de direction, on se trouve démuni parce que c’est l’ignorance de notre vraie nature et des lois universelles, la croyance en l’idée de séparation qui ont engendré toutes ces réactions primaires ou conditionnées.

J’apprends en ce moment à être à l’écoute de mes corps, de mon âme afin de me libérer des addictions en agissant au niveau des croyances. Ce n’est pas évident parce qu’on agit généralement par peur et par culpabilité en exerçant le contrôle sur nos pulsions. 
D’une part le sentiment d’urgence que les symptômes physiques ont éveillé et de l’autre le désir de ne plus nourrir les énergies et programmes d’autodestruction m’ont amené à envisager la question de façon objective. 
Du moins j’ai commencé par reconnaitre et par lâcher le sentiment de culpabilité, par pacifier la lutte perpétuelle entre le désir conscient et les réactions ou pulsions inconscientes. 
Revenir au désir de paix et d’unité lorsqu’on se sent brassé de l’intérieur est essentiel afin d’avoir une vision neutre des choses. Cela demande de voir la culpabilité, de la lâcher de libérer toutes les pensées émotions qui ont été refoulées, la colère envers soi, la tristesse et les sentiments d’impuissance, d’illégitimité. 
C’est cette neutralité qui va permettre d’entendre les suggestions à la fois de l’âme et du corps physique. Le corps physique qui possède sa propre âme ou intelligence, qui est autonome, qu’on peut considérer comme un partenaire de vie au même titre que l’âme.

samedi 17 février 2018

« Faire moins, être plus… » Agnieszka Rouyer.





L'une des maladies de notre société occidentale est la précipitation étourdie, qui nous fait perdre toute joie de vivre. Comment se libérer de cette course frénétique pour décocher les cases de notre "to-do" liste ? Comment faire pour commencer à vivre plus lentement et profiter de chaque minute de la journée ?

J'aime le doux rythme de la vie. Il existe encore des lieux sur cette planète où la vie se vit en douceur, où règnent la quiétude et la contemplation de la nature, où nous expérimentons comment est la vie quand tout se vit… au ralentit.
Il existe aussi de grandes villes où la quête des tâches quotidiennes nous consume sans pitié…La journée devient alors une course à tâches de 24 heures et cesse d'être un havre de paix…

Pourquoi cette précipitation ?
Depuis notre enfance on nous impose d'énormes, pesantes et presque écrasantes attentes associées à la quantité des choses que nous devons faire dans notre vie pour être heureux. Nous devons trouver un emploi qui nous plaira, gagner de l’argent dont nous aurons besoin pour acheter des choses qui nous apporteront du bonheur et un sentiment de sécurité. Nous devons faire du sport, nous devons apprendre des langues, rencontrer des gens, voyager, élever des enfants… Pourtant une journée ne dure que 24 heures…

L'être humain vit dans la conviction qu’il doit posséder toutes ces choses immédiatement, sans attendre, sans perdre de temps. S'il ne les possède pas, il a l’impression d'être en retard. Il pense qu'il est à la fin de la course, et que tout le monde le devance. Apparaissent alors le stress, les tensions dans le corps, qui, lentement, nous enlèvent la volonté et la joie de vivre.