Cet article (plus bas) m’a frappé dans sa ressemblance avec le
processus de libération des croyances obsolètes. En effet, on passe par les
mêmes étapes, les mêmes émotions qui lorsqu’on les exprime librement, lorsqu’on
offre à la source, les pensées qui leurs sont associées, nous ouvrent le cœur
et la conscience en éveillant la sagesse intérieure.
Il est nécessaire de
purifier le mental, l’émotionnel, afin de s’alléger vibratoirement, d'être aligné aux fréquences de la terre et de l'âme. Et en
chemin, on apprend à relativiser, on s’habitue à vivre une relation
transparente et confiante avec la source en soi mais aussi avec tous nos corps.
Ce processus ressemble aussi à celui du pardon parce qu’il s’agit de faire le
deuil du rôle de victime en reconnaissant et en lâchant chaque pensée émotion
qui nous maintiennent dans le sentiment d’impuissance.
On
a beau vouloir changer, sortir des jeux de rôles, ça n’est pas si évident parce
que ces positionnements nous rassurent, on en tire certains avantages et le
premier, c’est d’éviter de se sentir coupable. Une croyance bien ancrée est
celle qui associe la notion de responsabilité à celle de culpabilité.
Quand on
croit être victime de la vie et des autres, cela procure un certain confort
parce qu’on n’a pas besoin de se remettre en question et dans cette
perspective, on trouvera toujours un coupable extérieur à soi. Surtout en cette
période où on dénonce les abus des hommes auprès des femmes, chaque femme peut
se reconnaitre en tant que victime.