Bonjour
à tous,
En transit entre deux projets de coopération internationale, je reviens vers vous pour vous partager une expérience spirituelle parmi les plus stimulantes qu’il m’ait été donné de vivre jusqu’à présent dans cette incarnation. Je vous la partage dans le but de stimuler votre propre parcours d’éveil.
Quand j’ai débuté mon cheminement spirituel, l’une des premières choses que j’ai apprises est que nous avons tous expérimenté, à divers degrés, des états de conscience expansifs, et d’autres beaucoup plus lourds, qui ont été vécus alors que nous étions, en apparence, déconnectés de notre lumière. Je dis « en apparence », car en réalité, il est impossible de vraiment se séparer de l’être de lumière que nous sommes. Mais durant l’incarnation, l’illusion de cette sensation de séparation nous paraît bien réelle.
J’ai appris que nous avons vécu des vies d’amour et de partage, mais aussi que nous avons eu d’autres expériences plus lourdes qui nous ont traumatisés. Peu importe les rôles joués, que nous ayons été victimes ou bourreaux, certaines expériences passées continuent d’être ressenties intérieurement comme des éléments à oublier de nous-mêmes. Dans ce contexte, il peut être difficile de reconnaître que nous ayons été voleur-volé, abuseur-abusé, tueur-tué, violeur-violé, traitre-trahi, etc. Cette vérité peut faire peur à priori, mais paradoxalement, lorsqu’acceptée, elle libère d’un poids important. Elle permet de revisiter une croyance populaire qui suggère que pour « revenir à la maison de Dieu », il faille redevenir pur et parfait.
En transit entre deux projets de coopération internationale, je reviens vers vous pour vous partager une expérience spirituelle parmi les plus stimulantes qu’il m’ait été donné de vivre jusqu’à présent dans cette incarnation. Je vous la partage dans le but de stimuler votre propre parcours d’éveil.
Quand j’ai débuté mon cheminement spirituel, l’une des premières choses que j’ai apprises est que nous avons tous expérimenté, à divers degrés, des états de conscience expansifs, et d’autres beaucoup plus lourds, qui ont été vécus alors que nous étions, en apparence, déconnectés de notre lumière. Je dis « en apparence », car en réalité, il est impossible de vraiment se séparer de l’être de lumière que nous sommes. Mais durant l’incarnation, l’illusion de cette sensation de séparation nous paraît bien réelle.
J’ai appris que nous avons vécu des vies d’amour et de partage, mais aussi que nous avons eu d’autres expériences plus lourdes qui nous ont traumatisés. Peu importe les rôles joués, que nous ayons été victimes ou bourreaux, certaines expériences passées continuent d’être ressenties intérieurement comme des éléments à oublier de nous-mêmes. Dans ce contexte, il peut être difficile de reconnaître que nous ayons été voleur-volé, abuseur-abusé, tueur-tué, violeur-violé, traitre-trahi, etc. Cette vérité peut faire peur à priori, mais paradoxalement, lorsqu’acceptée, elle libère d’un poids important. Elle permet de revisiter une croyance populaire qui suggère que pour « revenir à la maison de Dieu », il faille redevenir pur et parfait.