Ces
dernières 24 heures ont été éprouvantes mais comme je sais que tout est fait
pour me permettre de lâcher les jeux de rôles, guérir les blessures d’enfance
et devenir plus libre et autonome, j’ai lâché prise et laissé les pensées
émotions de la victime intérieure me traverser. J’ai amené en la paix du cœur ce
bagage énergétique qui nourrissait la souffrance, les rôles et toujours en
suivant l’élan de l’instant, je me suis laissé guidée et dépouillée du
superflu.
J’ai écris comme chaque jour ce que je ressentais et vivais mais j’ai
préféré aller au jardin pour que tout en moi s’harmonise naturellement au
contact de la nature. Je copie-colle une partie de mes ressentis d’hier :
(Mercredi 13 avril)
Comme
toutes les nuits, je me suis levée vers deux heures pour aller aux toilettes
avec le souvenir très net d’avoir été enseignée durant mon sommeil. J’ai la
sensation qu’il s’agissait plus d’une forme de mise au point entre les
différents aspects de la psyché, comme un dialogue interne entre l’âme et la
conscience.
Lorsque
je lis des messages canalisés, ou des infos concernant le développement
personnel, je retiens ce qui fait écho en moi et je me dis qu’à un certain
niveau de la conscience, elle n’est plus isolée, comme si elle était une
individualité faisant partie d’un collectif.