dimanche 8 novembre 2015

« Le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi ».





7 novembre; Finalement le plus grand obstacle à notre bien-être, c’est le rejet de soi qui nous coupe de notre cœur et pousse à se replier sur soi-même.
La peur est une dynamique, une énergie qui peut nous amener à grandir, à acquérir plus d’audace, de force, de confiance en soi, si nous la considérons de cette façon et laissons l’amour l’embrasser, l’équilibrer.

Ce qui fait souffrir, c’est l’excès, le déséquilibre, mais surtout le manque d’amour et quand nous renions une part de ce que nous sommes, nous nous coupons de cet amour, de notre être divin, unifié. 

Quand nous rejetons un aspect interne, généralement le plus fragile ou ignorant, nous nous interdisons de ressentir l’amour et la paix qui viennent de l’acceptation, de la reliance à l’amour lumière en nous-même.

En mettant en ligne l'article précédent, j’ai écouté à nouveau la vidéo d’Isabelle Padovani, que je remets plus bas, « Souffrir ou s’ouvrir ». C’est un rappel essentiel et tout à fait logique des bienfaits de l’acceptation. 
On parle beaucoup de la connaissance de soi dans le milieu du développement personnel et spirituel mais en fait qu’est-ce que ça veut vraiment dire ?

samedi 7 novembre 2015

« Apprendre à accepter ses émotions » & « Nier ou accepter » nospensées.com & vidéo Isabelle Padovani





« La sagesse c’est l’art d’accepter ce qui ne peut être changé, de changer ce qui peut l’être et, surtout, de connaître la différence »

« Ça ne sert à rien de s’inquiéter pour ça ». « Ça n’en vaut pas la peine ». « Tu n’as pas de raison d’être triste ». « Allez, arrête de pleurer ». « Tu dois te relever ».

Combien de fois avons-nous déjà entendu ce genre de phrases, prononcées avec la meilleure des intentions ?
On nous a donné ces conseils et nous les avons donnés également à d’autres, car ils paraissent bons et sensés. 
Cependant, lorsque nous tentons de les mettre en pratique,  nous ne parvenons pas à trouver la formule magique.

Malheureusement, nos émotions ne sont pas régies par des normes et ne suivent pas toujours notre volonté. 
Il ne suffit pas de vouloir changer les émotions que l’on ressent, car les sentiments sont là, bien présents, et ne disparaissent pas aussi facilement.
De plus, il est très fréquent que nous nous sentions frustré. 
Le fait de se sentir bien devient une sorte d’obligation, et si nous ne parvenons pas à atteindre ce but, nous finissons encore plus mal qu’au départ, c’est à dire maladroit, coupable, et nous croyons que n’importe qui est capable de gérer ses émotions, sauf nous.

vendredi 6 novembre 2015

« On ne résout pas les problèmes en feignant l’indifférence mais en les regardant en face »






Comme je le disais tout à l'heure, je suis en pleine libération émotionnelle et dans ce lâcher prise, un genre de fièvre apparait indiquant que le corps physique intègre, finalise, le processus. 
J’ai aussi remarqué que la majorité du temps, lorsqu’on est affaibli physiquement, on lâche prise beaucoup plus facilement, le mental n’est plus en roue libre, il se calme, comme s’il jetait l’éponge.
J’ai dû effectuer pas moins de trois méditations hier, pour retrouver la paix et la joie. Chaque fois que je pleure et c’est plutôt rare du fait que je prends des médicaments qui agissent sur le laboratoire chimique interne, inhibant les émotions, il se produit une détente profonde et un flot de tendresse s’écoule librement à l’intérieur. Un genre de « caresse de l’ange ».
Il y a deux jours, je reconnaissais la valeur de l’ego et un peu de culpabilité et de doute ont émergé. Je les ai offerts à la source et la confiance est revenue en même temps que la paix et l'harmonie intérieures.
Il est clair que le fait d’être en mode contrôle ou de se protéger est une stratégie de survie mais bien qu’elle sécurise pour un moment, ça nous coupe de notre pouvoir, de notre cœur, ça nous insensibilise. 
La phase d’acceptation d’un des aspects de soi créé un sentiment de sécurité mais on peut vite basculer dans une assurance un peu excessive qui trahit un manque de confiance en soi. 
Quand on accepte un aspect « fort » ou masculin, il est nécessaire et même logique lorsqu’on cherche l’harmonie intérieure, l’équilibre, qu’il faille aussi honorer sa vulnérabilité ou son côté sensible. 
C’est une façon de sacraliser le masculin et le féminin en soi et de les harmoniser. 
Enfin c'est de cette façon que je conçois et applique l'union et la sacralisation des forces complémentaires.

jeudi 5 novembre 2015

« L’art de s’accepter soi-même consiste à se connaître soi-même » Agnieszka Rouyer






L’absence de l’acceptation de soi, les exigences excessives, une critique incessante envers soi-même, agissent tel un frein à main pour le développement de notre potentiel intérieur. Comment donc comprendre le processus et apprendre à accepter nos comportements et décisions ?
Vous arrive-t-il de vous énerver sur quelqu’un parce qu’il a pris telle décision plutôt qu’une autre ? Ou parce qu’il a fait une chose qui ne vous a pas plu ? Sans doute, et plus d’une fois ! Revenez sur ces moments et demandez-vous quelle était la raison de ce sentiment de colère ? Je devine que ce sentiment était accompagné d’une pensée dans le genre : « il n’aurait pas du faire ou dire ça ! »

Quand n’acceptons-nous pas ce que les autres font ? 
Le plus souvent quand nous ne comprenons pas leurs comportements. 
Nous ne connaissons pas leur motivation, donc leurs actions nous semblent dénuées de sens. Compte tenu de notre connaissance de la situation, nous sommes convaincus que l’autre doit agir différemment. Mais…

Je vous invite à vous rappeler d’une situation dans laquelle, au début, vous n’acceptiez pas un comportement ou une décision d’une autre personne, et qu’ensuite, après en avoir discuté avec elle, vos sentiments ont totalement changé. 
Comment cela s’est produit-t-il ?

« Vous pouvez découvrir d’autres façons de penser si vous vous en donnez la liberté » Lise Bourbeau





Pensez-vous être capable d’accepter d’autres façons de penser que les vôtres? 
Je vous suggère de noter votre capacité sur une échelle de 1 à 10 et de vérifier également auprès de minimum cinq personnes qui vous connaissent bien, s’ils trouvent que vous êtes ouvert d’esprit. 
Posez-vous ensuite les questions suivantes: Est-ce difficile d’entendre leur point de vue sur le sujet s’il diffère du mien? Quelle est ma première réaction intérieure? Puis-je accepter qu’ils ne pensent pas comme moi à ce sujet? 

Je me souviens d’une situation vécue il y a plusieurs années. À plusieurs reprises, j’avais entendu mes sœurs dire que maman les appelait pour savoir comment ça allait. Chaque fois, je me sentais un peu plus rejetée. « Pourquoi ne m’appelle-t-elle pas MOI aussi ? » 
Ça m’a pris au moins deux ans avant de me décider à lui poser la question. 
Elle m’a répondu aussitôt : « Mais toi je sais que je n’ai pas besoin de t’appeler parce que ça va toujours bien, tu te sors facilement de tes problèmes et je peux te faire confiance ».  

J’ai réalisé que dans le temps, en bonne personne rigide, je faisais croire à tout le monde que tout allait bien dans ma vie. 
En acceptant sa façon de penser, je me suis sentie très aimée tout à coup. 
J’osais même espérer qu’elle m’aimait plus, ce qui satisfaisait fort bien mon ego. 

mercredi 4 novembre 2015

« Ego et deus, capitaine et mousse* »






Ma façon de parler des messages spirituels et de la canalisation, dans le texte d’hier, (publié aujourd’hui), pourrait laisser croire que je « crache dans la soupe », que je manque de reconnaissance pour les infos reçues de cette façon, dont j’ai dévoré le contenu et auxquelles je me suis longtemps fiée pour me connaitre, me retrouver. 
Tout est complet sur cette terre ; une chose contient tout, le ‘bien’ comme le ‘mal’ et nous avançons en nous ouvrant aux autres, en utilisant les contraires pour nous orienter.

L’extérieur, les autres, quels qu’ils soient, nous révèlent à nous-même par effet miroir. Ce qui veut dire que nous découvrons des aspects internes ignorés, refoulés, qu’ils soient sombres ou lumineux. 
L’ombre telle que nous la concevons, est le reflet d’un objet éclairé par le soleil et au niveau spirituel c’est le même principe. La lumière pure, la conscience Une, nous révèle ce que nous avons enfoui dans l’inconscient, tant nos peurs que notre pouvoir. 
Elle le fait au travers des rencontres, des situations, sur le terrain. 

Quand on veut se connaitre, si on ne connait pas les lois universelles, on va penser que l’autre nous agresse, qu’il est coupable de nôtre mal être. Les religions ont tellement perverti le message du Christ, le sens de l’amour et de ce que nous sommes, qu’il nous a fallu dépoussiérer nos connaissances, élargir notre point de vue que seul des êtres ayant un recul suffisant et une vision neutre, élargie des faits, pouvait nous apporter.

« Tout est à vivre d’abord en soi, en conscience et dans l’amour pur »





Hier, 3 novembre ; Ce matin, après une nuit d’orages intenses, de pluie et de vent violent, j’ose à peine aller au jardin parce que les pieds de Cosmos (fleurs) de deux mètres ne sont plus visibles de ma fenêtre. Une occasion de lâcher la peine qui survient lorsqu’on perd quelque chose auquel on tient, de s’habituer aux changements, de lâcher prise et d’accepter le caractère cyclique et éphémère de la vie sur terre.

Je remarque qu’à chaque fois que j’affirme quelque chose dans les conversations avec ma mère, dans la semaine qui suit, c’est invalidé. Si je lui dis que les bouffées de chaleur sont moins intenses, le lendemain, elles augmentent en intensité et en durée ! Idem pour la beauté des cosmos dans le jardin, deux jours après, tout est au sol, écroulé par la pluie et le vent ! 
Ce n’est pas la première fois que je fais cette observation et je pense que c’est directement lié à l’intention qui porte mon discours ; je cherche encore à la convaincre de ma progression, du fait que par le travail sur soi, l’accueil des émotions, tout va parfaitement bien dans ma vie ! 
Il arrivait la même chose avec ce blog tant que justement je cherchais à démontrer la puissance de l’amour, de la paix, de l’ancrage, du centrage et de la connexion au divin. 

Plus je fais circuler l’amour véritable en moi, sans chercher à le nourrir par l’approbation extérieure et moins j'éprouve le besoin de convaincre. 
Du fait, ce que je dis n’a plus besoin d’être éprouvé, confirmé dans les faits puisque ce que j’écris relate ce que je vis, est le résultat du vécu et plus des affirmations mentales qui demandent d’être validées par l’expérience.