mercredi 4 novembre 2015

« Ego et deus, capitaine et mousse* »






Ma façon de parler des messages spirituels et de la canalisation, dans le texte d’hier, (publié aujourd’hui), pourrait laisser croire que je « crache dans la soupe », que je manque de reconnaissance pour les infos reçues de cette façon, dont j’ai dévoré le contenu et auxquelles je me suis longtemps fiée pour me connaitre, me retrouver. 
Tout est complet sur cette terre ; une chose contient tout, le ‘bien’ comme le ‘mal’ et nous avançons en nous ouvrant aux autres, en utilisant les contraires pour nous orienter.

L’extérieur, les autres, quels qu’ils soient, nous révèlent à nous-même par effet miroir. Ce qui veut dire que nous découvrons des aspects internes ignorés, refoulés, qu’ils soient sombres ou lumineux. 
L’ombre telle que nous la concevons, est le reflet d’un objet éclairé par le soleil et au niveau spirituel c’est le même principe. La lumière pure, la conscience Une, nous révèle ce que nous avons enfoui dans l’inconscient, tant nos peurs que notre pouvoir. 
Elle le fait au travers des rencontres, des situations, sur le terrain. 

Quand on veut se connaitre, si on ne connait pas les lois universelles, on va penser que l’autre nous agresse, qu’il est coupable de nôtre mal être. Les religions ont tellement perverti le message du Christ, le sens de l’amour et de ce que nous sommes, qu’il nous a fallu dépoussiérer nos connaissances, élargir notre point de vue que seul des êtres ayant un recul suffisant et une vision neutre, élargie des faits, pouvait nous apporter.

« Tout est à vivre d’abord en soi, en conscience et dans l’amour pur »





Hier, 3 novembre ; Ce matin, après une nuit d’orages intenses, de pluie et de vent violent, j’ose à peine aller au jardin parce que les pieds de Cosmos (fleurs) de deux mètres ne sont plus visibles de ma fenêtre. Une occasion de lâcher la peine qui survient lorsqu’on perd quelque chose auquel on tient, de s’habituer aux changements, de lâcher prise et d’accepter le caractère cyclique et éphémère de la vie sur terre.

Je remarque qu’à chaque fois que j’affirme quelque chose dans les conversations avec ma mère, dans la semaine qui suit, c’est invalidé. Si je lui dis que les bouffées de chaleur sont moins intenses, le lendemain, elles augmentent en intensité et en durée ! Idem pour la beauté des cosmos dans le jardin, deux jours après, tout est au sol, écroulé par la pluie et le vent ! 
Ce n’est pas la première fois que je fais cette observation et je pense que c’est directement lié à l’intention qui porte mon discours ; je cherche encore à la convaincre de ma progression, du fait que par le travail sur soi, l’accueil des émotions, tout va parfaitement bien dans ma vie ! 
Il arrivait la même chose avec ce blog tant que justement je cherchais à démontrer la puissance de l’amour, de la paix, de l’ancrage, du centrage et de la connexion au divin. 

Plus je fais circuler l’amour véritable en moi, sans chercher à le nourrir par l’approbation extérieure et moins j'éprouve le besoin de convaincre. 
Du fait, ce que je dis n’a plus besoin d’être éprouvé, confirmé dans les faits puisque ce que j’écris relate ce que je vis, est le résultat du vécu et plus des affirmations mentales qui demandent d’être validées par l’expérience.

mardi 3 novembre 2015

« Émotions emprisonnées » Sarah Boucault





"Chacun d’entre nous est sa propre météo et détermine la couleur du ciel dans l’univers émotionnel dans lequel il habite".
(Fulton J. Sheen)

A certains moments de notre vie, il se peut que nous nous sentions bloqués au niveau émotionnel et que nous ne sachions pas exprimer ce que nous ressentons.
Peut-être même que nous sommes incapables d’identifier notre état de moral et que nous le percevons comme un fantôme à la forme indéterminée.
Pour différentes raisons, à certains moments de notre vie, nos émotions se retrouvent emprisonnées. Comme si elles étaient dans une cage, qu’elles ne voulaient pas sortir, et qu’elles généraient un grand mal être dans notre intérieur, influençant tant notre corps que nos relations avec les autres.

Cela vous est déjà arrivé ?
Réfléchissez-y un moment…
Peut-être que pendant des mois, vous déambuliez dans la tristesse sans pouvoir pleurer, ni l’extérioriser ou la partager.

« Apprend à rêver »...






Voilà une phrase bien curieuse que je viens de piocher dans "la boîte à idées" de Lulumineuse. Je sais que très souvent, ce que je pioche correspond exactement à ce que je dois comprendre, accepter, intégrer ou encore à mon état d’esprit du moment. 
Une idée, une pensée  sombre ou lourde à offrir à la source, une image de ce que recèle mon inconscient, bref, un conseil amical, fraternel, en toute simplicité qui touche le cœur.

Avant, j’allais beaucoup sur le site de Monique Mathieu mais comme le ton des êtres de lumière qu’elle canalise est un peu trop paternaliste à mon goût et puisque je m’affranchis de toute forme d’autorité extérieure, ça ne colle plus avec ce que je suis maintenant. 
Je ne m’interdis pas non plus d’aller cliquer sur les clefs de sagesse comme aujourd’hui et d’ailleurs, c’est toujours un reflet de ce que je porte. Je le fais en considérant que ces êtres ont un point de vue plus large et je laisse ce qui ne me parle pas, ce qui me semble trop emprunt de peur, de notion de supériorité ou de mépris.

Prendre conscience que nous créons notre vie selon la vibration que nous émettons est le premier pas sur un chemin qui va demander de libérer les anciennes croyances qui nous limitent afin de pouvoir avancer vers notre souveraineté, notre plus beau potentiel.

lundi 2 novembre 2015

« L’Amour qui émane de vous peut tout transformer »...






1er novembre; Comme c’est bon de sentir la paix en soi ! Je peux faire une nette différence entre mon état d’esprit rongé par la culpabilité et celui depuis que j’aie accepté de me pardonner pour avoir cédé à l’envie de fumer. 
Ce qui m’agaçait le plus dans cette histoire, c’est d’avoir l’impression de régresser, de ne rien contrôler et d’être manipulée. Pour l’ego, le mental, c’est intolérable et pourtant pour l’âme, c’est une occasion de libérer l’immense poids de la culpabilité.

Lorsqu’on est abusé enfant, on prend la culpabilité de l’agresseur sur soi. Il en joue et nous maintient dans le secret de cette façon tout en allégeant sa propre culpabilité. 
On pense être coupable alors qu’on est victime et pour le mental, c’est un casse tête dont il se libère en envoyant dans l’inconscient toutes les pensées conflictuelles. 
Des sentiments contradictoires se mélangent et on est perdu. On ne sait pas ce qu’est vraiment l’amour, on se méfie de tout le monde, on ne vit pas dans l’insouciance mais on est conditionné par la peur. 
Tant qu’on s’imagine être la victime coupable, on est coincé dans le triangle émotionnel, on subit la vie.
Ce genre de vécu est malheureusement très courant et déjà quand on sait cela, on arrête de se demander pourquoi ça nous est arrivé à nous, précisément.
C’est une première occasion de lâcher la culpabilité et de se détacher de l’histoire.

dimanche 1 novembre 2015

« La pression en vous » les guides de l’unité via Daniel Desjardins






Très chers humains, aujourd'hui nous voulons vous parler de la pression que vous vivez dans vos vies personnelles, professionnelles et collectivement. 
Cela peut parfois vous sembler comme si la pression sous les plaques tectoniques de votre réalité se soulevait et mettait vos vies sens dessus dessous. 
C'est parfois un ressenti purement intérieur, mais souvent vos vies semblent se dérouler ainsi.  
Nous voulons vous parler de ce sentiment de pression intérieure vers l'extérieur.
Cette pression n’est pas votre ennemie. Cette pression ne veut pas vous détruire, même si c'est parfois la sensation que cela vous porte à croire. 

Cette pression c'est vous, c'est votre être authentique qui, comme un oisillon, tente de percer la coquille de votre identification à ce qui n'est pas vous (des croyances acquises ou partagées avec la masse). 
Nous voulons vous inviter aujourd'hui à ne plus contempler la terreur de voir les plaques tectoniques chavirer et éclater, mais plutôt à ressentir la joie et l'enthousiasme de l'oisillon qui perce la coquille pour enfin percer au grand jour et vivre pleinement

Nous vous invitons à considérer que possiblement toute votre vie s'est déroulée à l'intérieur d'un minuscule œuf; il n'y a rien de mal à cela, c'était nécessaire à votre développement, mais maintenant vous êtes prêts à éclore au grand jour et à être pleinement qui vous êtes!

samedi 31 octobre 2015

« Les grilles comportementales » Miriadan via Magali




 
Dans cette dimension de créativité, vous êtes plongés littéralement dans un océan d'énergies dont les vagues prennent forme par des grilles électro-magnétiques.
 
Vos pensées génèrent des égrégores qui, selon la nature et l'intensité de vos émotions, donnent une existence propre à ces " nuages d'énergie ". 

Par définition, l'énergie est une substance issue de l'Amour. Elle est neutre et malléable, fluide et dense. L'énergie est la pâte à modeler de vos désirs. Elle peut exprimer votre piété, votre foi comme votre colère ou vos peurs.
 
Ces égrégores se maintiennent sur des grilles électro-magnétiques qui soutiennent la création. Tout comme les égrégores, une grille se programme sur la fréquence de votre civilisation. Elle est le soutien des visions de masse. Elle relie les êtres dans une volonté commune, et leur donne un chemin à suivre. Selon ce qui y est programmé.