mardi 3 novembre 2015

« Apprend à rêver »...






Voilà une phrase bien curieuse que je viens de piocher dans "la boîte à idées" de Lulumineuse. Je sais que très souvent, ce que je pioche correspond exactement à ce que je dois comprendre, accepter, intégrer ou encore à mon état d’esprit du moment. 
Une idée, une pensée  sombre ou lourde à offrir à la source, une image de ce que recèle mon inconscient, bref, un conseil amical, fraternel, en toute simplicité qui touche le cœur.

Avant, j’allais beaucoup sur le site de Monique Mathieu mais comme le ton des êtres de lumière qu’elle canalise est un peu trop paternaliste à mon goût et puisque je m’affranchis de toute forme d’autorité extérieure, ça ne colle plus avec ce que je suis maintenant. 
Je ne m’interdis pas non plus d’aller cliquer sur les clefs de sagesse comme aujourd’hui et d’ailleurs, c’est toujours un reflet de ce que je porte. Je le fais en considérant que ces êtres ont un point de vue plus large et je laisse ce qui ne me parle pas, ce qui me semble trop emprunt de peur, de notion de supériorité ou de mépris.

Prendre conscience que nous créons notre vie selon la vibration que nous émettons est le premier pas sur un chemin qui va demander de libérer les anciennes croyances qui nous limitent afin de pouvoir avancer vers notre souveraineté, notre plus beau potentiel.


L’humain progresse selon un cycle personnel, par prises de conscience successives qui l'amènent à devenir plus conscient et responsable de ses besoins véritables et d‘être en mesure de les assouvir par lui-même. 

La majorité des humains assume en premier les besoins vitaux tels que la nourriture et en général se focalise sur les besoins matériels qui bien que nécessaires ne comble pas l’être. 

Instinctivement et selon mon enfance particulière, j’ai toujours fait en sorte de me sentir bien à l’intérieur méprisant la société et son esprit de compétition. 
Le besoin de retrouver un équilibre interne en essayant d’effacer la souffrance passée par le plaisir que procurent les drogues, a toujours été ma priorité. 
Bien que cette stratégie ne soit plus adaptée à ce que je suis maintenant, enfin à la façon dont je me voie aujourd’hui, ça m’a permis tout de même de garder l’envie de vivre, de pouvoir être ici et maintenant et par dessus tout, de chercher et de trouver qui je suis vraiment, au-delà des masques, des peurs, des interrogations.

Les gestes restent mais l’intention, l'énergie, n’est plus du tout la même. 
Déjà, je sais que ça n’est pas la seule alternative, que c’est une stratégie illusoire que l’amour en soi peut absorber. Je sais que mon bien-être dépend de ma vision de moi-même, de la vie et de l’harmonie intérieure. Je sais surtout que je peux accéder à l'espace serein de mon cœur, interagir avec mes corps, comprendre leur langage, entendre les voix internes avec bienveillance et reconnaissance même puisqu'elles me livrent peu à peu leurs secrets, leurs rêves, leurs besoins. Je sais que l'harmonie règne naturellement en moi et qu'il me suffit d'en être consciente pour le constater. Je sais que je suis entière, complète, que les voix internes forment une famille, que les corps, les énergies peuvent s'associer et agir de concert pour le bien-être de l'ensemble.

Je continue de mettre à jour ce que j’ai écris il y a un an et je constate que les progrès sont réels bien que ça ne se reflète pas encore totalement dans la matière. 
La théorie est toujours plus facile à intégrer intellectuellement qu’à vivre sur le terrain mais c’est absolument nécessaire. 
Le travail qui s'effectue en profondeur est forcément invisible mais la différence est immense dans le ressenti, par le fait de pouvoir revenir à la paix intérieure avec confiance et assurance, par la tendresse qui s'imprime dans mes gestes, par l'attention que je porte au corps physique, celui que j'ai toujours délaissé et que j'apprends enfin à connaitre de l'intérieur. 
J'apprends son langage, ses signes, le sens des symptômes, ses limites et ses besoins.
J'ai confiance en cette intelligence reliée à la source, à la Terre, au ciel.
Je n'ai plus peur de mes émotions, j'ose les ressentir, les laisser aller parce que j'apprends à les connaitre, à reconnaitre le message qu'elles délivrent, leur valeur énergétique au-delà de leur forme, des étiquettes que je leur ai collées.

Chacun a un parcours spécifique qui le conduit directement à son être, à la vérité intérieure qui révèle les besoins, les manques et les conflits. 
Et c’est justement ce qui pose problème qui a besoin d’être éclairé, vu, avec un recul suffisant et une infinie compassion. C'est par la force du contraste que les besoins se révèlent dans ce monde de dualité. Le manque invite à rechercher la présence. 

L’expérience de ces derniers jours qui a révélé le besoin non assouvi de rêver, de prendre la vie d’une façon plus légère, d’oser créer, visualiser, d’agir plutôt que de penser, n’est pas vraiment une nouveauté mais j’ai pu voir comment le fait de ne pas répondre à cela m’a ramenée à mes anciens modes de fonctionnement. 
Le mental est un fin stratège qui va trouver de nouvelles façons de gérer le stress en le dissimulant. Il a trois options; la fuite, l'agression ou la défense. Il ne sait pas faire autrement que d’envoyer dans l’inconscient, ce qui le dérange, ce qui vient troubler les habitudes, le semblant de sécurité. Mais c’est comme mettre la poussière sous le tapis ! 

Cela dit, il suffit de repérer le manège pour ne pas se laisser embarquer dans ces stratégies. Puis qu’on cède ou non, le fait de ne pas lutter, de ne pas se critiquer amène à savoir ce qui a déclenché la stratégie, la fuite ou le déni. C'est un premier pas vers la libération et une ou plusieurs facettes de l'être qui se révèlent, une occasion de rechercher la paix et l'harmonie et de les trouver.  

Une fois la culpabilité libérée, on reconnait le besoin non assouvi et on va pouvoir agir de façon à le nourrir. Dans cet accueil, on ressent la compassion de la source en soi qui permet de dédramatiser, de se souvenir que nous sommes ici pour être, apprendre et pas pour être en compétition ou en conflit contre soi-même. 

Cette pratique régulière de retour au cœur, au calme intérieur, amène à comprendre que nous avons tous les pouvoirs et qu’il suffit de s’autoriser à être vrai, de se faire confiance, de s’autoriser à vivre librement toutes sortes d’expériences, pour en comprendre le sens et ainsi se connaitre sous tous les angles. 

L’alchimie émotionnelle permet de s’habituer à être chahuté de l’intérieur et de comprendre qu’il existe un lieu en soi où la paix et l’amour sont toujours présents. Et on comprend surtout que c’est nous-même qui avons les clefs de la prison dans laquelle on pensait être.
On pense être enfermé dans ce corps, limité, mais ce sont nos pensées, nos interdits, nos peurs, qui nous emprisonnent, nous donnent l’impression d’être bloqué. 

Si je veux être libre, il suffit que je m’en donne l’autorisation. 
Si je veux être en paix, il suffit de me centrer, de porter mon attention à l’intérieur, en mon propre cœur.
La quantité de fausses croyances que l’on porte est hallucinante mais en même temps, elles sont partagées par tellement de personnes qu’on peut croire toute sa vie qu’elles sont justes. S'en détacher demande déjà d'en être conscient, patient et persévérant. 
Et la première qu'il est essentiel et urgent de libérer, c'est celle qui consiste à croire que nous sommes victime.




En lisant les mots « apprend à rêver », je me suis dit qu’en fait je ne m’autorise jamais à visualiser, imaginer comment j’aimerais vivre concrètement. Je fais en sorte de maintenir la paix intérieure mais je n’ose pas encore me projeter. 
Comme si le seul fait de rêver me faisait peur ! 
Je cherche tellement la vérité que je crains de me bercer d’illusions. 
Puis j’ai opposé le mensonge à la vérité de façon très tranchée alors que tout est nuancé. La vérité est subjective au niveau individuel et partielle puis le mensonge n’est pas toujours "mauvais". Être authentique ne demande pas de tout dire et la transparence est quelque chose d'intime. Comme pour toutes choses, agir d'abord en soi suffit à ce que notre vision du monde se conforme à notre état d'être. Tout se passe à l'intérieur premièrement, le reste suit naturellement.
Je ne me souviens pas non plus avoir rêvé enfant mais il n’est jamais trop tard pour bien faire, pour s’y mettre. A part l'envie d'être institutrice, envie que j'aie eu vers 7 ans, il ne me vient rien d'autre à l'esprit. 
J'ai toujours su que l'essentiel n'était pas visible mais maintenant il me faut intégrer l'importance de l'aspect matériel des choses et en cela, l'achat de la machine à laver neuve, est un grand pas en ce sens. Une façon d'indiquer à mon corps physique que je l'aime et que je veux en prendre soin. Une symbolique relative à mon désir de libérer toutes les croyances limitatives, de faire ce nettoyage interne dans la facilité, la souplesse et la fluidité. Une reconnaissance aussi de l'importance de l'élément eau, des émotions et le reflet de ma volonté de les ressentir au lieu de les fuir.

C’est vrai que l’idée de rentabilité, de productivité est largement nourrie dans ce monde et j’en porte certainement la croyance inconsciente. Tout ce que l’on fait gratuitement, pour rien de particulier, de spécial, n’est pas valorisé ici-bas. 
Ça correspond sûrement à la façon dont on considère les aspects rêveurs en soi, les aspects enfantins et aussi au fait qu’on s’aime quand on fait quelque chose considéré comme valable aux yeux de tous. 

Il est difficile de s’aimer quand on agit d’une façon qui ne correspond pas à ce qu’on voudrait et pourtant, c’est ça l’amour véritable. J’avoue que j’aie dû lâcher beaucoup de critiques, de reproches, avant de pouvoir sentir effectivement la tendresse intérieure.
L’idée que je n’ai pas le temps de glander est encore bien présente et pourtant totalement fausse. Puis cette façon d’étiqueter, de hiérarchiser les actes, n’est pas vraiment juste. 
On ne voit que ce que nos sens nous montrent mais au niveau énergétique, une heure passée à dessiner des mandalas par exemple, c’est une façon d’intégrer et de rayonner les énergies de paix, de joie subtile à se laisser guider par l’inspiration. C’est une façon de développer l’imaginaire, d’aligner ses corps subtils, de se connecter à son intériorité, de nourrir les besoins de l’enfant en soi…
Voyons ce que je pioche sur le site de Monique Mathieu

Clef 584
« Afin d’aller vers cette grande transition et pour pouvoir vous abandonner totalement, il est une chose très importante que vous devez faire. Vous savez la faire mais vous n’y pensez pas : essayez de percevoir votre Père Divin, le Créateur de toute vie, tout autour de vous. Essayez de le percevoir dans les yeux de ceux qui vous entourent, essayez de ne percevoir que la beauté, essayez d’honorer tout ce qui n’est pas lumineux en vous disant tout simplement : « si aujourd’hui telle personne n’a pas encore complètement intégré la Lumière, et demain dans ses yeux je verrai briller cette Lumière et je verrai la manifestation de Dieu, la manifestation de notre Père Créateur comme je la verrai dans les yeux de tous ceux qui m’entourent et de tous mes frères humains ».

C’est un peu prétentieux et de mauvaise foi de parler du comportement de l’autre, de le juger inadapté, en manque de lumière. Il est vrai pourtant que lorsqu’on regarde l’autre en pensant qu’il est un humain divin, que l’amour et la lumière sont aussi sa structure essentielle, notre conception du monde change.
On se rend compte qu’on a vite fait de juger alors qu’on ne sait pas du tout ce que porte l’autre, ce qu’il ressent, ce qu’il a vécu…et dans cette nouvelle façon de voir l’autre, on se rend compte que tout le monde porte la sagesse en soi, que l’autre peut nous enseigner, tant au sujet de ce que nous nous cachons à nous-même que par son point de vue spécifique.

Savoir que l’autre me renvoie un aspect de moi que je rejette, calme considérablement l'ego ! Je ne juge plus les autres aussi radicalement. D’autant plus que nous percevons ce qui est, selon notre personnalité et notre vision est troublée par nos propres blessures. C’est au moins une chose que l’acceptation de soi permet de comprendre.La pensée du jour de Neale Donald Walsch:

En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que votre cœur connaît en silence les secrets des jours et des nuits.
Kahlil Gibran a dit cela et il avait raison. Écoutez, par conséquent,
votre cœur. Cultivez votre aptitude à le faire. Entraînez-la. Pratiquez-la.
Perfectionnez-la
.
Ce n’est pas si difficile. Soyez calme avec vous-même.
Et pour l’amour du Ciel, arrêtez d’écouter votre mental.
Vous n’y trouverez pas la vérité. Vous trouverez peut-être
la réponse, mais ce ne sera pas la vérité à moins qu’elle
ne coïncide avec la réponse de votre cœur.
Vous pensez qu’il y a plus à savoir de la vie que cela,
mais ce n’est pas le cas. Votre cœur détient la clé.
Votre cœur détient la sagesse. Votre cœur détient
le futur
. Votre mental ne connaît rien à part le passé.
Il imagine que le futur sera tout comme hier, donc il
prend ses décisions en se basant là-dessus. Seul votre
cœur peut voir au-delà de l’horizon de la mémoire.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale

http://www.conversations-avec-dieu.fr



Voilà une invitation qui pose problème à l’intellect ! Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire « écouter son cœur » ? Selon mon expérimentation du phénomène, c’est relativement simple, il suffit de se poser, de se calmer et d’agir depuis cet espace de paix, de suivre l’envie qui se manifeste une fois que la paix est en soi.
Ce qui est très compliqué, c’est d’oser faire confiance à cet élan et d’agir sans savoir comment vont se goupiller les choses, sans avoir d’attente spécifique mais avec la confiance totale que tout est parfait.

Le mental va chercher à comprendre, interpréter, il va fouiller dans la mémoire pour se faire une idée de se qui pourrait arriver…il planifie, calcule, anticipe…c’est son job, c’est "normal". 
Apprendre à ne pas croire systématiquement les pensées qui émergent est une pratique qui demande de la patience, de la persévérance mais finalement, on en sort grandit, pacifié et l’harmonie intérieure devient l’étalon, la ligne sur laquelle on tente de se maintenir, l'orientation que l'ego prend avec joie une fois qu'il est reconnu et aimé.

Changer des pensées négatives en positive, c’est refouler ce qui se passe en soi et ça n’apporte pas vraiment de solution si ce n’est momentanée. Par contre en prenant l’habitude de revenir au centre de soi, on trouve peu à peu la maitrise émotionnelle, c'est-à-dire que ce qui se passe à l’intérieur ne nous fait plus chavirer.

Dans ce monde, chaque chose est complète et s’il y a une pensée négative, il existe son contraire mais ça n’est pas en la chassant qu’elle disparait, en accueillant la pensée désagréable, elle montre sa face positive, naturellement, sans que le mental soit obligé d’intervenir. Et c'est ça qui fait peur, qui enclenche les stratégies de l'ego qui a du mal à accepter de lâcher le contrôle. 
C'est naturel et ça n'est plus un problème quand on reconnait la bonne volonté de l'ego à vouloir nous protéger, quand on ne l'invalide pas, quand on reconnait sa valeur et ses capacités qui lorsqu'elles s'associent à la volonté du cœur, produisent les plus belles choses. Il n'est pas un ennemi, il a juste géré les choses à sa façon, par défaut, en attendant que la personnalité reconnaisse le divin qui l'anime et soit en mesure d'accepter de lui confier la gestion de son monde intérieur.

La maitrise émotionnelle, c’est la maitrise des énergies en soi, la capacité de surfer volontairement sur les fréquences vibratoires en connaissance de causes.
Mais encore une fois, ça n’est pas le résultat d’un savant calcul, c’est le cœur dont la capacité d’harmonisation n’est plus à prouver qui se charge de réguler les pensées émotions énergies tout comme l’estomac se charge de digérer et de transformer ce qui ne lui sert pas. 
Évidemment pour celui qui s’identifie à son mental et croit que c'est lui qui détient le pouvoir, c’est une grosse claque ! 
Le mental a certes des pouvoirs mais on ne peut pas dire que sa spécialité soit d’unifier puisque justement sa qualité première, c’est de nous permettre de jouer le jeu de la séparation.
Quand on sait que ça n’est qu’un jeu, on relativise énormément ce qui arrive
Par exemple, depuis trois heures, il pleut des cordes. J’ai commencé à regretter de ne pas être sortie quand il ne pleuvait pas puis j’ai offert cela à la source. 

Perdre l’habitude de s’invalider, de se critiquer est important et comme c’est plus facile de le faire pour des choses sans conséquences, autant s’y exercer comme ça. 
Puisque de toute façon, il s’agit de changer la manière d’agir, et comme les habitudes s’inscrivent dans la répétition des choses, ce qui est important, c’est de casser le réflexe conditionné par la peur, les croyances passées.


Une autre pensée piochée à l’instant, au « hasard » :
Vous pouvez entraîner votre esprit à réagir sans peur
En ce jour de votre vie, je crois que Dieu souhaite que vous sachiez …
que vous pouvez entraîner votre esprit à réagir sans peur
aux « informations entrantes ».
Tout ce que vous avez à faire, c’est de vous rappeler
qui vous êtes, et qu’il n’y a pas un moment
où vous n’avez pas Dieu de votre côté.
Alors engagez-vous dans la journée de demain sans appréhension,
et ne gaspillez pas votre temps avec les soucis. Utilisez votre temps
plutôt pour penser de manière créative à comment aller de l’avant,
quoi qu’il arrive.
Avec tout mon amour, votre ami …
Neale

Le choix de cette photo peut sembler étrange*


Cette pensée me fait encore réagir au mot ‘dieu’ de façon négative. Ce mot est tellement chargé de négativité, de violence, d’injustice, de domination, que j’ai du mal à l’entendre ! J’offre à la source en moi, toutes les pensées émotions qui émergent à l’évocation de ce nom associé à celui du père. 
L’image que j’aie du père et de l’homme en général est encore floutée par les actes de mon père biologique mais malgré tout, là encore, je peux voir que j’ai allégé considérablement l’inconscient et le corps émotionnel puisque non seulement j’en suis consciente mais le pardon que j’ai offert à mon père, je peux maintenant me l’offrir. 
Et je le fais justement quand je me pardonne d’avoir fait "des conneries". 
Je ne cherche même plus à savoir si cela était bien ou mal mais à déceler le besoin caché. La démarche est tout autre!
L’acceptation de ce qui est, c’est vraiment ce qui permet de sortir du triangle émotionnel, des habitudes perverses ! Perverses dans le sens de disharmonieux, de contraire à la Vie. 
Sans contrainte mais juste en voyant les choses sans jugement, la personnalité change son point de vue et ses gestes
Maintenant que mes corps travaillent ensembles, dans la paix et le respect mutuel, sous la guidance de la source, tout est possible !

*le chat au premier plan est un mâle et derrière suit la femelle. On voit qu'elle s'arrête dès que le mâle la regarde. Il tient à marcher devant, à montrer qu'il domine.
C’est selon ma vision, l’illustration de la distribution des rôles dans la nature qui se conforme au comportement humain, le mâle prédomine et surveille que la femelle ne le devance pas. Ou encore l'ego qui veut contrôler les choses. 
C'est une interprétation personnelle et il est clair que je n'ai pas encore compris ce qu'est le masculin puisque trop d'à priori voilent encore ma perception.  
L'amour que j'aie pour ce chat m'aide à guérir ma vision du masculin. Même si j'ai encore du mal à accepter la domination, j'apprends à aimer sans juger, en étant consciente que jusqu'ici, j'avais une conception totalement faussée des choses et surtout de l'amour. Maintenant que je suis en paix avec moi-même, avec l'ego, avec ma force et que je ne rejette plus rien, ma vision du masculin devient de plus en plus positive...
                                                                                              


Clefs de sagesse trouvées sur le site de Monique Mathieu : http://ducielalaterre.org

Merci de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr ) afin d’honorer l’expression unique de chacun.