Selon
une étude menée par des chercheurs de l’Université de Stanford, le contact avec
la
nature aurait tendance à favoriser notre bien-être, contrairement aux
environnements fabriqués par l’humain.
Selon
une étude publiée par l’Université de Stanford, le contact avec la nature serait à même
d’influer positivement sur notre cerveau (en modifiant le flux sanguin dans le
cortex pré-frontal), et notamment comme prévention contre la dépression.
Comment expliquez un tel phénomène ?
Hervé
Platel : La
région du gyrus cingulaire antérieur est la partie du cerveau ciblée dans
l’étude.
Elle montre une suractivité chez les personnes qui ont tendance à la « rumination mentale », terme qui désigne l’état des personnes qui n’arrêtent pas de penser, qui ont du mal à lâcher prise, à se déconnecter.
Elle montre une suractivité chez les personnes qui ont tendance à la « rumination mentale », terme qui désigne l’état des personnes qui n’arrêtent pas de penser, qui ont du mal à lâcher prise, à se déconnecter.
C’est pour cela qu’aller dans un parc, un espace vert, peut-être un moment de
calme. Un moment de repos pour notre pensée, notre psychisme et bien sûr notre
cerveau.