Souvenez-vous,
la question "Qui Suis-Je ?"
Suis-Je le masque de ma
personne ?
Suis-Je la raideur de mon habitude ?
Suis-Je la crispation
de mon émotion ?
Qui Suis-Je ?
Au cœur même de la structure de vos
corps, posez cette question "Qui Suis-Je ?" et allez au-delà de
la réponse jusqu'à ce que vos os mêmes, vos organes, vos émotions, votre
structure mentale, répondent comme un chant de triomphe "Je Suis Cela,
cette simple beauté, ce simple amour, cette simple lumière, cette simple
grandeur".
Je Suis Cela et je choisis de vivre en hommage à cela.
C'est pour cela que Cela s'est incarné.
Je Suis Cela et je choisis de vivre en hommage à cela.
C'est pour cela que Cela s'est incarné.
N'oubliez
pas la question "Qui Suis-Je ?" et gardez l'attention pour
trouver la réponse ultime à la question, allant au-delà, couche après couche,
des fausses réponses.
Car l'émotion crispée voudrait bien nous faire croire que
je suis la crispation.
L'ego durci voudrait bien nous faire croire que je suis
la dureté.
Le mental égaré voudrait bien nous faire croire que je suis
l'égarement.
Pourtant, par l'écoute attentive, l'Être sait l'au-delà des
réponses jusqu'à trouver la clarté de la réponse ultime "Je Suis
Cela".
Retrouver
la clarté de la réponse ultime est exigeant.
Il faut déposer les masques,
déposer les tiédeurs, déposer les attachements aux habitudes, se dresser seul,
merveilleusement seul, tout offert au soleil de l'amour qu'est l'Être.
Cela
est d'importance, tout offert au soleil de l'amour qu'est l'Être.
Car si l'être
humain est chevalier de lumière, son armure est d'amour, son épée, de splendide
bonheur.
L'on est sorti de l'ascétisme, l'on est sorti du dur apprentissage. Le
poids de l'attention repose sur l'inévitable du bonheur qu'est être; Être d'amour.
L'on
pourrait comprendre qu'il y est maintenant désuet d'attacher tant d'importance
aux blocages.
L'on pourrait choisir de s'offrir au rayonnement de lumière.
L'on
pourrait choisir de demander à l'être de dire oui pleinement, et depuis la
beauté et la simplicité de ce oui, laisser le soleil du oui-lumière faire
fondre tous les blocages.
Ne plus regarder les blocages, être offert au soleil et depuis la beauté de cette identification avec "Je Suis le soleil de l'amour que Je Suis", regarder les blocages fondre, remerciant le soleil.
Nous
aimons les oui. Être le oui vivant.
N'oubliez
pas, aimer le silence. Le silence est l'amour.
Cet amour offert au silence rend
tout possible.
De cet amour, naît la passion d'être.
Offrir cet amour à la
structure du corps physique, pleinement.
Offrir cet amour aux structures
mentale, émotionnelle, égotique.
Offrir cet amour à toutes nos relations.
Offrir cet amour au collectif de l'humanité, au collectif du créé.
Offrir cet
amour à la terre. Offrir cet amour au Vénérable.
Aimer
l'Être, non comme on aimerait une abstraction mais dans la plénitude du concret
d'être. Dans cet amour, se reconnaître.
De cette reconnaissance, jaillit l'ouverture au "tout est possible".
La porte du "tout est
possible" est la détermination.
La porte de la détermination est l'amour.
Le cercle est complet.
Nous
vous remercions. Nous vous saluons.
Site
: http://anandamath.free.fr
J’avais
reçu ce message en novembre, l’année dernière, mais je ne l’ai pas publié, il
était resté à l’état de brouillon et ça correspond bien à la vibration d’alors !
Je
remets des photos sur les articles passés puisque j’ai retiré celles qui les
illustraient pour ne pas avoir de problème avec le copyright. Enfin pour être
honnête, selon mes valeurs, et pour avoir la conscience tranquille. Il a fallu
que je libère régulièrement la culpabilité pour qu’elle finisse par ne plus se
manifester à ce sujet.
Il
reste encore de la culpabilité mais comme cette énergie qui abaisse le taux
vibratoire, je l’offre à la source sans plus me poser de question.
On
n’avance pas avec le poids de la culpabilité mais quand cette énergie est
harmonisée, elle aide à devenir autonome, responsable de soi.
Il
n’y a pas de hasard ! En relisant le texte, je me dis qu’il vient bien en
ce moment.
Quand
on s’autorise à être soi-même, il souffle un vent de liberté comme celui qui s’exprime
dehors à l’instant.
L’envie d’être dans l’action, de suivre l’élan de l’instant,
de contribuer, de participer, d’apporter mon petit plus à la société, sur le
terrain.
C’est sûr que ça soulève des peurs mais c’est l’occasion de les lâcher.
Le
fait de commencer à mieux gérer mon monde intérieur, me donne de la confiance
et je me sens capable de faire plein de choses. J’en ai surtout envie et c’est
ce qui compte le plus parce que si le désir est là, l’action sera
épanouissante.
La sensation que tout est possible s'installe de plus en plus comme une certitude, une évidence...
Merci
de laisser les références, les liens, si vous souhaitez diffuser cet article
dans son intégralité et de mentionner aussi ce blog (http://lydiouze.blogspot.fr )
afin d’honorer l’expression unique de chacun.