mercredi 21 octobre 2015

La porte du "tout est possible" St Germain via Agnès Bos-Masseron.





Souvenez-vous, la question "Qui Suis-Je ?" 
Suis-Je le masque de ma personne ? 
Suis-Je la raideur de mon habitude ? 
Suis-Je la crispation de mon émotion ? 
Qui Suis-Je ? 
Au cœur même de la structure de vos corps, posez cette question "Qui Suis-Je ?" et allez au-delà de la réponse jusqu'à ce que vos os mêmes, vos organes, vos émotions, votre structure mentale, répondent comme un chant de triomphe "Je Suis Cela, cette simple beauté, ce simple amour, cette simple lumière, cette simple grandeur". 
Je Suis Cela et je choisis de vivre en hommage à cela. 
C'est pour cela que Cela s'est incarné.

N'oubliez pas la question "Qui Suis-Je ?" et gardez l'attention pour trouver la réponse ultime à la question, allant au-delà, couche après couche, des fausses réponses.

Car l'émotion crispée voudrait bien nous faire croire que je suis la crispation. 
L'ego durci voudrait bien nous faire croire que je suis la dureté. 
Le mental égaré voudrait bien nous faire croire que je suis l'égarement. 

Pourtant, par l'écoute attentive, l'Être sait l'au-delà des réponses jusqu'à trouver la clarté de la réponse ultime "Je Suis Cela".

Retrouver la clarté de la réponse ultime est exigeant. 
Il faut déposer les masques, déposer les tiédeurs, déposer les attachements aux habitudes, se dresser seul, merveilleusement seul, tout offert au soleil de l'amour qu'est l'Être.
Cela est d'importance, tout offert au soleil de l'amour qu'est l'Être. 
Car si l'être humain est chevalier de lumière, son armure est d'amour, son épée, de splendide bonheur. 
L'on est sorti de l'ascétisme, l'on est sorti du dur apprentissage. Le poids de l'attention repose sur l'inévitable du bonheur qu'est être; Être d'amour.

L'on pourrait comprendre qu'il y est maintenant désuet d'attacher tant d'importance aux blocages. 
L'on pourrait choisir de s'offrir au rayonnement de lumière. 
L'on pourrait choisir de demander à l'être de dire oui pleinement, et depuis la beauté et la simplicité de ce oui, laisser le soleil du oui-lumière faire fondre tous les blocages. 

Ne plus regarder les blocages, être offert au soleil et depuis la beauté de cette identification avec "Je Suis le soleil de l'amour que Je Suis", regarder les blocages fondre, remerciant le soleil.
Nous aimons les oui. Être le oui vivant.
N'oubliez pas, aimer le silence. Le silence est l'amour. 
Cet amour offert au silence rend tout possible. 
De cet amour, naît la passion d'être. 

Offrir cet amour à la structure du corps physique, pleinement. 
Offrir cet amour aux structures mentale, émotionnelle, égotique. 
Offrir cet amour à toutes nos relations. 
Offrir cet amour au collectif de l'humanité, au collectif du créé. 
Offrir cet amour à la terre. Offrir cet amour au Vénérable.

Aimer l'Être, non comme on aimerait une abstraction mais dans la plénitude du concret d'être. Dans cet amour, se reconnaître. 

De cette reconnaissance, jaillit l'ouverture au "tout est possible". 
La porte du "tout est possible" est la détermination. 
La porte de la détermination est l'amour. 
Le cercle est complet.
Nous vous remercions. Nous vous saluons. 






J’avais reçu ce message en novembre, l’année dernière, mais je ne l’ai pas publié, il était resté à l’état de brouillon et ça correspond bien à la vibration d’alors !
Je remets des photos sur les articles passés puisque j’ai retiré celles qui les illustraient pour ne pas avoir de problème avec le copyright. Enfin pour être honnête, selon mes valeurs, et pour avoir la conscience tranquille. Il a fallu que je libère régulièrement la culpabilité pour qu’elle finisse par ne plus se manifester à ce sujet.
Il reste encore de la culpabilité mais comme cette énergie qui abaisse le taux vibratoire, je l’offre à la source sans plus me poser de question.
On n’avance pas avec le poids de la culpabilité mais quand cette énergie est harmonisée, elle aide à devenir autonome, responsable de soi. 


Il n’y a pas de hasard ! En relisant le texte, je me dis qu’il vient bien en ce moment.
Quand on s’autorise à être soi-même, il souffle un vent de liberté comme celui qui s’exprime dehors à l’instant. 
L’envie d’être dans l’action, de suivre l’élan de l’instant, de contribuer, de participer, d’apporter mon petit plus à la société, sur le terrain. 
C’est sûr que ça soulève des peurs mais c’est l’occasion de les lâcher.
 

Le fait de commencer à mieux gérer mon monde intérieur, me donne de la confiance et je me sens capable de faire plein de choses. J’en ai surtout envie et c’est ce qui compte le plus parce que si le désir est là, l’action sera épanouissante. 
La sensation que tout est possible s'installe de plus en plus comme une certitude, une évidence...


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