jeudi 18 juin 2015

« Quoi que vous fassiez, faites-le depuis votre propre grandeur » St Germain via Agnès Bos-Masseron





Nous aimons l'authenticité des partages. 
Retrouver cette vision juste, cette relation juste avec les différents aspects de son individualisation. Retrouver le sens juste de chaque relation.

Il est merveilleux d'être ainsi dressé seul, car dans la quête qu'est ce retour à l'évidente simplicité de la vie, on est seul, accompagné pourtant seul, dressé face à sa propre perfection, retrouvant les clefs permettant de l'incarner simplement.

L'incarner est œuvre de concret. 
Certains ont cru que la perfection était une abstraction quelque part, sur quelque plan éthéré. La perfection est œuvre d'incarnation. 
Ramener ces rôles de parent, d'époux ou d'épouse, de compagnon, ramener toutes les relations à leur valeur juste, profonde et simple, sortant de ces faux critères inculqués par cette éducation qui ne sait que voiler la face du beau.

Il est beau d'être ainsi dressé seul à offrir à l'univers et à l'humanité cette intention profonde de retrouver le sens véritable de chaque relation, le sens véritable d'être le vivant.  
Il est beau d'être ainsi dressé seul face à son corps pour amener ce corps à la perfection d'un fonctionnement harmonieux. 

N'être jamais alarmé par des symptômes, être alarmé par cette indolence qui semble être devenue le propre de l'humanité et qui fait que l'humanité laisse sa propre inhumanité végéter dans une norme à peu près convenable.

mercredi 17 juin 2015

« Être attentif à ne pas se déresponsabiliser, à ne pas retomber dans l’accusation, dans l’inconscience »





La nuit a été très courte mais je ne me fais pas de souci parce c’est attendu. Le sevrage perturbe le système endocrinien, les glandes qui régulent le sommeil.
J’avais négligé l’étude du corps humain dans l’enfance, comme pour marquer mon désintérêt, mon dégoût même à son égard mais maintenant j’ai pris conscience de l’importance de la relation à soi, de l’incarnation, de la chair. 
L’amour de soi se cultive par le respect de tous ses corps, le désir d’harmonie, de paix intérieur qui se concrétise par des gestes, des attentions précises, l'écoute du corps physique, de ces pensées, le dialogue avec les cellules...

Définir l’état d’esprit dans lequel on veut vivre est essentiel et je pense savoir pourquoi la journée d’hier a été si difficile. J’ai un peu bâclé mes rituels du matin et c’est ce qui me permet de constater et donc d’affirmer à quel point il est important de démarrer la journée dans les meilleures conditions, de retrouver la conscience de qui nous sommes et de nous souvenir de la reliance avec la terre, le ciel et les autres.
J’ai donc décidé de pratiquer l’ancrage, le centrage et la connexion au divin intérieur avec attention et une intention déterminée de façon à commencer la journée dans les meilleures conditions. 
J'ai eu beaucoup de mal à ne pas m'identifier aux émotions hier parce que je n'ai pas pris le temps de les accueillir comptant sur l'effet des cachets pour gérer les choses. Pour ne plus les sentir en fait, pour les remplacer par la joie de l'audace, de la fausse assurance en soi.   Et je peux voir la différence, combien la journée d’hier a été vécue dans la peur, et comment celle d'aujourd'hui a été beaucoup plus calme, pacifique et pourtant, jusqu'à ce midi, rien de ce qui me tracassait la veille n'avait trouvé de solution. 
Sauf le lâcher prise, le fait de faire confiance malgré tout qui m'a ramenée dans la paix.

mardi 16 juin 2015

« Arrêter de se juger, de se critiquer... »






Après une courte nuit de cinq heures, je me réveille avec une douleur aigüe dans le dos, juste au niveau du cœur. La journée d’hier a été comme ces derniers temps, enthousiaste le matin est le découragement qui s’installe au fil du temps. Puis bien évidemment, comme je n’y adhère pas bien qu’en ces moments, il me soit impossible de voir plus loin, je trouve la paix.
Je porte mon attention sur le chakra racine depuis quelques temps parce qu’il est une clef de guérison. L’ancrage est indispensable et ma difficulté à être présente en général, me motive à libérer la dépendance. Cette fois-ci, je suis bien décidée puisque ces médicaments me coupent du ressenti subtil, énergétique. Mais j'ai intérêt à la jouer fine!
Les pensées émotions qui avaient été bloquées dans l’inconscient refont surface mais comme je ne m’y attache pas, c’est supportable.

La seule chose à laquelle je m’accroche, si on peut dire, c’est l’amour, la tendresse, la douceur, que je peux ressentir quand je cesse de me juger.

J’ai fais une expérience intéressante hier lors de ma méditation libre, ces moments où j’essaie juste d’être attentive aux énergies en moi, au ressenti physique. 
Une sorte de désir que je suppose être la présence de l’énergie sexuelle a envahit mon bassin, mes reins, les ovaires même, comme une chaleur, une forme de plaisir que je me suis contentée d’observer, de ressentir, comme le suggère Marie Madeleine dans le message « sexe et amour », canalisé par Pamela Kribbe.
J’ai tellement pris l’habitude de tout intellectualiser par besoin de contrôle que je ne sais pas être tout simplement. Enfin ça me demande soit de prendre des cachets, soit de faire un effort de concentration, de revenir au cœur, à la sensation du corps pour justement ne plus ressasser. Le mental est beaucoup plus rassuré qu’avant mais l’équilibre est encore fragile.

« L'Amour » le groupe Miriadan via Magali





L'Amour est sans appel. L'Amour est sans limites, sans frontières, sans barrières.
 
L'Amour est un sentiment au-delà de toutes définitions. Il est Un et toute humilité. 

L'Amour vous porte sur son harmonique dans les dimensions de l'harmonie et de la complétude. 

Il vous entraîne vers des contrées lointaines au cœur de votre Centre, en Vous. 
 
Il est Essence de l'Un et pourtant il redéfinit sans cesse son appartenance. 

Car l'Amour est Liberté. 

Il est étrangeté par sa transparence et son indéfinissabilité. 

Il est ce que vous connaissez de mieux dans l'Oubli et le Partage.
 
L'Amour est une porte. Elle reste ouverte à l'Infini et accueille sans critères. 

Elle manie la Compassion et la Justice en se laissant traverser par les Vents des Envies. 

lundi 15 juin 2015

« Si la vie est un jeu, en voici les règles » Chérie Carter-Scott: Règle n°8 « Chacun de nous décide de ce qu’il fait de sa vie »





« Nous avons en main tout ce dont nous avons besoin. Reste à savoir ce que nous allons décider d’en faire ».

Chacun crée sa propre réalité. 
C’est à chacun de nous qu’il appartient d’écrire le scénario de sa vie. 
Certains en doutent, et renoncent à ce droit imprescriptible, en prétendant qu’ils n’ont pas la possibilité de faire ce qu’ils veulent parce qu’ils n’en ont pas les moyens. 

Ceux-là négligent une vérité fondamentale : ce ne sont pas les moyens extérieurs qui déterminent nos succès et nos échecs, mais notre foi en nous-même et notre volonté de rendre notre existence conforme à nos aspirations les plus hautes.

Libre à vous de vous réfugier derrière les prétextes les plus futiles, du genre : « Je n’ai pas pu le faire, parce que… ». 
Vous pouvez aussi choisir de prendre votre existence en main et de la modeler selon vos désirs. 
Vous pouvez laisser les circonstances, votre apparence physique, l’état de vos finances ou vos origines familiales dicter votre destinée, ou bien vous pouvez transcender vos limites et faire en sorte qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire dans votre vie. 
Les « oui, mais » ne conduisent nulle part, ils ne font que renforcer le sentiment de votre impuissance. Ignorez vos limites, et le monde répondra en conséquence.

dimanche 14 juin 2015

« Sexe et Amour » Pamela transmet Marie Madeleine






Traduit de l'Anglais par Christelle Schœttel
Chers hommes et chères femmes, je vous salue. Je suis ici parmi vous en tant qu'âme, femme et sœur. Je suis en unité avec vous, et comme j'ai été humaine, je connais de l'intérieur tous les sentiments que vous éprouvez aujourd'hui. Ils ne me sont pas étrangers.

Ce qui me frappe le plus, à présent que je regarde la Terre depuis ce côté-ci, c'est le caractère précieux de cette vie sur Terre. La vulnérabilité de l'être humain, la peine et les blessures que vous endurez autant que votre courage incroyable, votre désir persistant d'amour et de lumière, votre persévérance et vos joyeuses victoires. 
C'est cela qui pour moi caractérise la vie sur Terre. Je vous vois tels des anges courageux qui prennent sur eux cette expérience, cette aventure.

Lorsque vous descendez dans la vie terrestre, presque toujours vous provenez d'une sphère qui vibre à une fréquence plus élevée que celle où se trouve la société humaine. Quelque part au fond de vous, vous dites "oui" au fait d'affronter cette énergie terrestre. Vous prenez la décision de vous lancer dans cette danse avec la vie terrestre, qui est en partie une danse avec l'ombre, la peur, la résistance, la solitude, et le sentiment d'être perdu. Vous prenez ce risque et je peux maintenant voir pourquoi. 
En dépit de la souffrance, des efforts, de la lourdeur, il n'y a aucun autre lieu aussi profond, aussi riche, aussi intense que celui où vous êtes incarné dans la matière, la forme.

« La tendresse et la joie des retrouvailles »





Réveillé dans la joie d’être, la méditation de Deepak Chopra a révélée la part en moi qui ne croit pas au fait que je sois tout comme vous, un être d’amour et de lumière. 
Je n’ai pas essayé de la nier, de la rejeter, de faire comme si je ne l’entendais pas, je l’ai accueillie à bras ouvert et j’ai demandé, à la terre et au soleil de lui témoigner de l’amour, lors de ma méditation personnelle face au soleil. 
Je peux ressentir facilement les énergies de la terre et celle du soleil à travers mes mains tournées en leur direction et les frissons qui m’ont parcourus m’ont confirmé la bonne volonté qui s’installe en tous les aspects de l’être à vivre dans l’harmonie, l’entente, la compréhension, la compassion. 

Sur le trône, je me suis adressée à l’adolescente rebelle, désillusionnée, en lui témoignant toute ma compassion, en lui disant que je comprenais tout à fait son point de vue et je lui ai dit à quel point elle est précieuse pour moi. 
Je l’ai invitée à participer activement à la création du quotidien, à apporter ses dons, ses talents, ses énergies, dans la réalisation de l’harmonie interne, que sans elle, l’ensemble que nous formons n’était pas complet.

C’est la première fois que j’ai cet élan assuré, au lieu de prendre un bout de cachet. 
Toutes les brûlures intérieures ressenties me sont apparues sous la forme de cet adolescente que j’étais et en me mettant à sa place, en revivant ce qu’elle ressentait, pensait, dans les moments de désespoir, j’ai pu éprouver cette compassion qui donne envie de prendre dans les bras cette souffrance légitime.