La nuit a été très courte mais je ne me fais pas de souci parce c’est attendu. Le sevrage perturbe le système endocrinien, les glandes qui régulent le sommeil.
J’avais
négligé l’étude du corps humain dans l’enfance, comme pour marquer mon
désintérêt, mon dégoût même à son égard mais maintenant j’ai pris conscience de
l’importance de la relation à soi, de l’incarnation, de la chair.
L’amour de soi se cultive par le respect de tous ses corps, le désir d’harmonie, de paix intérieur qui se concrétise par des gestes, des attentions précises, l'écoute du corps physique, de ces pensées, le dialogue avec les cellules...
L’amour de soi se cultive par le respect de tous ses corps, le désir d’harmonie, de paix intérieur qui se concrétise par des gestes, des attentions précises, l'écoute du corps physique, de ces pensées, le dialogue avec les cellules...
Définir
l’état d’esprit dans lequel on veut vivre est essentiel et je pense savoir
pourquoi la journée d’hier a été si difficile. J’ai un peu bâclé mes rituels du
matin et c’est ce qui me permet de constater et donc d’affirmer à quel point il
est important de démarrer la journée dans les meilleures conditions, de
retrouver la conscience de qui nous sommes et de nous souvenir de la reliance
avec la terre, le ciel et les autres.
J’ai
donc décidé de pratiquer l’ancrage, le centrage et la connexion au divin
intérieur avec attention et une intention déterminée de façon à commencer la journée dans les
meilleures conditions.
J'ai eu beaucoup de mal à ne pas m'identifier aux émotions hier parce que je n'ai pas pris le temps de les accueillir comptant sur l'effet des cachets pour gérer les choses. Pour ne plus les sentir en fait, pour les remplacer par la joie de l'audace, de la fausse assurance en soi. Et je peux
voir la différence, combien la journée d’hier a été vécue dans la peur, et comment
celle d'aujourd'hui a été beaucoup plus calme, pacifique et pourtant, jusqu'à ce midi, rien de ce qui me tracassait la veille n'avait trouvé de solution.
Sauf le lâcher prise, le fait de faire confiance malgré tout qui m'a ramenée dans la paix.
Sauf le lâcher prise, le fait de faire confiance malgré tout qui m'a ramenée dans la paix.
Si je laisse les produits définir mon état d’être, puisque je sais comment ils agissent sur moi, je serais soumise aux fluctuations de leur effet tandis que si je me situe sur les fréquences de l’amour, de la paix et de la joie, par mes rituels quotidiens, je ne laisse pas l’extérieur, que ce soient les médicaments ou les autres, influer sur mon état d’esprit et encore moins mes pensées émotions.
Je
suis déterminée à ne plus me cacher derrière l’addiction aux cachets mais pour
cela, il me faut agir en conscience et me donner toutes les chances de
réussite.
Se connecter au soi, à son cœur et à l’amour est plus efficace lorsqu’on
est en paix, lorsqu’on n’est pas traversé par des pensées émotions même si le
contraste dans le processus alchimique permet d’en vérifier l’efficacité, je n’ai
plus besoin d’être convaincue, c’est maintenant devenu une vérité approuvée,
validée par le mental.
Ce
qui veut dire qu’il n’oppose plus de résistance et pour cette raison, il m’est
plus facile d’anticiper, de préparer le terrain.
Se
libérer d’une dépendance demande de devenir conscient de l’effet des produits,
de la différence d’état d’esprit dans lequel on se trouve avant, pendant et
après l'avoir avalé.
Puis on pourra savoir quand nous sommes prêts à la lâcher lorsqu’on s’aimera mieux dans les moments où nous sommes nous-même.
Puis on pourra savoir quand nous sommes prêts à la lâcher lorsqu’on s’aimera mieux dans les moments où nous sommes nous-même.
Quand les avantages sont moins
évidents, quand les inconvénients sont perçus, et je ne parle pas de la
culpabilité qui vient tout fausser, on peut savoir que le mental est prêt à
lâcher ce comportement.
Mais
il faut l’aider et en prenant le temps de se connecter au divin en soi, on
retrouve la conscience de qui nous sommes, le soutien de l’âme, de l’amour
lumière en nous et la guidance sera plus perceptible.
Il
y a quelques règles à suivre pour se donner toutes les chances de réussite :
Prendre
l’engagement de se centrer en son cœur, d’unifier ses corps, de se connecter au
ciel, à la terre, au soi.
Penser
à revenir au cœur en toutes circonstances et ne pas attendre d’être mal pour le
faire, ne pas attendre d’en avoir besoin.
Parce que dans ces moments là, on n’est
plus dans la conscience de qui nous sommes, mais dans l’état de victime qui se
croit lésée et qui demande de l’aide au divin intérieur avec un état d’esprit rempli d’amertume, de colère et de reproches à l’égard de cet
aspect de soi.
On se place en position d’infériorité, ce qui nous dissocie de l’être
véritable ; on se voit comme séparé de notre propre essence amour lumière et bien
évidemment on aura beaucoup de mal à percevoir ces énergies.
Puisque c’est en étant en paix, dans l’amour
vrai de soi, qu’on peut effectivement sentir cette étincelle divine, le fait de
s’en croire séparé nous en éloigne.
En plus, on sera déçu de ne pas pouvoir
voir cet aspect de nous-même parce que notre besoin est émané depuis le mental,
on sera dans l’attente de percevoir avec nos yeux, le divin que nous sommes. L’image
mentale est une illusion parce que ça n’est que notre imagination qui la forme.
L’impact du ressenti, de l’amour et la paix perçus depuis le cœur, est beaucoup
plus puissant et vrai que toute forme ou image mentale. Justement parce que l’image
est une projection, une illusion.
Comme
j’étais mal hier, j’ai commencé à accuser l’extérieur, les chemtrails, qui
certes passent tous les matins et même parfois la nuit, ce qui créé des vents
subits et violents, des averses orageuses excessives, de la grêle, des
changements brusques de température.
C’est une réalité incontestable mais si je
les accuse de bouleverser mon état d’esprit, je leur donne mon pouvoir en
perdant la conscience du divin en moi.
Rien
ni personne ne peut décider comment je vais réagir, je suis la seule à pouvoir
faire cela. C’est là que se situe mon pouvoir.
Or je sais que si j’accuse l’extérieur,
je remets mon pouvoir entre les mains des autres, des circonstances et en
affirmant mon statut de victime, c’est exactement ce que je vais vivre,
ressentir. L’univers répondra à mon appel, à mes émanations énergétiques en me
faisant vivre des situations où je serais effectivement abusée, lésée,
maltraitée. C’est un cercle infernal mais je peux aussi vérifier mon pouvoir d’attraction
en constatant les faits, en voyant combien mon état d’esprit influence
directement ma vie. Mais en fait c'est ma vision des choses qui sera faussée parce qu'alors, elle ne tiendra pas compte de l'autre, mon point de vue sera purement égotique, à sens unique.
On
dit « Il vaut mieux prévenir que guérir » alors je prends l’engagement
d’utiliser tous les « outils » qui sont à ma disposition, pour me
connecter à ma vérité, celle de l’être divin que je suis, celle de mon âme et de
l’amour lumière qui sont les énergies fondamentales de mon être.
Pour devenir
conscient de cette réalité, il me faut avoir de l’amour pour tout ce que je
suis, cesser de me juger, de m’invalider lorsque je cafouille, revenir au cœur pour
que ma vision soit objective.
Prendre
le temps de respirer quand je sens que ça bouscule à l’intérieur, quand les
pensées deviennent confuses, quand je commence à accuser l’extérieur ou
moi-même.
Ce sont des signes qui m’invitent à revenir faire l’expérience de la paix
en moi, de l’amour.
Pour
le mental, il s’agit de rétablir justice, c'est-à-dire que s’il ressent une émotion
négative, il voudra éprouver le contraire, vivre une émotion positive. C’est
alors qu’on se croit victime, qu’on pense être maltraité par la vie, par le
divin alors que nous sommes mal simplement parce que nous sommes identifié à
notre mental.
Si nous demandons au divin intérieur d’éprouver de la joie alors
qu’en dedans il y a de la tristesse, nous agissons injustement, faussement et c’est
notre mental qui va alors demander, exiger même, réparation.
Ce n’est qu’en
venant en notre cœur jusqu’à ressentir la paix que nous faisons l’expérience du
divin, de l’amour que nous sommes.
« L’amour est sans appel », c’est
la première phrase du message de Miriadan que j’avais du mal à comprendre avec
le mental. Il me semble que ce soit plus clair ce matin.
L’amour est en nous, on le ressent lorsqu’on l’émane, lorsqu’il est en mouvement, que ce soit envers un des aspects internes ou vers l’extérieur, il faut qu’il se meuve, qu’il rencontre un « autre » et revienne amplifié vers notre cœur pour que nous puissions le ressentir.
En aucun cas, il ne peut être perçu s’il est
immobile. De toute façon comme c’est une énergie, si elle n’est pas en
mouvement, elle se meurt.
L’amour est sans appel parce qu’il ne se commande
pas, il est inutile de l’appeler parce que c’est justement une énergie, une onde et pas
une pensée.
L’appeler c’est nier qu’on le porte en soi, c’est croire qu’il est
en dehors de nous, que nous en manquons. Et ça n’est pas parce que nous
éprouvons le besoin de le sentir qu’il n’est pas présent, c’est juste que nous
ne le reconnaissons pas. Nous ne le reconnaissons pas parce que nous ne portons
pas notre attention en notre cœur, parce que nous sommes identifiés à nos
peurs, à l’idée de manque.
Puis
lorsque nous venons en notre cœur, c’est une énergie subtile que nous allons ressentir,
elle s’apparente à la paix et n’a rien à voir avec les émotions qui elles sont
spectaculaires, exacerbées.
Le
cœur n’est pas dans la dualité, il n’y a pas ces polarités, ces extrêmes, au
contraire, c’est l’unité et la sérénité et pour baigner en ces énergies, il
nous faut abandonner tout jugement, toute critique, toute tension et volonté d’être
bien par opposition au mal-être, d’être joyeux au lieu d’être triste...
Bon,
le soleil est là, et comme il y a aussi beaucoup de nuages en bandes parallèles,
il risque d’être encore caché, profitons de sa présence dans l’instant.
Cette
fois-ci, je me suis ancrée, connectée et centrée puis j’ai posé mes mains sur
chacun de mes chakras afin de projeter les énergies d’unité, d’amour et de
paix.
C’est
un des avantages, une des motivations pour lâcher la dépendance, je peux sentir
l’énergie, être plus sensible à son mouvement, sa présence.
De cette façon, je
passe du monde du mental, à celui de la perception.
J’étais
aussi perturbée par le fait que je sois encore le cul entre deux chaises, que
je sois convaincue du divin en soi mais pas suffisamment pour l’affirmer au
monde. Il ne s’agit pas de le clamer sur les toits mais de pouvoir se
positionner, choisir de suivre son cœur, son intuition plutôt que la peur.
Bon
mais là, j’anticipe pour le moment, il s’agit de choisir de manifester l’amour vis-à-vis
de moi-même, de cesser de me critiquer, de me coller la pression, de me faire des
reproches mais au contraire, de prendre soin de moi, en libérant la peur, la
culpabilité, le jugement et en maintenant l’unité intérieur quoi qu’il arrive.
C’est ce que j’ai pu vérifier aussi hier, tout a un sens.
J’ai pu
voir que lorsque je demandais à mes corps de s’unir, de rester solidaire, de se
soutenir mutuellement, quelque chose en moi se détendait et la confiance
revenait.
Le pouvoir de l’intention est immense et il surpasse le verbe.
On
peut proclamer quelque chose et porter son contraire.
Pour être sûr de la
qualité de notre intention, là encore, il suffit de revenir à la paix en soi.
Le langage choisi, raffiné, les jolis mots, les grands discours aussi éloquents soient ils, n’ont aucun pouvoir réel sinon celui de nous éloigner de la
vérité, de notre être naturel, authentique.
Notre âme s’exprime en vérité, avec
sincérité et lorsque la paix est en soi, le langage est naturellement,
spontanément, mélodieux, sans être flatteur.
Un cri sincère est parfois plus
proche de notre âme qu’un poème ou une prière récités par cœur.
Bon,
je dois aller chez le toubib à 11h15 et je veux aller au jardin avant., profiter du soleil. Il y a trop de vent pour aller en ville à vélo. C’est à deux kilomètres et
je n’ai pas trop envie d’arriver en sueur dans le cabinet du toubib.
J’ai
passé quelques temps au jardin et me suis renseignée auprès des voisins à
propos du mécano. En repensant à la conversation que j’ai eue avec la voisine à
ce sujet, je me rends compte que j’ai projeté mes peurs au travers de mon
discours, de mes jugements à l’égard de cet homme.
Sur le moment, j’étais
convaincue d’avoir raison et ça n’est que maintenant après avoir repassé le
film que je vois le processus qui me confirme que tout jugement, que ce soit
envers soi ou envers les autres, est un pur produit de la peur.
Même si mes
arguments tenaient la route, c’était vraiment un point de vue très subjectif et
même égocentrique de la situation. Il y a une différence énorme entre l'évaluation et le jugement. L'évaluation est neutre, on voit ce qui est de façon objective ou selon nos préférences mais le jugement amène à dévaloriser, critiquer l'autre.
Si je n’avais pas accordé foi à la peur, j’aurais
pu voir le côté quasi miraculeux de la situation puisque la voiture sera réparée
demain, à moindre coût. Là encore, la vie veut me montrer la puissance de la psyché,
de la peur mais aussi celle de l’amour et de la lumière qui éclairent les situations,
permet de les voir sous un nouveau jour et même de les changer.
En
revenant de chez le toubib, j’ai pensé combien j’avais changé en quelques
années ! Même si au jour le jour, on n’a pas l’impression de progresser,
on évolue quand même.
Je n’ai plus besoin de me couper des autres pour me
sentir en sécurité.
Lorsque j’étais plus jeune, je le faisais avec les drogues
mais aussi le walkman puis ensuite, je suis passée à la lecture et j’emmenais
toujours un livre avec moi, au cas où j’aurais à attendre. Je prenais toujours un
médicament dans mon sac en cas de panne, de stress. C’est assez récent de ne
plus amener de boîte de médicament mais ça démontre vraiment que le besoin de
se protéger diminue considérablement.
La journée se déroule d’une façon totalement opposée à celle d’hier, je me suis un peu énervée, disons que je n’ai pas bloqué les émotions mais je peux voir que le fait de s’ancrer, de se centrer, de se connecter, avec conviction, change véritablement les choses. Et je n’ai pas encore écouté la méditation guidée de Deepak Chopra !
La journée se déroule d’une façon totalement opposée à celle d’hier, je me suis un peu énervée, disons que je n’ai pas bloqué les émotions mais je peux voir que le fait de s’ancrer, de se centrer, de se connecter, avec conviction, change véritablement les choses. Et je n’ai pas encore écouté la méditation guidée de Deepak Chopra !
J’ai demandé à mon mental d’être concentré, de réfléchir à des stratégies évolutives. Bien que ce soit la conscience qui éclaire, c’est une façon de déstresser, de dire à l’ego de ne plus agir sur un mode défensif, de se recentrer.
Cette façon de nommer l’intellect donne un peu l’impression d’être double mais comme les médicaments me coupent de mes émotions, m’empêchent d’être présente à ce que je fais, ça m’aide et en même temps, ça me motive à persévérer, à garder la volonté de m’en libérer.
Ce n’est pas si évident de se défaire d’un masque, d’une habitude, d’une façon d’être mais c’est possible avec de la patience et de la persévérance.
Le truc c’est d’être attentif à ne pas se déresponsabiliser, à ne pas retomber dans l’accusation, dans l’inconscience, dans le rôle de la victime.
La cane qui vient tous les ans au printemps et pondait des œufs qui n’écloraient jamais, nage sur le canal avec trois canetons. Je les ai un peu effrayé alors j’ai limité les prises de vue. C’est encore un beau clin d’œil de la vie puisque c’est la première fois qu’elle est mère, en cinq ans.
Le
soleil est resplendissant et il n’y a pas un nuage, pas un passage d’avion à l’horizon ! Le vent les a balayé. Ça aussi, ça fait du bien, l’ambiance en ville n’était pas du tout la même !
J’ai
regardé deux films des années soixante dix, hier soir, que je n’avais pas vus à
l’époque et ça n’a pas soulevé d’émotions négatives, d’images ou de souvenirs
douloureux malgré les images de mon enfance et le contenu qui dans les deux
aborde le thème des manipulations, des stratégies mais sur un ton humoristique.
Le
fait de m’autoriser à la détente m’a fait beaucoup de bien. J’avais entrepris de
suivre une conférence de Yann Lipnick qui parlait des anges, des être invisibles,
mais j’ai laissé tomber à cause de la mauvaise qualité du son.
Pas de hasard ! J’ai bien fait de suivre l’élan ! Ça ne me correspond plus du tout. Je remarque que ce genre de choses m’attire quand je perds la connexion au divin intérieur, quand je ne sens plus la paix et cherche à fuir, à changer ce qui est. Lorsque je m’identifie aux pensées émotions et que je tente de me raccrocher à des croyances.
Une croyance est une chose à laquelle on croit, une chose dont on n’a pas fait l’expérience ; on y croit parce ce qu’on fait confiance à la personne qui nous en parle.
Je n’ai jamais vu d’entités, d’elfes, de lutins…ma foi vient de ressenti, d’expériences vécues comme la guérison spontanée des deux hépatites, la façon dont ma vie change selon mon état d’esprit mais les croyances sont des interprétations de ce qui est vécu, de ce qui est mystérieux, c’est très subjectif. Le divin n'est pas le mental, l'ego, même si celui-ci peut être illuminé.
La conscience divine ne juge pas.
Le mental est un outil de perception, d'interprétation, d'évaluation que la personnalité, l'ego, utilise comme un moyen de défense.
L'ego est la personnalité construite sur la peur, l'instinct de survie, dans l'ignorance de la nature divine de l'être.
En aimant chacun d'eux, une sorte d'association, d'unité se créé.
En n'accusant pas ni l'outil; le mental, ni la personnalité; le moi de défense, l'amour restaure l'intégrité, la justice et la lumière, la conscience divine s'associe au cœur.
Tous deux prennent en charge la personnalité qui sera guidée dans l'amour, la paix et la lumière, capable de voir quand elle agit dans la peur et de revenir à l'amour, au centre.
Pas de hasard ! J’ai bien fait de suivre l’élan ! Ça ne me correspond plus du tout. Je remarque que ce genre de choses m’attire quand je perds la connexion au divin intérieur, quand je ne sens plus la paix et cherche à fuir, à changer ce qui est. Lorsque je m’identifie aux pensées émotions et que je tente de me raccrocher à des croyances.
Une croyance est une chose à laquelle on croit, une chose dont on n’a pas fait l’expérience ; on y croit parce ce qu’on fait confiance à la personne qui nous en parle.
Je n’ai jamais vu d’entités, d’elfes, de lutins…ma foi vient de ressenti, d’expériences vécues comme la guérison spontanée des deux hépatites, la façon dont ma vie change selon mon état d’esprit mais les croyances sont des interprétations de ce qui est vécu, de ce qui est mystérieux, c’est très subjectif. Le divin n'est pas le mental, l'ego, même si celui-ci peut être illuminé.
La conscience divine ne juge pas.
Le mental est un outil de perception, d'interprétation, d'évaluation que la personnalité, l'ego, utilise comme un moyen de défense.
L'ego est la personnalité construite sur la peur, l'instinct de survie, dans l'ignorance de la nature divine de l'être.
En aimant chacun d'eux, une sorte d'association, d'unité se créé.
En n'accusant pas ni l'outil; le mental, ni la personnalité; le moi de défense, l'amour restaure l'intégrité, la justice et la lumière, la conscience divine s'associe au cœur.
Tous deux prennent en charge la personnalité qui sera guidée dans l'amour, la paix et la lumière, capable de voir quand elle agit dans la peur et de revenir à l'amour, au centre.
Vous
pouvez diffuser ce texte à condition d’en respecter l’intégralité, de ne rien
modifier (sauf correction des fautes d'orthographe), de citer l’auteur :
Lydia Féliz, ainsi que la source : http://lydiouze.blogspot.fr et ces trois lignes. Merci