mardi 2 juin 2015

« On ne rencontre jamais de difficultés mais plutôt des occasions de grandir » Lise Bourbeau






Nous vivons tous des moments où la vie semble être contre nous. Certains se demandent même ce qu’ils ont fait au bon Dieu pour vivre autant d’épreuves. 
En réalité, il n’existe pas de Dieu qui s’amuse à punir ou à éprouver les humains. 
Dieu est tout simplement l’énergie créatrice de chacun d’entre nous qui expérimente à travers tout ce qui vit.

Quand vous qualifiez les moments moins agréables – qui sont parfois très difficiles à accepter – d’ÉPREUVES, de DIFFICULTÉS, d’INJUSTICES, de MISÈRES, d’OBSTACLES ou de PUNITIONS, vous faites perdurer la situation

Cependant, il est normal d’avoir une réaction négative quand un problème arrive soudainement ou lorsque plusieurs surviennent en même temps.

Le but de cet article est de vous aider à sortir d’une situation désagréable le plus rapidement possible. 
C’est en changeant votre attitude intérieure face à celle-ci que vous y parviendrez. 
Ainsi, en la qualifiant d’OCCASION POUR GRANDIR, POUR APPRENDRE QUELQUE CHOSE D’IMPORTANT POUR VOUS, vous verrez la situation différemment.

« La réconciliation avec tous les aspects de l’être, c’est la pure manifestation de l’amour lumière que nous sommes éternellement »






Ce matin, je suis remplie de gratitude et c’est tout naturellement pour cette raison que j’ai publié ce premier article plein de sagesse, d’amour et de lumière. La journée d’hier a été très riche d’enseignements, par l’acceptation de ce qui est, ce regard bienveillant sur soi qui permet de voir la lumière en toutes choses. 
C’est vrai que sur le moment, ça n’est pas des plus confortables mais si on accepte d’être traversé par des pensées émotions sachant qu’elles se montrent juste pour être embrassées et ainsi libérées, on facilite grandement l’intégration de l’amour, de la grâce. 

La souffrance vient toujours du fait de refuser ce qui se manifeste dans l’instant, soit en soi, soit au dehors. Ce qui nous dérange à l’extérieur est une invitation à sonder notre cœur, nos profondeurs et on y trouve toujours la sagesse, la Vie.

La confiance en soi se bâtit ainsi au travers des yeux du cœur. L’amour est pure tendresse, gratitude, joie de vivre, enthousiasme, innocence et comme cette énergie est indissociable de la lumière, comme elle est lumière, la sagesse l’accompagne ; elles se révèlent mutuellement. La lumière, c’est la connaissance pure, celle de notre être tout entier, celle qui nous permet de voir ce qui est, dans toute sa splendeur, sa vérité parfaite. 

Bien que l’amour soit tendresse et compassion, il n’a rien à voir avec la complaisance, la flatterie, il n’a rien à vendre mais tout à offrir. Il permet de voir ce qui est, sans peur, sans culpabilité, sans émotions.

« La portée du 4 » Magali, enseignante-guérisseuse






La Création est issue de l'Un.

Lors de l'émanation des premières consciences de Vie, les Soi ou Éons ressentirent un profond sentiment de Gratitude envers leur Père/Mère. 
Ils se mirent à chanter devant la Grandeur et la Profondeur de l'Amour. 
La Gratitude fut/est le premier élément sur lequel s'appuya la Volonté des Soi de répondre au souhait de l'Un : explorer chaque parcelle de Lui/Elle afin d'exprimer leur Amour. 

La portée de la trinité, du 3, sur laquelle nous sommes nous apprend à revenir au Centre
Elle nous enseigne que tout est Juste et que nous sommes dépositaires d'un merveilleux cadeau : la reliance à notre Essence divine, à l'Un.

La portée du 4 fait appel à nos compétences d'Aventuriers, à tourner notre regard vers nos origines : la Gratitude. 
 
Dans la fréquence de la trinité, nous appréhendons ce sentiment en cheminant vers la Paix et la Joie. 
Nous projetons à l'extérieur afin d'expérimenter des émotions et des sentiments

lundi 1 juin 2015

« Apaisez les turbulences de votre mental grâce à la Focalisation » Dr Véronique Baudoux






Votre cerveau surchauffe à force de faire des heures supplémentaires ?
Vous aimeriez pouvoir débrancher sur commande vos neurones hyperactifs ?
Vous ressassez, vous ruminez… ? Vos questions tournent en boucle et vos pensées tournent en rond ? 
Faire le vide dans votre tête vous semble aussi accessible que d’escalader l’Everest à mains nues ? 
Il est possible de calmer votre brouhaha intérieur et de découvrir les bienfaits d’un mental apaisé…
Je devine que vous allez me dire que vous avez tout essayé et que jamais vous ne parvenez à faire le vide dans votre tête…

Rassurez-vous, vous n’êtes pas la seule personne qui est confrontée à cette difficulté : durant les ateliers de développement personnel, c’est le principal problème que les participants rencontrent (même s’ils ne le disent pas tout haut).
Mais, le plus souvent, on vous dit « Faites le vide dans votre tête » et cela s’arrête là…

« Grosse fatigue…bonne détente »






Ce matin, je me sens toute bizarre, j’ai dormi longtemps comme hier et je n’arrive pas à être présente. Il y a tant de bouleversements physiques et émotionnels que je ne sais plus trop où j’habite mais ça ne m’angoisse pas. 
Le mental continue de cogiter à propos de tout et de rien et je me dis qu’il est temps de le questionner, de remplir les feuilles téléchargées hier sur le site de Byron Katie. 
Mon intérêt accru pour son travail fait ressortir des peurs et des questions à propos du sens même de la vie. 
Comme si tout ceci était une immense farce et que je m’accroche à mon passé pour exister, comme si sans lui tout allait s'écrouler. 
La peur de n’être rien m’empêche de franchir le pas. 
La peur d’oser tout lâcher, les préjugés, les croyances. 
Une part de moi n’en peut plus de vivre à moitié et l’autre s’accroche à ce qui ressemble de plus en plus au film, "un jour sans fin". 
Je l’ai regardé hier soir, pour une fois, je ne suis autorisée à être ‘passive’, enfin si on peut dire parce que ça soulève aussi des questions. Je me rends compte que cette façon de cogiter semble donner un sens à ma vie, une façon de passer le temps, enfin de le rendre ‘intéressant’. Le hic, c’est que je ne vis pas dans la réalité, je ne fais pas grand-chose, je vis une vie entre deux états d’être. Deux identités, voire trois. Il y a Lydia du passé, Lydia du présent et Lydia du futur qui sont toutes aussi immatérielles les unes que les autres.  Comme si je n’arrivais toujours pas à m’incarner complètement, comme si je flottais sans arrêt entre ses lignes du temps. Les nuits depuis deux jours, sont longues et je me réveille plus fatiguée que lorsque je dors moins.

dimanche 31 mai 2015

« Si la vie est un jeu, en voici les règles » Chérie Carter-Scott Règle n°4 Une leçon se représente tant qu’elle n’est pas apprise







« Les leçons se répètent sous des formes variées tant qu’elles n’ont pas été assimilées. Une fois qu’une leçon est apprise, on peut passer à la suivante ».



Avez-vous remarqué que les mêmes leçons se répètent ? 
N’avez-vous pas constaté que vous avez aimé ou épousé plusieurs fois la même personne sous des apparences et des noms divers ? 
Ne vous êtes-vous pas heurté encore et encore au même patron ? 
Ne rencontrez-vous pas des problèmes relationnels similaires avec des collègues différents ?

Dans le film intitulé "Un jour sans fin", Bill Murray interprète un personnage qui se réveille tous les matins à la même date (le jour de la fête de la marmotte) et qui revit la même journée jusqu’à ce qu’il ait assimilé les leçons qu’elle lui réserve. 
Les mêmes évènements se répètent jusqu’à qu’il trouve la bonne façon de les gérer. 
Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?

Les leçons se répètent à l’infini, jusqu’à ce qu’elles soient apprises.
La même leçon, encore et encore, viendra frapper à votre porte. 
Vous susciterez autour de vous des « professeurs » qui vous répèteront la leçon jusqu’à ce que vous l’ayez assimilée. La seule façon d’y échapper, c’est de changer votre façon de voir les choses et de tenir compte de cet enseignement. Inutile de chercher à éluder, la leçon vous rattrapera un jour ou l’autre.

« La face sombre des chercheurs de lumière » résumé-traduction (fin) du livre de Debbie Ford par Geneviève Lebouteux





Complément n° 2 Une belle histoire indienne...
Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux deux extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'a la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.
 
Cela dura deux ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau a chacun de ses voyages.
 
Bien sur, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abimée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la moitié de ce dont elle était censée être capable.
 
Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source :
"Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"