mardi 21 avril 2015

« 10 signes qui indiquent que notre ego nous contrôle » Diane Gagnon





La plupart d’entre nous avons de la difficulté à identifier quand c’est notre ego qui prend le contrôle de nos réactions. Nous aimerions croire que notre ego n’est pas si imposant que ça et qu’il n’apparaît que rarement dans notre vie.

Pourtant, les signes suivants indiquent toujours que c’est notre égo qui nous dirige :

Quand nous cherchons à avoir raison;

Quand nous bâtissons des scénarios dans notre tête;

Quand nous nous sentons attaqués, que nous sommes susceptibles;

Quand nous jugeons, les autres ou nous-mêmes;

Quand nous nous comparons en nous croyant supérieurs ou inférieurs;

Quand nous sommes en colère et que nous n’en sortons pas, que nous cultivons notre vengeance ou préparons notre réponse;

lundi 20 avril 2015

« La part d'ombre du chercheur de lumière » résumé-traduction du livre de Debbie Ford par Geneviève Lebouteux (7è partie)





Chapitre 8 : "Se voir autrement"

Quand il est laissé à lui-même sans être guéri, le passé va détruire nos vies. 
Nous pensons que nous en avons assez de ce monde, que nous voulons le changer. 

Mais c’est nous qui avons besoin d’être changés. Nous en voulons à nos parents de nous avoir réprimés dans notre enfance mais en fait nous sommes en colère contre nous-mêmes de perpétuer cette répression.

La force pour regarder clairement dans notre passé et ramener les aspects de nous-mêmes que nous avons abandonnés, existe au fond de nous

Tout ce que nous avons à faire est de fermer les yeux, d’entrer en nous-mêmes et de demander. 

Le pouvoir dont nous avons besoin est là mais il ne sortira que lorsque notre désir de changer sera plus fort que notre désir de rester le même.

dimanche 19 avril 2015

« Les égrégores » Le groupe Miriadan via Magali & vidéo sur le même sujet





Fermez les yeux, très chers, et regardez le ciel. Plongez dans un monde de création qui vous est propre, car vous y retrouverez vos enfants.
 
Depuis la création de cette planète et l'arrivée d'éléments de vie conscients, vous avez généré des croyances et influé des émotions au sein même de ces pensées. A chaque fois, vous y avez déposé votre signature énergétique unique.
 
La joie, l'amour, la possession, la colère, la peur, la trahison, la déception, autant d'émotions et de sentiments porteurs des codes de la création.  
Lorsque vous exprimez une colère par exemple, vous créez en vous une graine énergétique qui, si elle n'est pas comprise et pacifiée, est libérée dans les éthers de votre planète. Cette graine est attirée irrésistiblement par les énergies similaires, et de graines en graines, un égrégore se forme, tel un corps humain se positionnant principalement sur ses réflexes.
 
L'égrégore est un amalgame de graines sur un thème commun, telles la haine ou la peur. Ensemble, elles génèrent une sorte de conscience de groupe qui comporte la signature énergétique de chaque être créateur de la graine personnelle. 
Et, parce que l'égrégore est une conscience de groupe, il est appelé lui-aussi à évoluer. 

« Les trésors, les cadeaux du pardon à soi et aux autres » & Lise Bourbeau, Shannon Port puis Musique




Ce matin, j’ai le cœur rempli de tendresse, de douceur et pourtant je me suis couchée très tard, un peu perturbée par ma façon un peu trop directe de dire les choses. J’ai écrit deux mails dans l’élan du moment, l’expression de l’enfant intérieur, qui m’ont laissé un goût amer, celui de la culpabilité.
Maintenant que je connais mieux l’effet des énergies, et la haute toxicité de certaines pensées-émotions, je ne laisse plus la culpabilité, la peur, la colère, le doute ou les regrets, cachés dans un coin et germer en moi. 
Non seulement parce que ça baisse mon taux vibratoire, ça me sape le moral, dans l’instant, mais aussi parce que ces graines laissées à l’abandon peuvent produire des fruits amers et des scénarios désagréables, entretenant le rôle de victime. 
De plus, ces énergies contiennent un message important, une clef de sagesse et un potentiel énergétique capable de nourrir la puissance, la créativité tout en remplissant l’être d’amour et de lumière, par l’alchimie émotionnelle qui restitue le pouvoir d’agir par l’équilibre énergétique et restaure l’intégrité de la personne.

Je me suis donc pardonnée de laisser mon enfant intérieur projeter les frustrations, les pensées, en direction des autres alors qu’elles s’adressent à moi principalement. Je dis 'principalement' parce qu’il semble logique, selon la loi d’attraction et de résonance, que ces mots s'adressent aussi à l'autre mais ça, ça ne m'appartient pas.
En faisant cela j’ai déjà pu dormir en paix et ce matin, écouter ses ‘secrets’, ses rêves frustrés, sa façon de voir la vie, juste en laissant monter en moi les pensées. Pour connaitre ce que je porte d’enfoui en profondeur, tout ce que mon mental à mis de côté afin de me protéger de la douleur, je me laisse guider par l’envie du moment et l'effet miroir ou la loi de résonance, sachant que l'autre me montre ce que je porte d'enfoui, de caché, tout comme je peux le faire. Dans tout échange, les deux sont éclairés, révélés et ça rétablit l'égalité entre tous et chacun.

samedi 18 avril 2015

« Projection-émanation, effet miroir et retours édifiants »





Projection-émanation ; tout ce que je dis, exprime, est "l’image", le reflet de ce que je porte, de ce qui est en moi, ombre ou lumière, c’est toujours un éparpillement qui dissimule un maque d'unité intérieure, d’amour, de confiance en soi, une envie ou un besoin de comprendre, de connaitre et de se reconnaitre. 
C’est un appel « au secours » déguisé derrière la projection qui interroge le miroir que sont les autres, la vie, l’invisible, tant que je suis dans le déni, le rejet de ce que je suis en vérité ou de la réalité mais qui devient un jeu, une piste aux trésors lorsque j’accepte les règles du jeu qui me mène alors vers la souveraineté, la maturité, l’unité…

Au passage, j’ai utilisé le "je" afin de prendre la responsabilité de mes émanations projections plutôt que de me cacher derrière le « on » de l’opinion publique.
En fait ce que je voyais comme de l’orgueil ; le fait de s’exprimer en "je", est un début de responsabilisation qui permet de se dissocier de la masse, de s’affirmer en tant qu’individu. Une étape indispensable pour ne plus se confondre, se perdre dans le reflet que nous renvoie l’extérieur et sortir des rôles de victime, bourreau, sauveur qui nous enferment dans le miroir, dans nos illusions, notre semblant de vie passée caché derrière des masques, afin de fuir la réalité, celle de notre monde intérieur qui nous effraie tout simplement parce que nous ne nous connaissons pas vraiment. 
Et surtout parce que nous pensons être nos peurs, nos pensées, les masques portés. 

Évidement, à l’intérieur, c’est un grand bazar, un jeu de cache cache où nous jouons à nous faire peur, juste pour se sentir vivant, important et ainsi attirer l'attention des autres.

« La quête de soi » Claudette Vidal





Vous êtes invité à lire ce texte avec votre cœur. 
Laissez-vous imprégner par ces mots, votre cœur les reconnaîtra. 
Si votre mental proteste, demandez-lui une trêve de quelques minutes, le temps de vous laisser toucher par une vérité que vous connaissez déjà. 
Vous êtes en exil dans votre ego ; la réunification est attendue d’un instant à l’autre.

Il existe un trésor inestimable d’une splendeur bien au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. Ce joyau est d’une beauté inimaginable, d’une vastitude infinie, Vous ne pouvez le capturer ni le posséder. Si vous le faisiez, cela le réduirait à l’état de quelque chose. 
Ce n’est pas quelque chose, c’est avant toutes les choses.

Vous ne pouvez voir ce joyau car ce n’est pas un objet, c’est un sujet.
Ce sujet c’est VOUS. Vous Lumière et Amour. Vous la Totalité.
Toute manifestation est votre expression.
Rien de ce qui existe n’est étranger à vous, tout est en vous et par vous.
Avez-vous réalisé cela ?

vendredi 17 avril 2015

« Quittez cette énergie de victime » Caroline MYSS





La crainte d’être victime est courante. 
L’archétype de la Victime peut se manifester la première fois que l’on n’obtient pas ce qu’on veut ou ce dont on a besoin ; que l’on est maltraité par un compagnon je jeu, un frère ou une sœur, un professeur ; ou que l’on est accusé ou puni injustement. 

On peut réprimer son indignation devant l’injustice si le persécuteur est plus grand et plus fort que soi. Mais à un certain moment, on découvre un avantage pervers dans le rôle de Victime. On craint peut-être de se faire entendre, ou bien on apprécie la sympathie des autres. La question fondamentale, pour la victime, c’est celle-ci : vaut-il la peine de céder son propre sentiment de pouvoir pour éviter de prendre la responsabilité de son indépendance ?

Bien des gens décrivent leur Victime comme étant leur aspect le plus vulnérable ; 
« J’avais l’impression qu’on m’avait entraîné à être une victime, dit Tim, en m’enseignant à ne jamais me défendre, ou plutôt à éviter les conflits. 
Il est sûrement plus sage d’éviter les conflits, mais seulement si vous savez que vous pouvez vous faire entendre au besoin. Sinon, vous prenez la fuite, et j’ai toujours eu l’impression de fuir quelque chose ou quelqu’un. Un jour, dans un magasin, la caissière s’est trompée en me remettant la monnaie. Je lui avais donné un billet de cinquante mais elle m’a remis la monnaie d’un billet de vingt. Mais je suis resté sans rien dire.