lundi 19 janvier 2015

« 3D, 4D, 5D et 6D » selon Serge Grenier






« Je vois dans beaucoup de vos textes* des références aux dimensions : 3D, 4D, 5D et 6D…
Mais j’ai une nouvelle vision des dimensions à vous proposer.
Je crois que cette vision est plus compatible avec votre message que la vision actuelle…
Serge Grenier
  
Imaginons une réunion de Dieux où arrive un petit nouveau qui dit :
Moi aussi je peux créer un univers. Regardez…
Il prend une grande respiration et crée une première dimension : la hauteur.
Voyant que les autres Dieux ne sont pas particulièrement impressionnés, le p’tit nouveau prend une autre grande respiration et crée une deuxième dimension : la largeur.
Toujours aucun intérêt de la part des autres Dieux.
Alors, il prend bien vite une autre profonde inspiration et crée la troisième dimension : la profondeur.
Et voilà mon univers s’écrit-il tout fier de lui !
Mais les autres Dieux se détournent et considèrent le petit nouveau comme un simple d’esprit.
L’un d’eux le prend à part et lui explique comment il faut s’y prendre :

« De l’individu à l’Etre Universel... »





C’est une matinée très étrange ! Je me suis levée une première fois à 5h puis recouchée tellement je me sentais mal. Déjà au réveil, j’avais mal aux hanches et la sensation de m’être battue durant la nuit. Je suis réveillé plusieurs fois en sueur et une envie de pleurer dès le matin m’a poussée à retourner au lit en demandant à la source de rétablir l’harmonie intérieure. 
Deuxième réveil plus léger mais cette foi-ci, la chape de plomb, grise, chimique, ne laisse pas apparaitre la lumière du soleil. Vous allez me dire, c’est normal puisqu’il pleut. Oui mais, ce faux plafond a été posé hier soir et ce matin, la lettre d’infos du site « "Le ciel nous tombe sur la tête" », aborde le point de vue, d’une façon nouvelle. Du mien, c’est encore la projection de nos comportements individuels additionnés et un sujet à traiter de l’intérieur.
Combien d’entre nous, humains, font appel à la chimie, à des produits, des drogues, pour résoudre leurs problèmes d’humeurs, leurs insomnies, leurs peines, leurs douleurs et s’abandonnent complètement au pouvoir des laboratoires pharmaceutiques ? 
Combien de nous espèrent que la science produise des miracles, rallonge le temps de vie? Combien ont recours à la chirurgie plastique, esthétique, combien se nourrissent de plats tous préparés, de produits dénaturés ? …
Autant d’individus qui placent leur pouvoir dans les mains des puissants tout en critiquant leurs stratégies.  
Je ne suis pas en train d’accuser tout le monde parce que je sais de quoi je parle. Mais en étant parfaitement honnête tant, vis-à-vis de ses convictions que de ses pensées et comportements inconscients, dans le sens où on ne mesure pas l’impact de nos choix, on peut se dire qu’il est l’heure de gérer la situation autrement.

dimanche 18 janvier 2015

« L’amour inconditionnel de soi » Marie via Patricia





Mes très chers enfants. En cette journée de deuil planétaire, le moment est très bien choisi pour vous parler, vous reparler à vrai dire, de l’amour. De l’amour pur. 
De l’amour sans condition, de ce bouclier protecteur
La plus puissante des protections qui soit. 
Rien n’est à l’épreuve de l’amour. Rien n’est plus fort. Vous devez ne jamais l’oublier. 
Cet amour qui est à l’image de l’amour que j’ai moi, Marie, votre mère, pour chacun de vous, pour chacun de mes enfants, peu importe votre race, votre religion, vos croyances. 
Je vous aime tel que vous êtes, peu importe ce que vous avez fait ou ferez.

Votre amour pour les autres est fort, vous aimez facilement vos parents, vos enfants, vos amis. Vous aimez aussi aisément votre conjoint ou votre conjointe plus que tout. 
Mais quel amour avez-vous pour vous-même? 
Vous aimez-vous autant que vous aimez votre prochain? Sans condition? 
Vous aimez-vous malgré toutes vos caractéristiques physiques? 
Vous aimez-vous malgré vos erreurs du passé? 
Vous aimez-vous réellement pour qui vous êtes vraiment, avec toutes vos qualités, mais aussi tous vos défauts? Inconditionnellement? J’ai bien peur que non. 

« Laisser l’amour pur œuvrer en toutes circonstances »





Je suis tombée du lit à 4h mais comme je me suis couchée à 21h30, c’est parfait ! J’ai fait mon habituel petit tour sur google + où je vois ce que mes « amis » ont publié. J’ai atterri sur une vidéo qui parle des réseaux sataniques et l’ai regardée jusqu’au bout. D’un côté, je me dis que ça ne sert à rien de voir ce genre de chose, qu’il n’y a rien de pire pour abaisser le taux vibratoire mais de l’autre, je me dis que si je le fais intuitivement, c’est qu’il y a une raison. Quelque chose en moi a besoin de savoir, même si un autre aspect intérieur se demande s’il ne s’agit pas de masochisme.

Selon ma foi, nous avons tous endossé les rôles du triangle de Karpman
Bien que ce soit difficile à avaler, il semble que ce soit dans la logique des choses. J’ai d’ailleurs eu la visite, le 21 décembre 2012, de plusieurs personnages que j’aie incarnés dans d’autre vies et parmi eux, il y avait un homme, grand, le beau ténébreux comme je l’ai appelé en le voyant. Je n’ai pas trop parlé avec lui préférant me contenter d’être à l’écoute. 
Je suppose que c’est parce que j’ai libérées beaucoup de peurs avant cela, qu’ils se sont montrés et que je n’ai pas été effrayée. Au contraire, j’ai vraiment eu la sensation d’être en famille. J’ai bien senti que le grand aux cheveux d’un noir profond, très bel homme, portait quelque chose de spécial en lui, à travers son regard. J’ai aussi ressenti qu’il ne faisait que reproduire un schéma et c’est sans doute pour cette raison qu’il ne semblait pas porter de culpabilité.
Quand j’essaie de comprendre comment on peut en arriver à de telles extrémités, le mot folie me vient évidemment à l’esprit. Mais comment peut-on afficher une image de personne respectable et en même temps, commettre de telles horreurs ?

samedi 17 janvier 2015

« Les arbres peuvent être immortels, et ça fait peur » par Francis Hallé





Propos recueillis par Weronika Zarachowicz
Selon le botaniste Francis Hallé, les plantes ne “végètent” pas, elles sont même plus évoluées que nous. Les connaître et les comprendre est fondamental pour arrêter le massacre des dernières forêts primaires.
Assurément, il y a du Jules Verne chez ce botaniste-là. Parce qu'il avait l'intuition que « tout se passe là-haut », Francis Hallé a exploré la canopée tropicale – étage supérieur de la forêt – sur une étrange plate-forme gonflable, le "Radeau des cimes". 
Une aventure humaine et scientifique hors norme qui a bouleversé notre connaissance du genre végétal, et qui continue, depuis, son bonhomme de chemin (à voir ci-dessous). C'est peu dire que Francis Hallé aime les plantes, et les arbres en particulier. Ce scientifique de renommée internationale, découvreur de « l'architecture botanique », leur a consacré toute sa vie et contribué à renouveler notre regard sur elles et leur « radicale altérité ». 

Comprendre le règne végétal, dit-il, exige « une révolution intellectuelle ». C'est, aujourd'hui plus que jamais, une urgence alors que les dernières forêts primaires, sommet de la biodiversité et berceau de l'humanité, sont en train de disparaître dans l'indifférence quasi générale. Nous l'avons rencontré chez lui, à Montpellier, à l'occasion de la sortie d'Aux origines des plantes, ouvrage collectif qu'il a codirigé pendant près de trois ans, et magistral hymne à la magie végétale.
Où en est-on de la connaissance des plantes ?

« L’autre, ce vilain miroir… »






L’adolescence est une période difficile puisque celle-ci nous amène à devoir trancher, à choisir notre voie, notre camp, la façon dont nous voulons vivre. Alors même que nous nous trouvons en période de crise existentielle, par notre corps qui change, qui exprime notre genre, par les montées de l’énergie sexuelle jusqu’alors inconnue, nous devons définir ce que nous voulons être. C’est un immense paradoxe qui nous éloigne de notre vraie nature, de notre véritable identité et après avoir agit pour faire plaisir aux parents, nous allons devoir chercher les modèles auxquels nous identifier pour fabriquer un personnage; notre personnalité sociale.  
A peine conscient de nous-mêmes et à un moment où tout est bouleversé en soi, la société nous oblige à trahir l’être divin, l’âme, alors que nous n’en avons que quelques sensations, juste pour être intégré, accepté et validé. Tout ce qui en nous est le plus fort, violent et caché, nous amènera à nous identifier très souvent à l’opposé de cela. On essayera de se définir selon les principes d’attraction, de répulsion et d’identification qui nous formatent, nous modèlent et en même temps, nous coupe de notre être véritable.
L’identification, l’attraction ou la répulsion, sont des stratégies de l’ego qui n’est pas notre véritable identité mais un composé de sous facettes, d'énergies sélectionnées, choisies selon des critères bien/mal. La personnalité est l’interprétation de l’ego, de la notion d’individualité. Le mot en lui-même est significatif : individu, dualité. 
Le UN divisé en deux pôles.

vendredi 16 janvier 2015

« Suivre sa voie dans la multiplicité » le Collectif Ashtar via Simon Leclerc





Salutations à vous, chers enfants de la terre,

Nous sommes heureux de prendre ce temps à nouveau avec vous pour nous entretenir de quelques thèmes qui, nous le sentons, faciliteront votre transition vers le Nouveau Monde, celui que vous êtes activement en train de créer sur cette terre. Sachez que le processus est véritablement enclenché, chers Êtres. N’en doutez point, car les apparences pourraient être fort trompeuses.
S’il est vrai que par le passé, vous avez reconstruit votre solidité individuelle en vous dégageant des empreintes paternelles et maternelles souvent carencées, ainsi que de celles de vos collectivités tout aussi souffrantes, nous dirions qu’en ce moment, tout ce processus est en train de vivre sa conclusion ultime, une éclosion lumineuse qui touche et affecte tous les Êtres humains.
Les collectivités vous ont appris que vous étiez dépendants les uns envers les autres, tout en nourrissant en vous la compétition et la séparation d’avec les Êtres. 
Pourtant, au niveau de votre essence, vous savez que ce n’est point la dépendance qui vous stimule à vous rapprocher. C’est plutôt un désir sincère et ressenti de vous unir au niveau du cœur, accompagné d’une envie d’offrir vos talents individuels à vos frères et sœurs incarnés. Et certes, vous avez pu explorer les limites des Êtres, lorsqu’ils sont dans la dépendance.