lundi 19 janvier 2015

« 3D, 4D, 5D et 6D » selon Serge Grenier






« Je vois dans beaucoup de vos textes* des références aux dimensions : 3D, 4D, 5D et 6D…
Mais j’ai une nouvelle vision des dimensions à vous proposer.
Je crois que cette vision est plus compatible avec votre message que la vision actuelle…
Serge Grenier
  
Imaginons une réunion de Dieux où arrive un petit nouveau qui dit :
Moi aussi je peux créer un univers. Regardez…
Il prend une grande respiration et crée une première dimension : la hauteur.
Voyant que les autres Dieux ne sont pas particulièrement impressionnés, le p’tit nouveau prend une autre grande respiration et crée une deuxième dimension : la largeur.
Toujours aucun intérêt de la part des autres Dieux.
Alors, il prend bien vite une autre profonde inspiration et crée la troisième dimension : la profondeur.
Et voilà mon univers s’écrit-il tout fier de lui !
Mais les autres Dieux se détournent et considèrent le petit nouveau comme un simple d’esprit.
L’un d’eux le prend à part et lui explique comment il faut s’y prendre :


Voilà, la première dimension, c’est l’espace-matière.

L’espace est l’aspect vaste, la matière l’aspect pointu.
La matière étant une contraction de l’espace.
La hauteur, largeur et profondeur ne sont pas des dimensions, mais des caractéristiques de la dimension espace-matière.

La deuxième dimension, c’est le temps-mouvement.
Le temps est l’aspect vaste et le mouvement l’aspect pointu.
Le mouvement étant une contraction du temps.
La durée, l’intensité et la fréquence sont des caractéristiques de la dimension temps-mouvement.

La deuxième dimension construit sur la première, car sans espace-matière, il ne peut y avoir de temps-mouvement.

La troisième dimension, c’est la vie-individu.
La vie est l’aspect vaste et l’individu l’aspect pointu.
L’individu étant une contraction de la vie.
L’espèce, la durée de vie et la taille sont des caractéristiques de la dimension vie-individu.

La troisième dimension construit sur les deux premières car sans le temps-mouvement et l’espace-matière il ne peut y avoir de vie-individu.

La quatrième dimension est la conscience-présence.
La conscience est l’aspect vaste et la présence l’aspect pointu.
La présence étant une contraction de la conscience.
La pertinence, la justesse et le plaisir sont des caractéristiques de la dimension conscience-présence.

La quatrième dimension construit sur les trois premières car sans la vie-individu, le temps-mouvement et l’espace-matière il ne peut y avoir de conscience-présence.

La cinquième dimension est la mythes-action.
Le mythe est l’aspect vaste et l’action l’aspect pointu.
L’action étant une contraction du mythe.
La beauté, l’utilité et la générosité sont des caractéristiques de la dimension mythe-action.

La cinquième dimension construit sur les quatre premières car sans la conscience-présence, la vie-individu, le temps-mouvement et l’espace-matière il ne peut y avoir de divinité-création.

Voilà, c’est là que j’en suis rendu.
Il y a surement d’autres dimensions plus fines encore, mais pour le moment, c’est comme ça que je vois ça :
Le mythe se manifeste dans la conscience, la conscience se manifeste dans la vie, la vie se manifeste dans le temps et le temps se manifeste dans l’espace.
Je trouve cela plus parlant que hauteur, largeur et profondeur.
Serge Grenier


*C’est un courriel transmis à Michel Arcturius et publié sur son site : 


© 2015, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
Partager en toute liberté en citant la source et Les Chroniques d’Arcturius


On commence à voir les effets de la tombée des masques, des vieilles croyances, des connaissances occultes et tous les personnages qui représentaient la spiritualité, le folklore, (auxquels chaque nation, peuple s’identifie encore), s’évanouissent peu à peu, dans le cœur de ceux qui s’y abandonne. 
La simplicité est un des « signes » de l’émergence de l’énergie divine en soi, de la conscience qui s'éveille. 
On parle d’êtres de cristal, mais on en oublie le sens premier:
La transparence est une de ses qualités et en étant ancré dans le présent, en réintégrant les aspects de soi, par l’amour sans conditions, de tout son être, on passe du cristal fragile au diamant indestructible...c'est un peu résumé mais l'idée est là.