J’ai encore envie d’écrire ce matin euh, après-midi !
Je ne vois pas le temps passer !
La nuit tombe si vite qu’on a l’impression
de manquer de temps.
Il va falloir que j’accueille la peur de ne pas arriver à
m’organiser quand je ferais le stage, pour libérer la pression que ça commence à
me coller !
La gestion du temps n’est pas un problème quand je suis à la
maison parce que je suis l’élan mange quand j’ai faim…mais dans le cadre du
travail, ça risque d’être un sacré challenge.
Toute l’appréhension que je peux
avoir se tempère lorsque je vois ce que je peux libérer en pareille situation. Envisager
les choses en termes d’énergie, facilite drôlement la vie. Quand on cesse de juger
et qu’on regarde objectivement, les choses apparaissent tout autrement. Ce
futur travail fait émerger les émotions liées aux croyances et égrégores qu’y s’y rattachent
et c’est l’occasion de les libérer, de les épurer et de les ajuster.
Ce travail
alchimique se réalise en soi et le contexte extérieur, considéré comme un miroir
n’a pas besoin de revêtir une forme particulière.
Peu m’importe les situations
puisque chacune d’elles m’invite à revenir au cœur, à me centrer et à entrer en
communion avec le divin. Puisque mon objectif, c’est de vivre dans l’amour, l’harmonie,
la liberté d’être et la paix et que ça se cultive depuis le cœur de son être, dans
la relation à soi-même, et que ça rayonne vers l’extérieur, peu importe le
métier, les conditions de vie…