jeudi 27 novembre 2014

« Accepter ce qui est, oui, mais la douleur ? »






Libérer, libérer, libérer………….
Se libérer parce que finalement, nous avons tout pouvoir sur notre monde intérieur. 
Mais comment l'exerçons nous ? 
Nous sommes le scénariste de notre vie et en tant que spectateur, nous révisons continuellement le film. 
La vie nous présente des images que nous allons interpréter selon notre degré d’ouverture et comme nous regardons au travers de l’ego qui divise, nous louchons continuellement. 

Nous voyons tout ce qui est de façon partielle et jugeons à partir de ce postulat. 
Il semble alors logique que notre vision soit déformée, tronquée. 

Face à ce constat, on se dit qu’il serait bon d’élargir sa vision alors on le fait en révisant ses croyances, en faisant des choix qui vont amplifier l’amour.

Nous menons tous des combats internes et chacun se construit ses propres ennemis intérieurs en se focalisant sur « le problème », sur la chose qui nous cause le plus de difficultés. 
La première erreur est là puisque nous amplifions ce sur quoi nous focalisons notre conscience. 
Paradoxalement, plus on va vouloir se libérer de quelque chose qui nous dérange, plus on va y penser et plus cet aspect de soi va devenir monstrueux puisque nous le nourrissons continuellement.

« L'appel actuel est au détachement » & lien webconférence de Caroline Blanco





Comme c’est reposant de ne plus se prendre la tête, d’oser faire totalement confiance à sa propre lumière ! 
L’abandon du jugement fait peur parce qu’on s’imagine qu’on va perdre le sens de la mesure. 
Mais c’est oublier qui nous sommes en vérité, oublier les nombreuses incarnations qui nous ont permis d’évoluer, d’arriver à comprendre ce que sont l’amour, la sagesse et le pouvoir.

Il suffit de considérer l’évolution des mentalités pour constater qu’effectivement, l’humanité progresse à grands pas. Dans ce chaos naturel, on se focalise sur ce qui est destructeur, sur ce continue d’être bancale, faussé et vicié mais on oublie de voir les choses constructives, ce qui évolue vers plus de paix, de fraternité, de conscience.

Les révélations des scandales sont une opportunité de se tourner vers l’intérieur et d’expérimenter le pouvoir de l’amour, la connexion au divin, une invitation à expérimenter le pouvoir d’aimer sans conditions, sans objet. 

C’est le moment idéal pour trouver l’équilibre et se délester de tout ce qui empêche l’amour divin de circuler en soi. La lumière éclaire l’ombre et peut enfin l’embrasser. 
Cette réunification renforce l’amour en soi et la lumière dévoile peu à peu tous les aspects de l’être.

mardi 25 novembre 2014

« Faire avec, accompagner en douceur »






Dans ce monde de dualité, tout peut basculer d’une minute à l’autre, la mort est au bout du chemin et on ne sait pas quand elle nous tombera dessus. 
Voilà le contexte dans lequel nous arrivons lorsque nous venons expérimenter l'incarnation. 
Nous entrons dans un monde où les énergies sont polarisées, étirées à l’extrême. 
Notre propre constitution en tant qu’humain divin est complexe et contradictoire.

Tout nous montre, à travers nos sens, la société, que nous sommes individualisés et séparés de l’extérieur. 
L’autre est un ennemi potentiel dont il faut nous protéger. 
Toute la société est organisée selon ce principe d’insécurité, de division et de hiérarchie. 

Tout naturellement, quand nous grandissons, nous rentrons dans le cadre afin d’être intégré. Malgré tout, malgré le confort matériel, malgré notre compréhension accrue de l’humain et le fait que nous rangions tout par catégories selon des critères de valeur définies par nos croyances, notre cœur nous crie qu’il souffre et qu’il a besoin d’amour

lundi 24 novembre 2014

« Le cœur foyer de la paix, de l’unité, de l'équilibre »





Drôle de nuit, drôle de réveil ! J’aime casser la routine bien que les repères soient utiles et rassurants. C’est encore une contradiction interne qui s’équilibre d’elle-même tout comme l’envie de fumer. Le choix de faire avec, d’accepter cet aspect intérieur qui galère à gérer le quotidien me permet de voir les choses de façon neutre et de nouvelles idées émergent.

C’est vraiment la seule façon de changer son regard et donc son attitude
Plus on lutte contre quelque chose et plus on lui donne corps. 
En libérant la notion de jugement je prends le risque de l’excès mais je constate déjà les bienfaits de ce choix. Non seulement l’envie a fortement diminuée mais des mécanismes se mettent en place naturellement afin d’être dans l’équilibre.

L’acceptation de ce qui est, ramène les énergies au point zéro et crée une détente intérieure qui favorise la libre circulation de l’énergie. L'énergie de rébellion a été absorbée par l'acceptation, freinant le geste compulsif et permettant l'observation neutre. 
La sciatique a pratiquement disparu et je me suis réveillée sans aucune douleur. 
Si j’observe ce que j’ai modifié dans mon quotidien, je peux constater que c’est le fait de m’être autorisée à lâcher prise, à neutraliser mon regard au niveau de la dépendance et des élans compulsifs qui a créé une détente intérieure et pas l'usage du produit
La détente s'effectue lorsque je dis oui, avant même d'agir.

« Cours de préparation pour le futur » Les êtres de lumière via Monique Mathieu







« Ce qui, pour vous, est illusion aujourd’hui, sera réalité demain parce que vous aurez totalement changé de perceptions, de plan de conscience et de fréquence vibratoire.
Nous vous donnons un exemple : nous sommes auprès de vous. Nous vous certifions qu’auprès de vous il y a beaucoup plus d’êtres que vous le supposez. 

Il y a nous, vos frères de Lumière, il y a vos guides respectifs et aussi ceux qui ont l’autorisation de venir en ce lieu et qui vous ont aimés, mais qui ne se manifestent pas tout le temps pour ne pas perturber ce que nous avons à vous dire. 
Si, dans la seconde, vos perceptions changeaient et que vous puissiez nous voir, cela occasionnerait beaucoup plus de dégâts que de profits pour votre évolution. Lorsque votre centre de force émotionnel sera suffisamment stable, les choses seront différentes pour vous.
Pour arriver à cette stabilité émotionnelle, il faut acquérir la maîtrise 
Ce que nous vous conseillons surtout, car c’est maintenant possible, c’est de demander de l’aide à l’Être extraordinaire que vous êtes, l’Être de Lumière, l’Être Divin lorsque vous êtes déstabilisés au niveau de l’émotionnel. 
Soyez certains que plus vous lui parlerez, plus il vous répondra et plus il vous aidera.

dimanche 23 novembre 2014

« Amour » ?





Je ne regrette pas d’avoir suivi l’envie folle à priori, de dire "Oui" à l’élan, quel qu’il soit. Non seulement ça créé une détente psychologique mais en plus physiquement, c’est beaucoup plus calme. 
Je ne me reconnais plus du tout, je change à plusieurs niveaux et mon corps physique est en pleine mutation. Il y a l’âge, le cycle de la préménopause, le sevrage, mais quelque chose d’autre semble participer à ce processus.  J’ai lu que le corps dans son évolution passait d’une structure carbonique (ou carbone, je ne sais plus) à une autre plus raffinée, cristalline.

Cela semble logique puisque le « travail » actuel consiste à nettoyer, épurer, rendre transparents les filtres que constituent le mental, l’émotionnel. Il semble que j’intègre l’amour universel, impersonnel et paradoxalement, ça se réalise par l’acceptation de tout ce que je suis.
Je dis paradoxalement parce que l’amour vrai de soi suppose un retournement, un centrage, une focalisation sur les pensées, le comportement, une introspection et on pourrait penser que c’est une forme de nombrilisme. 
En fait, en libérant l’amour de tout ce que la personnalité croyait qu’il était, en abandonnant le jugement, il devient une énergie sereine, sans émotions.   

samedi 22 novembre 2014

« Tu te mets trop la pression » !





J’ai commencé la journée par une séance de relaxation pour diminuer la gêne occasionnée par la sciatique. Ce n’est pas franchement douloureux mais ça tiraille tout le temps depuis une semaine. C’est aussi ce qui a motivé mon choix de faciliter le sevrage en fumant de l’herbe. C’est vrai que ça aide à lâcher prise mais le risque c'est de se foutre de tout. Puis comme ça nuit à la concentration, ça m’oblige à être encore plus attentive. Du coup, je fais les choses une par une au lieu d’attaquer plusieurs chantiers à la fois. La gestion du quotidien est plus facile mais ça met en évidence le besoin de récompense ou peut  être tout simplement d’équilibre. Comme si j’avais besoin d’une carotte pour avancer.
Le fait d’avoir reconnu et accepté d’être arrivée à la limite du supportable m’a libéré d’un poids immense. 
Quand on veut se libérer d’une habitude, d’un comportement destructeur, on a tendance à faire du contrôle. On pense que la force de volonté suffira mais comme pour toute réalisation, il est nécessaire d’activer les vertus associées de l’amour inconditionnel, de la sagesse et de la volonté pour changer.