Libérer, libérer, libérer………….
Se libérer parce que finalement, nous avons tout pouvoir sur notre monde intérieur.
Mais comment l'exerçons nous ?
Nous sommes le scénariste de notre vie et en tant que spectateur, nous révisons continuellement le film.
Se libérer parce que finalement, nous avons tout pouvoir sur notre monde intérieur.
Mais comment l'exerçons nous ?
Nous sommes le scénariste de notre vie et en tant que spectateur, nous révisons continuellement le film.
La
vie nous présente des images que nous allons interpréter selon notre degré d’ouverture
et comme nous regardons au travers de l’ego qui divise, nous louchons
continuellement.
Nous voyons tout ce qui est de façon partielle et jugeons à
partir de ce postulat.
Il semble alors logique que notre vision soit déformée, tronquée.
Face à ce constat, on se dit qu’il serait bon d’élargir sa vision alors on le fait en révisant ses croyances, en faisant des choix qui vont amplifier l’amour.
Il semble alors logique que notre vision soit déformée, tronquée.
Face à ce constat, on se dit qu’il serait bon d’élargir sa vision alors on le fait en révisant ses croyances, en faisant des choix qui vont amplifier l’amour.
Nous menons tous des combats internes et chacun se construit ses propres ennemis intérieurs en se focalisant sur « le problème », sur la chose qui nous cause le plus de difficultés.
La
première erreur est là puisque nous amplifions ce sur quoi nous focalisons
notre conscience.
Paradoxalement, plus on va vouloir se libérer de quelque chose qui nous dérange, plus on va y penser et plus cet aspect de soi va devenir monstrueux puisque nous le nourrissons continuellement.
Paradoxalement, plus on va vouloir se libérer de quelque chose qui nous dérange, plus on va y penser et plus cet aspect de soi va devenir monstrueux puisque nous le nourrissons continuellement.