mardi 2 septembre 2014

« Comment se protéger des basses fréquences et des portails organiques » par Christian Duval Wydyr







Voilà un  point de vue qui me va relativement bien. Je suis tombée dessus par Facebook et après avoir écouté une émission qui parlait du « projet Blue Beam », ça m’a aidé à libérer la parano en revenant à mes "croyances". En fait, il s’agit plutôt de certitudes mais comme je ne peux pas l’expliquer ou le prouver. Il est des choses qu’on sait tout simplement et qu’on n’a donc pas besoin de décortiquer, de démontrer ou de forcer quiconque à croire (ce qui n'empêche pas d'en parler). 
Quand j’ai vu le titre de ce message, j’ai failli zapper parce que j’évite tout ce qui nourrit la peur. J’ai assez à gérer avec mes émotions pour me coltiner volontairement celles du collectif ! Je n’ai pas besoin d’être « mise à l’épreuve », testée…c’est bon, j’ai largement donné ! Là encore, c’est une façon de penser qui appartient à l’ancien monde, celui basé sur la peur et l’inconscience. 
Il n’y a jamais eu d’épreuves mais juste des expériences. De même il n’y a jamais eu de punitions ou de récompense que dans notre mental, dans notre peur d’être rejeté, de perdre ou d’être abusé. Et à mon avis, malgré les apparences parfois, il n’existe pas un humain qui n’ait pas de cœur et d’âme. 

"Voir, ressentir et libérer..."


Sergio Vassari


Le réveil a été enfin plus matinal que ces derniers jours et je sens la différence. Je suis beaucoup plus alerte ! Une idée m’est venue comme une évidence alors que je commençais à penser à mon rendez-vous avec l’assistante sociale. Le fait que je ne sache pas vraiment ce que je veux, que je n’aie pas vraiment de rêves et qu’il me faille encore mieux me connaitre pour le savoir. 
Si je regarde la question de près, beaucoup d’envie que j’aie eues étaient des réactions à l’environnement, très souvent une marginalisation désespérée plus choisie par la difficulté à m’identifier aux rôles prédéfinis, qu’un élan personnel venant du cœur. 
Ainsi jusqu’à maintenant, c’est le contraste qui m’a poussé à aller dans un sens plutôt que dans l’autre, comme tout le monde, j’agissais par comparaison pour suivre ma route: Je ne veux pas faire ça donc je vais plutôt faire ça. 
Mais il me semble que ça soit un mauvais calcul parce qu’au fond, c’est une peur ou un besoin qui motive et pas la passion véritable qui nait de l’intérieur. Idem quand j’étais enfant, je voulais créer un parc pour sauver les chiens abandonnés. Cette idée venait du fait que j’aime les chiens et j’avais été émue d’en trouver quelques uns et de pouvoir les sauver. C’est comme si je me sentais redevable de tout l’amour qu’ils m’apportaient, cet amour qu’aucun humain de mon entourage ne savait me donner comme j’aurais aimé le recevoir. Je précise bien « comme j’aurais aimé » parce que chacun donne ce qu’il a et de la façon dont on lui a appris à transmettre. Ma mère montrait son amour en allant bosser tous les jours, comme un sacrifice consenti et normal puisque tout le monde vivait de cette façon. Les hommes, les pères qui s’en allaient défendre la patrie en donnant leur vie, les mères de leur côté sacrifiaient la leur, leur ventre, pour élever une progéniture et ainsi se sentir adultes, reconnues, intégrées, grandes, utiles, productives, donc « normales ».

lundi 1 septembre 2014

« Pourquoi est-ce si dur d’aimer » partie 2, par Laurent Van der Wee







Dans le processus de connaitre nos croyances, la prise de conscience de la croyance est seulement une partie de la solution. Si je prends conscience d’une croyance passée qui m’a fait vivre une sensation de peur, sans me permettre de la vivre, je ne règle pas le problème et la croyance restera incrustée. 
Une croyance s’installe dans le cerveau gauche et le cerveau droit. 
Voir la croyance et son origine c’est le cerveau gauche, vivre la peur que cette croyance me fait vivre c’est le cerveau droit. 
Lorsque j’ai peur ça aide beaucoup de connaitre la croyance derrière, mais ce qui aide davantage c’est de vivre pleinement la peur, je veux dire vivre pleinement la sensation. 

C’est là que la plupart des gens bloquent dans leur cheminement ils reconnaissent la croyance, mais ne réussissent pas à vivre la sensation que procure la peur. Pourquoi? Parce que nous avons comme croyance depuis des milliers d’années que c’est mauvais de nous connecter à notre corps. Plus encore, nous portons une croyance très profonde que c’est dangereux pour notre vie de se connecter à notre corps et si on se laisse vivre une sensation en lien avec un manque d’amour notre corps ne pourra pas le supporter, nous pourrions en mourir.

« Pourquoi est-ce si dur d’aimer ? » Partie 1, par Laurent Van der Wee

Antonio Javier Caparo




Il n’y a que deux blocages à l’amour, nos croyances et notre décision de ne pas aimer. Par conséquent, vous constaterez dans les prochaines lignes que dans le fond, il n’y a qu’un obstacle en fait, c’est notre décision de ne pas aimer. Parce que ce sont nos décisions de ne pas aimer qui ont formé nos croyances, d’une façon inconsciente bien sûr. Donc pour aimer c’est simple, nous devons remplacer nos décisions de ne pas aimer par la décision d’aimer. Pour ce faire nous devons prendre conscience de nos croyances.
Pour mieux comprendre, je vous propose l’exemple suivant pour démontrer comment se forment nos croyances. 
Imaginez, vous avez 5 ans vous êtes sur une plage avec vos parents. Vous décidez d’avancer seul dans l’eau et lorsque  vous avez de l’eau aux cuisses,  soudain un petit garçon vous pousse et vous tombez dans l’eau. Votre tête se retrouve sous l’eau, vous en avalez et vous avez de la difficulté à vous relever. Enfin vous réussissez, en larme vous sortez de l’eau. Quelques  minutes plus tard, vous ne voyez plus le petit garçon qui vous a poussé, alors vous décidez donc d’y retourner. Aussitôt de l’eau aux cuisses le petit garçon surgi de nulle part et vous pousse aussi fort à nouveau, la tête sous l’eau vous tentez tant bien que mal de vous relevez, mais encore une fois en larme vous sortez de l’eau.
Beaucoup de choses se passent lors de moment pareil. Votre être enregistre une multitude d’informations inconsciemment qui pourra être lourd à porter toute votre vie.

"Le pouvoir des mains des humains"...Lee Harris et Caroline Gauthier


Helen Nelson Reed



Encore une longue nuit où j’étais en pleine conversation au moment du réveil ! 
Je recommence à poser mes mains sur mon ventre qui semble se déchirer de l’intérieur. J’en ai parlé à ma mère hier, de ce nouveau réflexe qui consiste à utiliser ses mains pour se faire du bien, soulager les douleurs. J’ai été très surprise qu’elle ne rigole pas mais au contraire me confie qu’elle le faisait aussi ! 
Finalement, c’est tout à fait logique puisque les mains sont le prolongement du cœur et que l’énergie d’amour a le pouvoir de guérir, restructurer, apaiser…et pour couronner le tout, je trouve ce matin, le message qui suit, de Lee Harris. 
Plus nous serons nombreux à prendre conscience de notre pouvoir créateur donc pouvoir d'auto-guérison aussi, plus nombreux nous serons à prendre la responsabilité de notre monde intérieur et plus l'énergie de guérison et de puissance amoureuse se répandront sur la planète faisant du rôle de la victime, un vieux souvenir. La souveraineté implique d'être responsable de soi encore faut-il être conscient de qui nous sommes réellement.
Celui ou celle qui cesse de nourri des égrégores de peur, d’impuissance, participe non seulement à sa propre guérison mais en fait bénéficier son entourage proche ou lointain, par rayonnance, par les fréquences qu’il émet. 
Je pourrais fuir cette douleur en prenant un médicament, en me forçant à sourire, en faisant diversion…, mais je choisis de la regarder en face, de la ressentir pleinement tout en « envoyant », par l’intermédiaire de mes mains, l’amour inconditionnel, « l’énergie amour » sur mon passé, sur les traumas de l’enfance, les traumas sexuels, le féminin intérieur, les histoires d’amour tragiques, l’inconscient collectif féminin…

« Affranchissement de la victime intérieure » par Ysabeille Gariépy


Photo d’ Алексей Мартиневский


Chaque jour tu as le choix d’être à l’écoute de ta victime intérieure qui se plaint sans cesse à propos de quelque chose. Elle est là pour te faire tomber dans l’inertie de l’inaction de ta vie. Elle répondra à cet appel intérieur qui se nourrit de la peur. Aussi silencieuse soit-elle, cette énergie est présente et en acceptant de l’écouter, de lui donner ton pouvoir tu acceptes par la même occasion de jouer ton rôle de victime. Tant et aussi longtemps que tu vas alimenter ces formes pensées, tu vas faire le choix de ne rien faire d’autre de ta vie que de subir ce qui est sur ton chemin. 
En te présentant comme victime, tu affirmes dans l’énergie que tu subis ton sort, que tu ne t’engages pas dans ta propre vie et que tu ne te responsabilises en rien face à ce qui t’arrive.
C’est exactement comme si tu étais assis dans une voiture et que tu regardais au travers du pare-brise ce qui arrive dans ta vie sans prendre contact avec ta réalité, ton ressenti et tes choix. Tu as choisi de te couper de ta création divine en laissant le pare-brise te séparer de la vie que tu peux choisir chaque instant en énonçant de nouveaux choix. Dans cette peur qui t’appartient, il y a sûrement celle de l’inconnu. Si telle est le cas, tu pourrais commencer par baisser la vitre de ta voiture afin de prendre contact avec toi et te laisser le temps d’apprendre à te vivre. C’est à toi de faire le choix d’être le conducteur de ta voiture et de prendre le volant (direction) de ta vie.

« Ame jumelle, âmes sœurs… » par Aurélie & Pascal





Une âme jumelle voit en vous l’essence de votre être, en cela vous frotter à elle au quotidien peut être à la fois magique et “challenging”. Car votre âme jumelle à également un égo polarisé à l’opposé du vôtre. Vous êtes comme deux aimants qui se repoussent lorsque vos égos s’expriment. Et vous vous sentez les plus beaux amants du monde lorsque vos âmes s’alignent…
Parfois les personnes en cheminement spirituel préfèrent vivre en couple avec certaines de leurs âmes soeurs, car c’est plus reposant pour le mental. Deux âmes soeurs peuvent partager leurs souffrances et se réconforter quel que soit leur niveau de fréquence du moment.
Cela créée moins de perturbations au quotidien, les échanges peuvent être très “Fun”. Car avec un frère d’âme ou une soeur d’âme, les émotions ressenties sont parfois très fortes… On peut même tomber “amoureux”, mais c’est aussi moins porteur qu’avec une âme jumelle, car l’amour qu’on échange reste souvent un amour émotionnel.