vendredi 22 août 2014

"Notre vraie nature, c’est tout ce que nous sommes ici et maintenant, ni plus ni moins".


Eva


Tiens, voilà la pluie ! Comme je n’ai rien programmé, prévu, tout va bien. J’apprends à nouveau, à gérer ma vie selon l’élan du moment et c’est un excellent moyen de lâcher prise. 
Je me propose uniquement de cesser de juger, moi ou les autres. Ce sera mon fil rouge pour la journée. 
Lâcher la notion de bien et de mal n’est pas facile mais ça me semble indispensable si je veux « avancer », avoir un amour pur, pour tout ce que je suis. 
Dès qu’on estime ou juge quelque chose, on se limite, on reste enfermé dans le mental et on ne peut plus percevoir les choses de façon neutre ni même avec amour. Oui, c’est évident mais cependant pas si facile à appliquer au quotidien. Dès qu’on colle une étiquette à quelqu’un ou à quelque chose, on envoie une vibration particulière à l’objet observé et on le déforme, on le cadre, on l’enferme. Savoir revenir au cœur de soi-même, à l’amour que nous sommes, permet de briser les barrières du mental.  
On a des préférences et c’est ce qui nous différencie des autres. Mais on n’est pas obligé de les imposer pour s’affirmer. Il est indispensable de savoir ce que l’on veut et de s’y maintenir.

jeudi 21 août 2014

Comment et pourquoi se forme une mémoire cellulaire ? et libération des peurs, par Caroline Blanco






Toutes les mémoires (énergies, blocages, karmas,..) que nous portons viennent toujours d’un besoin qui n’a pas été comblé ! C’est aussi simple que ça…
Toute personne, en tant qu’adulte, en tant qu’enfant et même déjà en tant que fœtus, a des besoins fondamentaux qui demandent à être comblés.
Notre tout premier besoin est l’amour. Sans lui, la vie même ne peut exister puisque l’amour et la vie sont la même énergie. Ensuite, viennent les besoins primaires : respirer, manger, boire, dormir, … ainsi que le besoin de sécurité. Bref, tout ce qui a attrait à notre survie. Puis, enfin, il existe d’autres besoins tels que la reconnaissance, le respect, le besoin de relation humaines, de création, d’amusement, …
Quand certains de ces besoins ne sont pas assouvis, il survient un sentiment de manque qui demande à être comblé à tout prix !

"Comment puis-je m'engager à aimer au lieu de me comporter pour me faire aimer?" par Daniel Miron



photographe inconnu


Question posée lors d'une séance individuelle:
J'ai de la difficulté dans la relation avec mon conjoint, la relation avec ma fille, la relation avec ma mère, mes relations amicales...Je ne sais pas quoi faire, je suis perdue.
Réponse :
Chère amie, à la base, la générosité est naturelle pour vous. La générosité est un doux parfum de votre âme. Maintenant vous voulez savoir quoi faire. Nous vous expliquons. Le problème qui s'est produit dans votre enfance est que lors de certains évènements, vous avez interprété les faits. Vous les avez dramatisés et amplifiés, ce qui vous a amené à croire que vous ntiez pas aimable. Ce que vous avez vu et entendu de vos parents, vous l'avez interprété. Cela a fait, en tant qu'enfant, que vous avez eu peur de perdre leur amour. Immédiatement, dans votre inconscient, vous avez pensé et cru que vous étiez non aimable. Évidemment, cela est totalement faux mais, vous l'avez cru. Donc, vous avez programmé inconsciemment votre vie autour de ceci.
Évidemment, un être humain ne peut pas vivre s'il croit être non aimable et certes, lorsqu'il croit être non aimable, il a peur de perdre l'amour des autres. Donc, vous avez mis en marche des stratégies pour tenter de sécuriser l'amour des autres à votre égard en faisant (étant) aimable. Il est bien d'être aimable mais, ces stratégies sont appuyées par « je le fais car je suis non aimable » et c'est ainsi que vous vous êtes habituée à jouer un rôle de sauveur.

"Maladie, guérison, révélations"…vidéos, témoignage, outils…Musique: Eivør Pálsdóttir



Miki Asaï, le rose, l'amour guérit...


J’ai envie de traiter ce sujet puisque je découvre mon pouvoir de guérison par imposition des mains. Il ne s’agit pas d’argumenter en ce sens puisque je n’ai rien à prouver, à vendre et me contente de pratiquer pour confirmer ce en quoi je crois depuis très longtemps : l’auto-guérison à portée de mains ! J’ai ajouté quelques clefs de sagesse tirées sur le site http://ducielalaterre.org qui tombent à pic !
J'ai ,déjà diffusé cette info mais comme il n'y a pas de hasard....

« Maladies à vendre »
Introduction :   
http://youtu.be/eJvL_IEVQVA  Cliquez suer le lien pour voir la vidéo, je n'arrive pas à l'intégrer....
La prochaine est complète et vous pouvez la visionner depuis ce blog....

"Les plantes se parlent... ou du moins, elles s'écrivent" vidéo documentaire



Kate Morton


Les plantes communiquent, nous le savions déjà.
Ce que nous ne savions pas c'est que leurs moyens de communications sont beaucoup plus variés que ce que nous imaginions.
Dans le modèle étudié par une équipe de Virginiatech, entre une cuscute, une betterave et une tomate, les scientifiques ont démontré qu'elles communiquent grâce à des quantités impressionnantes d'ARN (acide ribonucléique, molécule biologique présente dans pratiquement tous les organismes vivants).
Ceci ressemble à la façon dont les bactéries communiquent, par plasmides interposés (les plasmides sont des molécules d'ADN - acide désoxyribonucléique - distincte de l'ADN chromosomique).

" Je ne suis pas ici pour prouver quoi que ce soit mais pour être ce que je suis." vidéos Isabelle Padovani



Coule belle rivière (le Tech)!


Il y a bien longtemps que je n’étais pas tombée du lit aussi tôt ! Je me suis levée comme poussée à profiter du silence. La chienne est allée faire son tour et ça me réconforte de pouvoir la laisser libre d’aller et venir à sa guise ! 
Les choses évoluent doucement, je retrouve mes repères quotidiens et peut constater à quel point c’est vivifiant de vivre selon ses choix, ses préférences, sans avoir à tenir compte de l’avis de quelqu’un d’autre. La conversation d'hier, avec mon compagnon, m’a confortée dans mon choix de revenir ici. On ne se comprend pas et il va me falloir travailler la CNV pour essayer de mieux me faire entendre, du moins pour arriver à dialoguer sans tomber dans une impasse !  Je me suis tout de même épatée à être capable d’affirmer mes besoins, sans culpabilité, sans honte, sans gêne…et surtout sans crier, sans critiquer, accuser ou rabaisser !
Mon point de vue devient plus clair et ainsi je sais de mieux en mieux, ce que je veux réellement. Les rapports de force, l’esprit de compétition, la comparaison, les jeux de pouvoir, de séduction ne sont définitivement pas pour moi ! Tant pis si je reste seule. 
De toute façon, je le vis très bien ce célibat choisit. Les peurs qui pourraient surgir sont tout à fait gérables. La peur de l’ennui par exemple, il me suffit de sortir un peu plus. Je vais facilement vers les gens puis je peux recommencer à jouer de l’accordéon dans les rues. 

mercredi 20 août 2014

"Communication non violente avec Marshall Rosenberg" vidéos

Photo: Laura Bellamy


La CNV selon Marshall Rosenberg 10 vidéos, d'environ 10 minutes chacune, traduites en français. J'y ai ajouté les phrases (en vert) et parfois un résumé, de ce qui m'a touché. Puis quelques commentaires. Il nous explique les deux modes de communication en vigueur sur la planète; "le mode chacal", le plus courant ou le "mode girafe" qui commence à se répandre, tant par la foi, la spiritualité, la sagesse des anciens qui est révélée, les messages extra-terrestre... que par l'approche du développement personnel.
Toute une éducation à revoir...puisque le modèle d'éducation se réfère à l'évaluation, aux normes...Il explique comment et pourquoi nous devons réapprendre la communication. 

Nous avons la capacité naturelle de communiquer à partir du cœur mais il est difficile de rester centré. Apprendre notre mode de fonctionnement afin de mieux s'exprimer avec plus de clarté, de justesse, permet de maintenir une relation à l'autre, basée sur le respect mutuel.
Il faut apprendre à observer sans juger, connaitre ses besoins et les exprimer, sans accuser l'autre, de façon à ce qu'il ne se sente pas obligé de nous satisfaire, qu'il agisse de "bon cœur". Se forcer ou forcer l'autre est une forme de violence qui vient de l'idée que nous ne pouvons pas trouver l'essentiel en nous-même; l'amour, le respect, la paix, la joie...Même quand on sait qui on est véritablement, un humain divin qui apprends à aimer sur Terre, dans un cadre apparemment hostile, on tombe régulièrement dans les mode de survie issus de la peur. La peur de l'autre qu'on considère souvent comme un ennemi potentiel...