Avec une vidéo d'Isabelle Padovani à propos du couple
Plage de sable rose aux Bahamas, photographe non cité |
Me voilà de retour à Amélie après moultes hésitations !
Pour le mot « moulte », un peu d’humour ne fait pas de mal et permet
de prendre du recul afin de ne pas sombrer soit dans le défaitisme, le jugement négatif de soi ou l'accusation, la
sensation d’échec…et de se complaire dans le rôle de la victime. Parfois, il
nous semble que la vie nous maltraite, puisque nous retombons dans les mêmes
pièges mais en fait, en se rappelant que tout est fait pour nous permettre d’acquérir
plus d’amour de soi, de respect de soi, de confiance en soi, de sagesse, de
force et de foi au divin intérieur, on peut alors se libérer de ce rôle de
victime.
Plusieurs « signes » me montraient que je me
trouvais encore dans le schéma victime/bourreau/sauveur mais j’espérais que l’amour
m’en libérerait, nous en libérerait. L’amour inconditionnel, cette énergie de
vie, de guérison oui, mais avant tout pour soi-même ! On peut connaitre
une personne en voyant sa maison et sa façon d’y vivre, de l’entretenir,
renseigne sur la relation qu’elle entretien avec elle-même. Plusieurs traits de
caractère me dérangeaient mais comme ma mère l’avait vécu 50 ans plus tôt, je pensais
que l’amour inconditionnel pour l’autre, guérirait la relation, amènerait l’autre
à plus de respect. C’est un leurre et d’ailleurs quand je me suis entendue
penser cela, j’y ai vu un résumé de la vie de ma mère, ce qui m’a mis la puce à
l’oreille.