mercredi 2 avril 2014

"Démystifier la méditation" avec Fabrice Midal






La méditation... Comment s’ouvrir à une dimension plus grande et passer du méditant grenouille à la posture du yogi ? Fabrice Midal pense que c’est en se confrontant à la réalité du monde et à nos souffrances que nous pouvons trouver le véritable bonheur. Il nous livre le fruit de 25 ans de pratique dans son livre « Frappe le ciel, écoute le bruit ».

Non, la méditation n'est pas une sorte de technique de bien-être qui nous donnerait le bonheur sans effort, ni non plus une pratique austère réservée à quelques privilégiés. Selon Fabrice Midal, la méditation peut nous permettre de trouver un chemin permettant une prise de conscience plus grande, plus mystérieuse et passionnante.

"Voyage au coeur de l'amour???"






Une belle nuit remplie de rêves, de voyages intra-terriens, d’enseignements de rencontres et de partage, qui me laisse toute souriante et détendue au réveil. Féliz, « mon chat préféré », a dormi à mes pieds et ce rituel est chargé de sens, et très utile au niveau énergétique, dans le travail d'équilibre que je réalise en ce moment (enfin en tout temps...). Je tique sur ces trois mots entre parenthèse et ressens le besoin de l’expliquer. Déjà, « mon », c’est très possessif et je l’utilise de façon ironique bien que je sache que l’amour vrai n’enferme pas. Puis "préféré" est très sélectif mais là aussi, accepter ce qui est tout en sachant que ça n'est pas "juste", permet de restaurer les déséquilibres intérieurs. Et ça n’est pas par hasard que je les prononce puisque s’autoriser à être ce que l’on refoule, est un moyen de libérer les fausses croyances et d'intégrer l'amour vrai de soi. 
D’autant plus que ce chat m’apprend justement à lâcher le besoin de posséder quelqu’un lorsqu’on ressent un amour particulier envers un être. Par son caractère indépendant et sa détermination à être libre, à refuser de se laisser corrompre, à donner son amour seulement quand il en a l’élan, il m’enseigne le détachement, l’amour libre, sincère et spontané. Les chats, selon certains messages reçus par Caroline Leroux ne semblent pas avoir d’émotions. 
Cette caractéristique leur permet de vivre l’amour d’une façon très spéciale. On préfère souvent les chiens pour leur capacité à pardonner et j’avoue que c’est en grandissant (je ne dis pas vieillissant parce que je n’ai pas du tout cette impression d’autant plus que nous sommes en l’an 2, de cette ère nouvelle…), que j’apprécie de plus en plus leur personnalité indépendante. 

mardi 1 avril 2014

"Comment bien vivre sa colère ?" par Lise Bourbeau



Klaus Wiese


Êtes-vous une personne colérique ? Ne répondez pas trop vite à cette question ! La plupart des gens ne se croient pas colériques mais en réalité, tous les humains vivent de la colère à des degrés différents, de façon différente et pour des raisons différentes.
Comment vivez-vous les situations suivantes ?
  • Quelqu'un vous fait une promesse, s'engage à faire quelque chose et ne le fait pas.
  • Vous prêtez un objet ou de l'argent et l'autre ne vous le remet pas, ou vous remet l'objet endommagé.
  • Quelqu'un vous ridiculise ou vous humilie devant d'autres personnes.
  • Votre conjoint(e) oublie votre anniversaire.
  • Vous êtes sûr(e) d'avoir raison alors qu'une autre personne vous obstine.
Les situations précédentes impliquent au moins une autre personne. Que se passe-t-il en vous lorsque vous vivez une des situations suivantes ?
  • Vous oubliez quelque chose d'important.
  • Vous avez dit oui à quelqu'un alors que vous auriez voulu dire non.
  • Vous avez trop mangé de chocolat ou abusé de tout autre aliment ou substance.
  • Quelque chose que vous n'auriez pas dû dire revient contre vous.
  • Vous voulez exprimer quelque chose à quelqu'un et vous n'y arrivez pas.
  • Vous avez laissé quelqu'un profiter de vous.

"Nager avec son dauphin intérieur" par Hugo Verlomme



Leina Sato


Nager avec un dauphin… Aujourd’hui tout le monde en rêve, alors qu’hier ce genre d’exploit était réservé à quelques plongeurs, nageurs, navigateurs, hommes de l’eau. Désormais, nager en compagnie des cétacés est devenu possible pour tout un chacun, pourvu qu’on y mette le prix. Qui aurait imaginé, il y a une génération à peine, qu’on en viendrait à publier des annuaires de rencontres avec les dauphins, les orques, les baleines, des règles de bonne conduite pour les groupes, les bateaux, les plongeurs ? Et voilà les dauphins devenus stars (malgré eux) de l’éco-tourisme, du développement intérieur ou de la guérison ?
Certes, nager avec un dauphin est un rêve que beaucoup d’entre nous voudraient à tout prix accomplir. Au départ, une telle envie procède de bons sentiments : les dauphins sont libres, intelligents, et l’on espère, en les approchant, capter un peu de leur sagesse. Certains traversent la planète, bravent les eaux froides, dépensent des fortunes pour quelques instants en leur compagnie. D’autres choisissent de fermer les yeux sur les grilles qui retiennent les cétacés captifs pour assouvir leur pressant désir : approcher, caresser un dauphin. Mais faut-il vraiment rendre les dauphins « accessibles » au plus grand nombre ? N’y a-t-il pas quelque chose d’orgueilleux et de violent à s’imposer ainsi par la force à ces pacifiques habitants des mers ?

lundi 31 mars 2014

"L’Énergie Féminine" Yosuel via Martine


Linda Brunker



Ce que Vous appelez « Énergie Féminine » et « Énergie Masculine » ne sont autres que vos attributs Vous permettant d’être bien en relation avec vos 2 polarités.
Lorsque l’une de ces polarités est en déséquilibre, Vous basculez dans le pouvoir en fonction de ce que Vous voulez dominer sur l’Autre. 
Maintenant, il y a aussi les aspects liés à ces 2 polarités pour Vous amener à ressentir ce que Vous ne voulez pas admettre de votre propre Conscience en voulant transgresser toutes les données requises pour faire l’expérience de la 3D sans déséquilibre.

Il y a une chose que Vous n’avez pas compris, et surtout admis, c’est que ces 2 polarités sont l’équivalent de vos 2 pôles médians Vous permettant de vivre ici sur cette Terre pour en comprendre l’exacte finalité de ce que Vous Vous êtes donnés le droit pour vivre toutes les expériences de tous les aspects directement liés à l’Humain dans sa recherche à vouloir être ce qu’Il est dans la conformité de ce monde tel qu’il a été requis pour que Vous puissiez être à la fois dans « la force » et dans « la créativité ».

"Transformer les oui à tout, en non constructifs" rédigé par Anne-Laure Gannac






Non : un mot difficile à prononcer pour beaucoup d’entre nous. Pourtant, à toujours tout accepter, le risque est grand de se laisser envahir par les autres. Au point d’en oublier ses propres désirs. 
Comment briser le cercle du « oui à tout » ? Le point en six questions.
Sollicité par un patron, un ami, un conjoint, qui n’a jamais dit oui ou peut-être, quand il pensait non ? Radicale, irréversible, signifiant l’opposition et le rejet, la syllabe est passée sous silence. Décryptage d’une censure qui, au-delà du souci de politesse, révèle un manque réel d’affirmation de soi.

Pourquoi faut-il savoir dire non ?
Parce que cela permet de trouver sa place parmi les autres et de faire en sorte qu’elle soit respectée. Nous avons tous en tête une idée de ce qui est acceptable pour nous, de ce qui ne l’est pas, mais il nous appartient de bien signifier ces frontières aux autres. Sinon, le risque est de se laisser envahir par le désir des autres, de se laisser détourner de ses propres objectifs au point de ne plus savoir qui l’on est ni ce que l’on veut.

Selon mon entendement, « être dans la lumière » signifie être transparent, se voir en totalité avec neutralité.






Ce matin, je me lève sereine mais le week-end au contact de ma famille a été révélateur. Comme c’était mon anniversaire, ils m’ont contactés chacun leur tour. C’est la première fois que mon père pense à m’appeler ce jour particulier ! J’ai été surprise mais pas spécialement touchée. J’ai l’impression que je me détache de plus en plus de mes proches, à mesure que je libère les masques. C’est comme si le fait de ne plus m’identifier à certains personnages intérieurs et de ne plus les rejeter, m’amenait en toute logique à lâcher les attachements affectifs. Comme si je devenais plus lucide par rapport à ce qu’ils sont en tant qu’individus. C’est étrange comme sensation comme une forme de désensibilisation qui pourrait ressembler à un manque d’amour ou à de la froideur mais qui est plutôt un sentiment dépourvu d’émotions. Comme si les liens karmiques, les attaches qui se créent par les jeux de rôles et les souffrances, se déliaient peu à peu. Je suis passée de la phase qui consiste à voir les jeux de rôle dans les relations, les personnages que j'ai incarné en tant que "fille de" et "sœur de", à celle où je tentais de m'en extraire, par la volonté et maintenant, par l'acceptation de ce qui se manifeste en moi, les masques tombent d'eux-mêmes.