jeudi 27 mars 2014

"Soins énergétiques" de Laurent





Ce matin, des douleurs aux reins me perturbent physiquement bien que psychologiquement, je sois assez sereine! Ce qui amplifie la douleur, en général, c’est le fait de chercher et de ne pas pouvoir en comprendre le sens, on ajoute donc une charge de souffrance supplémentaire par des questions non résolues. Lorsqu’on comprend que tout est l’expression de l’équilibre énergétique, que la douleur, les symptômes physique, les maladies, traduisent une disharmonie intérieure, on peut déjà se détendre même si on ne sait pas ce qui se passe. Le seul fait de cesser les questions, calme le mental et la foi en la bienveillance du divin permet de lâcher prise plus facilement. 
Concernant les douleurs spécifiquement féminines, on pourrait les attribuer à une difficulté à accepter cet aspect de soi, à des traumatismes vécus dans cette zone, résultant d’abus et de violences exercés par des hommes. Sans aller dans le détail, il semble que ce soit l’expression d’un déséquilibre des polarités. Le savoir peut entrainer un sentiment de culpabilité surtout quand on cherche à être dans le juste milieu. C’est une première réaction qui nécessite d’être regardée avec compassion afin d’en minimiser l’impact et de revenir au cœur, à l’amour de soi. Entourer d’amour et de lumière, les zones affectées, permet déjà de guérir la vision, d’avoir un point de vue neutre qui se traduira par un retour à l’équilibre énergétique. Utiliser ce genre de situation pour se centrer, intégrer l’amour en soi, rétablit l’harmonie intérieure, aligne les corps sur la même fréquence et la douleur s’efface naturellement.

"J'ai choisi la rencontre avec le Vivant qui m’apprend à être…dans la joie" !



Suivi d'extraits d'un channeling au sujet des extra-terrestres
David Chambon


Comme je ne critique plus trop ce que je fais, je deviens spectatrice émerveillée du quotidien, des situations, du vivant, des êtres qui m’entourent quelle que soit leur forme, des rencontres dans le virtuel par le biais des lectures, dans le réel et avec l’invisible. Tout me reflète mon monde intérieur et les synchronicités se succèdent rendant la vie extraordinaire. Je ne parle pas de quelque chose de spectaculaire mais plutôt de la vie qui prend tout son sens lorsqu’on s’extraie du cadre de références du mental. Les actes les plus banals revêtent un caractère sacré et la simplicité de la vie en révèle la majesté. Ma boulimie de lecture est devenue une amplification énergétique, de ma foi, de l’amour en soi et de la compréhension de l‘unité, de l’harmonie et de l’équilibre des polarités.

Bien que ça soit parfois étourdissant, tout ceci me motive encore plus à laisser tomber les masques, à libérer les gestes motivés par la peur, le manque et le besoin. Je me sens enfin de plus en plus souvent entière, sur la fréquence qui me correspond, qui est celle que ma personnalité, mon âme ont toujours cherchée ; l’Amour avec un grand « A ». Qui n’a rien à voir avec l’amour romantique, possessif, limitant et angoissant, mais celui qui anime toute vie, tout être, toute chose finalement.

mercredi 26 mars 2014

"Que faut-il faire ?" Une chronique de Daniel Meurois






La nécessité de maintenir l’équilibre et l’harmonie  intérieurs, se fait de plus en plus sentir et comme je ne doute plus du tout de l’efficacité du recentrage, du fait de revenir en son cœur, d’appeler tous mes corps, mes incarnations passées, mes aspects divers et variés exprimant toutes sortes de dimensions, à la réunification, je me prête au jeu , avec d’autant plus d’enthousiasme. Ce qui me révèle ce manque d’harmonie intérieure, ce sont les bugs informatiques, mes réactions face au masculin dans ces aspects « négatifs » ou plutôt je devrais dire, dans l’extrême, le manque de finesse…
Certainement que mon vécu me permet de voir avec facilité lorsque quelqu’un est dans l’excès ou que je le suis moi-même. Quand je n’arrive pas à lire certains messages, la plupart du temps, c’est parce qu’ils expriment le déséquilibre masculin-féminin, ombre-lumière. Je réagis de la même façon aux messages qui parlent d’amour, celui que je qualifie de « mou », ou encore qui prônent la lumière, le « positif », dans un extrême tout aussi dangereux que ceux qui nourrissent l’ombre. Tout ce qui affirme trop d’assurance, joue sur les peurs, l’ignorance, accuse l’ombre alors que nous avons choisi volontairement d’expérimenter la dualité, dénigre l’aspect féminin en privilégiant le mental, même celui qualifié de supérieur, tout ce qui classifie, juge, ordonne, selon des critères de sélection totalement arbitraires, ne passe plus du tout. 

"Mettre sa part d'ombre en lumière" article vu sur inrees.com




Des côtés sombres, nous en avons tous. Par quelle alchimie peut-on parvenir à les mettre en lumière et les métaboliser en une énergie constructive, plutôt que destructrice ?

Accueillir

Egoïsme, jalousie, timidité, agressivité, trop ceci, pas assez cela… Ce qui mijote en nous n’est pas toujours de notre goût. Parfois au contraire, nos forces sombres semblent nous satisfaire, nous aimons nous y complaire. Faut-il les réprimer, de peur de ne plus être aimé, ou bien leur céder, en les laissant nous définir ? Pour la thérapeute psychocorporelle Caroline Jeannet, la clé est d’abord
« d’accueillir ce qui est là », sans jugement, mais sans se laisser emporter.
Vous êtes en colère ?
« Ah ! Je suis en colère. » 
Vous détestez telle personne ? « O.K., j’éprouve de la haine. » 
Une remarque vous blesse ? Notez la tension qui se crée dans votre corps. 
Est-elle nécessaire, maintenant ? Que pouvez-vous faire pour y remédier ? 
Respirer, vous masser le ventre ou les mains, relativiser... 
Traquez vos réactions avec curiosité, arrêtez de les estampiller « négatives », comprenez qu’elles sont simplement le fruit de circonstances, qu’il n’y a pas la vilaine ombre d’un côté et la belle lumière de l’autre : chacune a le pouvoir de faire de vous un être complet.  
« Si nous nions notre peur, nous minimisons notre courage. Si nous nions notre cupidité, nous réduisons d’autant notre générosité », note Debbie Ford. 

"Les Êtres de Lumière nous parlent du sommeil" via Monique Mathieu


Jerry Kirk


 
- Vous avez différentes phases de sommeil.
Vous pouvez avoir des phases de sommeil très courtes pendant lesquelles il se passe des choses très importantes, pendant lesquelles vous êtes enseignés. Dans une même nuit, vous pouvez donc faire énormément de travail tout en ayant l'impression que vous n'avez pas dormi. Si vous n'êtes pas fatigués le matin au réveil après ce genre de nuit sans sommeil, c'est le signe que vous avez été enseignés et que pendant vos courts laps de temps de perte de conscience vous avez vécu des choses extraordinaires.

Le temps sur la terre et le lieu où vous allez durant votre sommeil, n'ont pas la même réalité. Une heure sur la terre peut équivaloir à plusieurs années d'expériences sur d'autres plans de vie hors de la matière avec votre corps astral ou votre corps spirituel.

Vous pourrez avoir des périodes où vous aurez besoin de beaucoup de sommeil. A ce moment-là ce sera votre corps de matière qui le réclame. Il faut que votre corps de matière soit dans l'endormissement le plus profond pour faire un travail différent.

"Vivre selon la loi de l'UN"



Shahar Keren



Pour la troisième fois, j’ai passé une courte nuit mais j’ai lu un message des êtres de lumière, reçu par Monique Mathieu, hier, qui m’a confortée dans mes impressions, donc tout est bien. Je n’ai même pas parlé de mon rendez vous avec l’assistante sociale ! C’est plutôt significatif et très bon signe ! Je n’ai pas eu de stress trois jours avant comme l’année dernière, ni trop de colère comme il y a quelques mots, j’étais plutôt neutre. J’ai bien fait une petite crise de rébellion hier matin mais ça n’a pas duré. Je lui ai fait part de mon intention de me soigner avant d’envisager quoi que ce soit et le rendez-vous a pris un ton confidentiel. J’ai vraiment de la « chance » d’être tombée sur quelqu’un d’humain, compréhensive, très lucide qui en plus n’est pas du tout fermée à la foi et qui a même tenté la méditation za-zen. Je lui ai parlé de respiration consciente sans oublier de lui dire un détail très important, c’est le fait d’expirer par la bouche, afin de bien détendre le corps. Elle m’a parlé de sa vie avec une sincérité qui m’a beaucoup touchée. Rien de plaintif mais ça nous a sorties de la relation d’assistanat.

mardi 25 mars 2014

"Laisser renaître l’enfant intérieur" par Lise Bourbeau





De plus en plus d'individus ont oublié leur enfant intérieur.
Dès notre naissance, les adultes dans notre vie nous forcent à être "normal" comme eux. Avec le temps, nous adoptons une personnalité pour répondre aux demandes des adultes. Devenus adultes, nous oublions donc (ou presque) notre individualité première, notre "Je suis". En observant le comportement des adultes vis-à-vis les enfants qui insistent à être eux-mêmes, il est facile de constater comment l'enfant intérieur de ces adultes a lui aussi été profondément refoulé. Ce refoulement de l'enfant intérieur écrase la spontanéité, la joie de vivre, la créativité, l'authenticité, la capacité de s'exprimer, la confiance en l'Univers, la capacité d'être naturel ainsi que le respect de soi.

En effet, dès le très jeune âge, les adultes font la morale en ce qui a trait au bien, au mal, au correct, au pas correct, au supposé, au pas supposé, au normal, au pas normal, etc...

L'enfant pur qui n'est pas encore affecté ou influencé par le monde des adultes, ne s'inquiète pas devant ces critères arbitraires, élaborés par le mental. Il "est" ce qu'il est. 
Il n'analyse pas ce qu'il est pour faire, dire ou ressentir quoi que ce soit; il est spontané, il ne se juge pas ou ne se critique pas même s'il se trompe; il admet son erreur sans se juger.