Je brûle mes dernières bûches ! Soyons fous ! Le
temps pluvieux refroidit* l’appart qui manque d’aération et la température
extérieure est supérieure à celle de l’intérieur. Les avantages de la pluie sont
peu nombreux mais ça suffit à ne pas me rendre morose.
Je dors mieux, plus longtemps et le jardin reçoit le meilleur arrosage qui soit.
Puis le soleil se montre tout de même et surtout, je peux appeler l’invisible à équilibrer les choses. J’ai donc commencé par me connecter à tous mes corps, pour leur demander de s’associer, de prendre soin les uns des autres afin de créer une journée remplie d’instants portés par la joie, l’amour, le sentiment de liberté et d’unité.
Je dors mieux, plus longtemps et le jardin reçoit le meilleur arrosage qui soit.
Puis le soleil se montre tout de même et surtout, je peux appeler l’invisible à équilibrer les choses. J’ai donc commencé par me connecter à tous mes corps, pour leur demander de s’associer, de prendre soin les uns des autres afin de créer une journée remplie d’instants portés par la joie, l’amour, le sentiment de liberté et d’unité.
Comme je suis en période de changement profond, je fais en sorte de ne pas bousculer le précaire équilibre qui s’installe progressivement. J’ai encore du mal à le trouver entre action et lâcher prise mais déjà, je n’en fais pas une occasion de revernir à mes anciennes façons d’être, l’accusation, la critique…
C’est vraiment une attitude qui redescend le taux vibratoire avec une grande facilité.
Mais comme ce comportement vient de la peur, en l’accueillant, celle-ci ne m’entraîne plus dans le gouffre. Puis le fait de lâcher prise, c'est-à-dire de ne pas en faire un drame, focaliser sur ce qui est lourd, j’arrive à maintenir le mental dans la paix et la joie subtile qui en découle.