Voici un article paru un peu
après les fêtes. Le raisonnement est en accord
avec ce que je pense. Tout dépend de l’énergie qui porte l’intention…
Ce titre un peu provocateur a été choisi intuitivement pour montrer que tout le monde est issu de cette conscience Une et par conséquent que chacun est potentiellement capable de devenir autonome et co-créateur conscient de sa vie. Tout est question de perspective…
lundi 20 janvier 2014
C’est lorsque la vision est neutre que vient la clarté, une compréhension plus complète des choses.
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Cheval"Akhal Teke", auteur de la photo non cité |
Plus ça va et plus je vois les schémas que mon cher ego
protecteur a créé afin de maintenir un semblant d’équilibre intérieur. Je dis
semblant parce qu’avec un certain recul que je peux constater les "avantages"
et les "inconvénients" de ces stratégies. Comme je ne range plus si ce qui est dans les cases "bien" ou "mal", je peux voir le mécanisme activé et y voir l'amour et la lumière exprimés à travers mon ego. Sa façon particulière de capter l'énergie de la source et de l'utiliser. C'est vraiment bien foutu et si je le considère comme un personnage, je peux voir combien il est amoureux, loyal et dévoué!
Je me délecte de la
détente croissante que procure le lâcher prise, le fait de revenir au moment
présent dès que quelque chose est bousculé à l’intérieur. Comme je ne juge plus
mon comportement mais me positionne en observatrice, je peux voir ce qui est, de
façon objective et j’arrive à rire des habitudes, des mécanismes issus de la
peur. Le recul donne une vision élargie de toute situation et je comprends mieux
pourquoi les courants de pensées qui se situent d’un côté ou de l’autre de la
dualité sont si limités.
Les exemples les plus frappants qui me viennent, ce sont ceux
de la science et des églises. Les religions qui sont fondées sur la notion de
bien/mal, de dualité se situent du côté du bien, rejetant, diabolisant ce qu’elles
appellent le mal. Elles sont dans le conflit, le déni, l'exclusion et s'enferment totalement alors même qu'elles prêchent l'amour du prochain.
dimanche 19 janvier 2014
"L'ego est flexible et il a la capacité de s'adapter!" Les entités de lumière via Daniel Miron
Voici la copie de la newsletter, reçue tout à
l'heure, du site de Daniel Miron. Je dois dire que je suis touchée par cette
synchronicité qui vient amplifier mon ressenti. C'est d'ailleurs très souvent
le cas lorsque je reçois ses mails. J'espère que ça vous aidera à éprouver de
la reconnaissance pour ce personnage (l'ego) si décrié, qui ne fait que nous
protéger.
Ce point de vue me plait particulièrement et comme
toujours, les messages reçus par ce médium, sont traduits dans un langage
simple, clair accessible à tous. C'est pour moi une preuve de leur source
puisqu'il n'y a aucune flatterie, aucun jeu de séduction mais simplement
l'amour de transmettre un enseignement neutre qui respecte le libre arbitre de
chacun et permet de devenir plus conscient donc autonome.
C’est parce que nous pouvons transmuter la peur que l’énergie qui émane de nous participe au changement de la conscience collective.
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auteur non cité |
Ce matin, le chat m’a réveillée
à 3 heures du matin et je me suis levée motivée et inspirée à commencer la
journée. Je me suis mise à confectionner des outils de guérisons, enfin la
structure de base afin de les proposer dans le cadre d’un suivi. Je ne lâche
pas mon projet de conseil en développement personnel et utilise mon expérience
pour le construire. Il est clair que je m’appuie sur la sagesse et
l’inspiration du divin intérieur mais mon mental participe aussi grandement à
l’élaboration du projet. L’association cœur/ego produit de belles choses et
c’est depuis l’espace de paix, dans l’équilibre intérieur que la créativité se
déploie avec aisance. La guérison de l’enfant intérieur y est pour beaucoup et
sans cet aspect de ma personnalité, je serais incomplète et rigide ! Quand on guérit cet aspect de soi, c'est l'âme qui panse ses blessures et sa guérison y est associée.
Il est essentiel de retrouver
le contact avec son être profond, la part de soi qui porte nos rêves, notre
élan, notre spontanéité et notre enthousiasme. Ces aspects à priori fragiles,
contiennent beaucoup de puissance, d’énergie de vie et d’amour inconditionnel.
Quand l’adulte et l’enfant se réconcilie, les gardiens de l’enfant, les
personnages créés par l’ego afin de protéger notre vulnérabilité, lâchent la
garde à mesure que la confiance s’installe, que les peurs sont libérées.
Depuis que j’envisage tout ce
que je suis comme une unité qui cherche l’harmonie, l’équilibre en permanence
en usant de stratégies qui correspondent à ma capacité à intégrer la lumière de la source, je peux trouver des
nouvelles façons de gérer ma vie, mes pensées, mes émotions…
Je considère que
chaque corps possède sa propre intelligence et que lorsque le divin les
éclaire, ils élargissent leur vision et peuvent grandir en sagesse. Je n’exprime
peut-être pas les choses avec les bons termes mais là aussi je pense que ce qui
compte c’est plus la façon de considérer ce qui nous compose, l’amour que l’on
peut avoir pour chaque élément qui nous constitue et le désir d’unité, que la
précision du langage. Nos corps perçoivent les énergies que nous leur envoyons
et la communication s’établit de cette façon. Ce qui est important c’est
d’utiliser les termes qui font sens pour soi-même, et qui portent une vibration appropriée.
samedi 18 janvier 2014
"L'Art de faire la paix spirituellement" Jeshua* via James Twyman, leçon 21
Je ne sais pas si cette leçon me dérange à cause de quelques termes comme "être appelés" puisque ça n'est pas mon but d'être appelé un instrument de paix mais bien plus d'être la paix, de l'incarner, ou si c'est mon ego qui fait de la résistance, mais je ne me sens pas aussi portée qu'avec les autres leçons. Je continue tout de même de publier ces messages pour aller au bout du processus. Je verrais bien comment a évolue, comment ça "travaille" à l'intérieur.
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Facebook "best photos of the world" |
Le modèle de la dissertation pour examiner toute situation
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Elena Shumilova |
Ce
matin, pendant deux heures, j’ai eu l’agréable sensation que mon corps mental
était vide. Pour une fois, pas de chanson, pas de vacarme, mais une sorte de
tranquillité, comme si une épuration avait été réalisée pendant la nuit. Puis
au moment où j’ai pensé à ce que j’allais écrire, l’idée m’est venue de
m’adresser à ma présence divine, mon âme, enfin à l’aspect plus éclairé et sage
de qui je suis. Je continue à distinguer l’âme et la présence divine comme s'ils étaient les représentants ou les porteurs de l’énergie masculine et féminine, des deux aspects
de la source, afin de mieux connaître ce qui circule en moi. Puis d’intégrer la
notion de complémentarité plutôt que celle d’opposé. Pas évident de rester sur
la voie du juste milieu, de se faire une opinion sans tomber dans le jugement.
Dans
ma méditation quotidienne sur le trône, j’ai contacté la terre mère, le ciel
pour les remercier de cette vie, de la façon dont elle se transforme et je leur
ai demandé leur soutien pour arriver à libérer la notion de dualité. Des sujets
de dissertation sont alors apparus naturellement et l’idée même que cette façon
de considérer les choses soit enseignée à l’école, m’a semblé être un cadeau du
ciel. Il faut tout de même arriver en classe de seconde pour accéder à cette connaissance essentielle.
En
effet, c’est un moyen de poser un sujet, d’y réfléchir, de se faire son opinion, sans tomber dans le
jugement, le parti pris.
vendredi 17 janvier 2014
Guérir l’enfant intérieur, c’est accueillir son âme à bras ouverts
Lydia Féliz |
La
journée d’hier restera dans ma mémoire ! Que de changements ! Je ne
sais pas si ce sont les énergies de la pleine lune mais j’ai "travaillé" intensément à libérer des peurs ! Oui, encore des
peurs ! Une crise de paranoïa m’a accaparée pendant plus de six
heures ! Record battu ! J’ai pourtant commencé par calmer le mental,
revenir à la raison mais quand ça s’embrouille à l’intérieur, il devient
difficile d’être sûr de faire la part des choses. Le mieux, c’est d’être en confiance, au
moins dans le processus de libération, d’accueillir les émotions, les pensées
perturbatrices, en ayant conscience que rien à l’intérieur, ne cherche à nuire.
Comme je sais que j’ai tendance à cogiter et que ce processus
du mental est issu de la peur, j’ai le "bon" réflexe d’accueillir les émotions mais
le problème, c’est que je ne les sens pas vraiment. J’ai tout de même réussi à
calmer le jeu et j’avoue que je suis assez "fière" de moi.
Une
fois que la peur a été totalement balayée, que les faits m’ont montré que
j’avais juste "actionné la boîte à ressasser", j’ai fait un retour en arrière pour me souvenir
des différentes voix entendues. C’est ce qui est pénible avec les cachets, le
mental parle plus fort que les autres corps et il est difficile de faire le tri. Encore une très bonne raison de m’en libérer. Comme je
constate que la peur avait encore le "pouvoir" de me faire douter, ça me confirme la nécessité de
réaliser le sevrage peu à peu.
C’est épuisant énergétiquement de se laisser
envahir par des vibrations de basse fréquence ! Heureusement que j’ai
libéré la notion de bien et de mal pare que c’est une vision qui complique
encore plus les choses.
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